Film Freak a écrit:
Toi qui parlait d'auto-flagellation publique à laquelle on forçait les gens, tu peux voir que c'était que de la façade mytho. Il a démissionné, il a été repris en scrèd un mois après. Parce qu'un mois de "soul-searching" ça suffit pour se remettre en question.
Que sait-on de ce qui s'est réellement passé entre Faraci et Tim League ? De leurs rapports, de leur relation, de comment ils ont échangé sur la question, de ce que Faraci a fait dans les semaines qui ont suivi ? Tu présente le truc comme si tout était hypocrite depuis le départ, mais, on en sait rien... Tout ce qu'on sait c'est qu'ils savaient que ça allait faire jaser, donc quelqu'un a suggéré de pas en parler. Ce qui est:
--> maladroit gênant par rapport aux autres employés
--> pas illégal
Film Freak a écrit:
Et ne parlons même pas de la censure des autres employés qui osent être en désaccord avec Faraci...
Ca oui.
Moi je réagis surtout à cette tribune:
http://www.indiewire.com/2017/09/alamo- ... 201876409/Un mec du festival qui a démissionné a écrit:
Rehabilitation is a noble and worthwhile pursuit, to be sure, but it is also one that requires the involvement of a community. Forgiveness is fantastic but forgiveness is the sole purview of the person who has been wronged. Tim, bluntly, does not get to forgive Devin for Devin’s alleged – and undisputed – sexual assault. Only the victim gets to do that. And where was she in this? Where was the concern for any victim of sexual violence and the message this would send to them? While I do not believe there was any malice in the decision to bring Faraci back there was, however, a clear, undeniable and arguably even callous disregard for the impact of this decision on anyone not named Devin Faraci.
En tant qu'employé, je peux comprendre. Mais qu'est-ce que la victime vient faire dans tout ça ? Concrètement, que propose ce mec ? Que chaque employeur potentiel envoie un DM à la twitto agressée pour qu'elle valide ?
Un mec du festival qui a démissionné a écrit:
Given the fact that questions regarding who was involved in the decision and when the decision was made have been ignored; given that the decision was kept out of both public eye and away from the festival staff; given that Faraci – as verbose as ever on social media – has clearly been coached not to talk about his employment, it is very hard to conclude that anyone involved was unaware of how callous this decision was and what the reaction would be if it were made public. They knew. They’ve known for months and kept it hidden for months. They just didn’t care enough to do any different.
Encore une fois, du point de vue des collègues, je comprend la gêne. Mais c'est le scandale internet que je trouve désolant. On a quand même le droit d'employer un mec même s'il a commis une agression sexuelle, non ? (surtout si on a dû le virer, globalement, parce que la vox populi l'exigeait - et que le festival s'en serait pris plein la gueule s'il l'avait pas viré)