Qui-Gon Jinn a écrit:
Mais j'ai toujours l'impression qu'il singe quelque chose: un jour Nolan dans ses Bond ou dans le projet 1917, la veille les films de Sundance dans AWAY WE GO, avant ça les films géopolitiques/mordants des années 2000 dans JARHEAD... .
Lol pour la démonstration de moins en moins convaincante. Et après ça critique les gens de Twitter qui ont vite recours à des films "non-classiques" pour défendre les réalisatrices...
Pour le coup, quand il fait Jarhead, il "singe" pas "les films géopolitiques/mordants des années 2000", il en est juste un. D'ailleurs, quels sont les films dont tu parles? Munich? Good Night and Good Luck? Syriana? The Constant Gardner? Lord of War? Ils sont tous sortis en 2005...comme Jarhead.
Lions & Agneaux? 2007. Détention secrète? 2007. Redacted? 2007. Le Royaume? 2007. Dans la vallée d'Elah? 2007. Body of Lies? 2008. The Hurt Locker? 2009. Green Zone? 2010. Fair Game? 2010. Argo? 2012. Zero Dark Thirty? 2012.
Remballe.
Citation:
AMERICAN BEAUTY et LES NOCES REBELLES c'est dans une catégorie à part, dans un genre moins codifié.
Citation:
Mais même dans ROAD TO PERDITION y a une sorte de formalisme hyper-calculé qui fait un peu "copiste".
Copiste...de qui? Nan mais sérieux, les arguments à l'emporte-pièce basés sur du vent. Et on parle de quoi? Des thématiques ou de l'esthétique en fait? La mise en scène de Jarhead est censé ressembler à celle des autres films du même genre?
Citation:
J'adore les réas éclectiques mais chez lui j'ai souvent l'impression qu'il court toujours après quelqu'un d'autre
À part pour Nolan sur Skyfall et la vibe indé d'Away We Go, c'est une impression fondée sur RIEN.
On peut pourtant tracer un fil des plans-séquences d'American Beauty jusqu'à ceux de Skyfall (le combat en silhouettes ou l'entrée de Silva). Mais comme d'hab, quand un réal n'a pas un style des plus outranciers et qu'on ne s'intéresse pas assez à son travail, on ne dénote pas tout ce qui trahit pourtant sa patte. C'était pareil avec Singer d'ailleurs.