Forum de FilmDeCulte

C'est surtout sa réponse sur la question à propos de Weinstein où il revient aux Oscars qu'il a gagné avec Le Pianiste qui m'a dérangé. Mais même, revenir sur cette idée que les moeurs ont changé et que ce qui était accepté avant ne l'est plus c'est hyper maladroit. Il reconnaît être coupable de quelque chose mais d'une certaine manière essaie toujours de se disculper.

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CroqAnimement votre

A partir de choses parfois justes, il jette de l'huile sur le feu. Par moment, il ressemble vraiment à un papy qui radote ses conneries avec son pastis à la main.

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Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)

Surtout que les mœurs étaient déjà comme ça à l'époque vu que le procès a eu lieu à l'époque.

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Pour le coup si, les mœurs ont vraiment changé à ce sujet.

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Par rapport au moyen-âge peut-être mais on a compris que le sujet te tenait à coeur.
Sinon je ne sais pas trop quoi penser de toutes ces histoires. Il a sans doute été victime de fausses accusations, ce qui n'est pas cool.

A méditer.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

C'est l'argument double face que je ne peux pas entendre, c'est naze et je doute que ce soit un conseil de son avocat.

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- Nazi violent 1961-2013?
"my... "double anale", c'est ce que je crois?" Chlochette
"J'ai toujours aimé la culture nain" Sponge

A la vision du dernier Woody Allen, je suis surpris de sa réception critique très positive dans l'ensemble. Qu'on ne juge pas l'oeuvre d'un homme aux accusations portées contre lui, soit, mais là en l'occurrence l'artiste est en plein dans le sujet controversé d'actualité (le mouvement "me too"), et le moins qu'on puisse dire c'est que ce qu'il nous montre ne correspond pas du tout au camp des dénonciateurs d'abus sexuels sur actrices. Il se paye même le luxe de retourner le "slogan" "me too" en le mettant dans la bouche de la blonde (caricaturale à souhait, godiche prête à se mettre à poil avec le premier venu pour peu qu'il s'agisse d'une star) qui le dit au réalisateur d'une façon émerveillée et ensorcelée, acquiesçant d'admiration au moindre de ses propos. Le "me too" chez Allen n'est plus un cri de victime, mais un râle de consentement. Partant de là, je m'explique mal comment les critiques qui passent leur temps à moraliser sur la question, deviennent soudain aveugles et à ce point hypocrites devant ce film, ressortant leurs vieilles formules usées pour parler d'à peu près tous les films d'Allen... On me répondra que n'importe comment le cinéma d'Allen a tjs été particulièrement misogyne et que ça n'a jamais posé de pb à personne...

Glauque :
http://www.leparisien.fr/faits-divers/e ... 235990.php

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

C'est abusé...

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Excellent thread sur Tony Duvert, l'autre Matzneff (que je ne connaissais pas et dont j'ai paradoxalement envie de lire les romans) avec cette même ignoble complaisance de l'intelligentsia culturelle :

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CroqAnimement votre

René Scherer qui est le frère de... Éric Rohmer !

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N'écoutez pas Film Freak

Par contre Vincent Glad, il a juste le droit de fermer sa gueule...

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N'écoutez pas Film Freak

Oui j'ai failli préciser [TW : ligue du lol] et c'est pour ça que je l'ai pas retweeté directement sur Twitter pas envie de rentrer dans des débats stériles. Le mec est un bon journaliste donc ouais je le suis sur Twitter.

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CroqAnimement votre

Pas lu (le thread ni Tony Duvert) mais je me représente au moins Duvert comme un vrai paria et pas un mondain imbu de lui-même à la Matzneff, ce qui ne l'excuse pas mais le rend moins débectant.