Forum de FilmDeCulte

Mon Top 10 des films de Woody. Les essentiels que je trimbalerais sur une île déserte

1-Manhattan
2-Annie Hall
3-Zelig
4-Hannah and her Sisters
5-Match Point
6-Bullets Over Broadway
7-A Midsummer Night's Sex Comedy
8-The Purple Rose of Cairo
9-Deconstructing Harry
10-Husband and Wives

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"marre du retour infini de ce topic"

Prends l'oseille et tire toi 3,5/6
Bananas 2/6
Guerre et amour 4/6
Annie Hall 5,5/6
Manhattan 6/6
Stardust Memories 3/6
Zelig 5/6
Broadway Danny Rose 5/6
La Rose pourpre du Caire 6/6
Hannah et ses soeurs 5/6
Radio Days 5/6
Une autre femme 4/6
Crimes et délits 5/6
Ombres et brouillards 2,5/6
Meurtres mystérieux à Manhattan 3/6
Tout le monde dit I love you 2,5/6
Harry dans tous ses états 4/6
Celebrity 2/6
Accords et désaccords 5/6
Escrocs mais pas trop 3/6
Le Sortilège du scorpion de Jade 1,5/6
Hollywood Ending 3/6
Anything Else, la vie et tout le reste 3/6
Melinda et Melinda 2,5/6
Match Point 6/6
Scoop 3,5/6
Le Rêve de Cassandre 4,5/6
Vicky Cristina Barcelona 4,5/6
Whatever Works 3/6
You will meet a tall dark stranger 3,5/6

1 - Un jour de pluie à NY
3 - Wonder Wheel
3 - Café society
2 - Blue Jasmine
1 - Minuit à Paris
2 - Le rêve de Cassandre
2 - Match Point
1 - Melinda and Melinda / Melinda et Melinda
1 - Anything Else / La vie et tout le reste
1 - Hollywood Ending
1 - The Curse of the Jade Scorpion / Le sortilège du scorpion de Jade
0 - Small Time Crooks / Escrocs mais pas trop
5 - Deconstructing Harry / Harry dans tous ses états
3 - Everyone Says I Love You / Tout le monde dit I Love You
3 - Mighty Aphrodite / Maudite Aphrodite
4 - Bullets Over Broadway / Coup de feu sur Broadway
2 - Manhattan Murder Mystery / Meurtre mystérieux à Manhattan
6 - Husbands and Wives / Maris et femmes
3 - Shadows and Fog / Ombres et brouillards
4 - Alice
3 - Hannah and Her Sisters / Hannah et ses soeurs
6 - The Purple Rose of Cairo / La rose pourpre du Caire
2 - Broadway Danny Rose
4 - Zelig
1 - A Midsummer Night's Sex Comedy / Comédie érotique d'une nuit d'été
5 - Manhattan
4 - Interiors / Interieurs
5 - Annie Hall
1 - Everything You Always Wanted to Know About Sex * But Were Afraid to Ask / Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le sexe... sans jamais oser le demander
1 - Bananas
1 - Take the Money and Run / Prends l'oseille et tire-toi

Rattrapage de Intérieurs. On parle de Bergman, référence avouée (revendiquée même), c'est surtout un tout petit film sobre, pour ne pas dire austère, dans lequel Allen évite ses petites astuces relous, ses tics à répétition... Enfin, on reste dans le cadre confortable du microcosme allenien, mais ça change d'un Meurtre mystérieux à Manhattan, redécouvert sur Netflix, dont je n'ai même pas pu aller jusqu'au bout tant je trouve ça chiant. L'impression quand même d'une filmo hyper faible, dont les sommets datent de quelques décennies.

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Que lire cet hiver ?
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Lol ! (Oui, le me lol moi-même)

Un des rares cas où plus de 10 ans après j'écrirais exactement la même chose.

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N'écoutez pas Film Freak

C'est paradoxal quand même d'avoir vu autant de films d'un réalisateur qui a l'air de ne pas t'enthousiasmer tant que ça.
Mes parents, et je ne sais combien de français, se sont fait avoir de la sorte en allant voir chaque année ou une fois tous les deux ans, le dernier Woody Allen. Bravo à lui d'avoir suscité cette forme de fidélité.

Il dit que c'est un bon cinéaste, ça me semble suffisant pour avoir envie de voir ses films.

J'aimais beaucoup quand j'étais ado. Mais avec le temps on apprend à relativiser, ce qui échappe peut-être à bmntmp.
En revanche, je n'ai plus rien vu depuis son truc à Paris avec Owen Wilson là...

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N'écoutez pas Film Freak

Oui je relativisais en citant l'exemple de mes parents par exemple. Et le cocktail temps libre/manque de discernement peut faire des ravages quand on est ado. C'est un type qui a vu 4 saisons de Mad Men qui vous le dit.
D'ailleurs l'attrait exercé par la filmo d'Allen repose vraisemblablement sur le même mécanisme que celui des séries aujourd'hui : le flot ininterrompu émousse les standards de qualité dont on se sert pour en juger. Un "bon" ou un "mauvais" Allen, ce sont les trois films précédents qui vont déterminer la valeur du dernier sorti en comparaison sans qu'on juge vraiment de la qualité du film dans l'absolu.

Tu n'as surtout pas vu son meilleur film, Husband and Wives.

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There is no such thing in life as normal

Pire take.

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J'en ai vu en effet assez peu et je ne doute pas qu'il y en ait de bons, corrects ou distrayants.

Je m'adressais à Tetsuo.

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There is no such thing in life as normal

Je pense que j'en ai vu assez. Je le materai éventuellement si l'occasion se présente mais c'est un peu le cinéaste dont j'ai strictement plus rien à foutre aujourd'hui...

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N'écoutez pas Film Freak

Je le conseille vivement moi aussi, alors que mes notes sont encore plus sévères que les tiennes. C'est de loin mon préféré.

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Pour ma part j'ai décroché après Match Point. Je l'avais bien aimé mais le recours systématique à Scarlett Johansson laissait craindre la formule s'affadissant de plus en plus. Par ailleurs après avoir vu des diamants noirs comme A Double Life de Cukor ou Ossessione de Visconti qui égalent l'intensité et la profondeur des livres de Dostoïevski, le film apparaît plus anecdotique.

Mon père avait une tendresse particulière pour Radio Days, mais qui est une chronique d'époque douce-amère un peu fade (acteurs délibérément en retrait car ils incarnent les parents de Woody Allen saisis dans sa mémoire).

C'est un cinéaste complètement postmoderne : sa cinéphilie est le contenu de ses films les plus forts, qui fonctionnent comme des copies et des métarécits des originaux.
Par ailleurs c'est un cinéma de la génération de nos parents. Pas sûr qu'il touche des gens de 20 ans de nos jours. Le mythe de l'intello new yorkais est désormais complètement éloigné des réalités économiques du monde actuel, même dans la bourgeoisie blanche américaine.

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Sur un secrétaire, j'avise deux statuettes de chevaux : minuscules petites têtes sur des corps puissants et ballonés de percherons. Sont-ils africains ? Étrusques ?
- Ce sont des fromages. On me les envoie de Calabre.

Jean-Paul Sartre