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Forums: Vos critiques Sujet: Un américain à Paris (Vincente Minnelli - 1951) |
Cyniquotron |
Posté: 11 Juin 2017, 13:24
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Réponses: 39 Vus: 2996
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Est-ce qu'il n'y a pas un piège à con à dire que la bourgeoise est tellement une négativité qu'elle en devient immontrable ? Ouais ok ça peut être sous-entendu par ce que j'écris. Non je dis pas qu'elle est immontrable, mais encore faut-il en montrer autre chose qu'une ode à son mode même de foncti... |
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Forums: Vos critiques Sujet: Un américain à Paris (Vincente Minnelli - 1951) |
Cyniquotron |
Posté: 11 Juin 2017, 12:51
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Réponses: 39 Vus: 2996
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d'un clinquant visuel (les robes, les décors, les bagnoles) pleinement bourgeois. Le film raconte la corruption par l'idéal bourgeois du couple, mais aussi du paysage (la côte, d'abord nue et magnifique, progressivement dévorée par les bâtiments de nouveaux riches). Le film ne parle que de ça, hein... |
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Forums: Vos critiques Sujet: Un américain à Paris (Vincente Minnelli - 1951) |
Cyniquotron |
Posté: 11 Juin 2017, 11:37
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Réponses: 39 Vus: 2996
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Il y a quelque chose d'atrocement bourgeois, aussi bien dans Two for the road (Voyage à deux) C'est justement un film qui défonce la bourgeoisie... Tarte à la crème. Qu'il veuille avoir une dimension critique, ouais, pourquoi pas. Défoncer la bourgeoisie ? Allons allons, dans le genre critique, plu... |
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Forums: Vos critiques Sujet: Un américain à Paris (Vincente Minnelli - 1951) |
Cyniquotron |
Posté: 11 Juin 2017, 11:20
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Réponses: 39 Vus: 2996
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S'il faut comparer, Minnelli est un bien plus grand réalisateur que Donen . Clair qu'on peut nettement séparer les comédies musicales réalisées en collaboration avec Gene Kelly, et ses films plus tardifs, que j'ai personnellement détesté. Il y a quelque chose d'atrocement bourgeois, aussi bien dans ... |
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Forums: Vos critiques Sujet: Spellbound / La Maison du Docteur Edwardes (Alfred Hitchcock, 1945) |
Cyniquotron |
Posté: 11 Juin 2017, 11:02
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Réponses: 6 Vus: 1660
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Je serais assez d'accord pour considérer que le film appartient à cette vague hollywoodienne sur la psychanalyse, et que le discours en est en quelque sorte caricatural, dans son rapport à la clinique psychanalytique. Après en effet rien n'empêche de trouver de la richesse dans le traitement des int... |
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Forums: Vos critiques Sujet: Logan (James Mangold, 2017) |
Cyniquotron |
Posté: 11 Mai 2017, 11:21
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Réponses: 61 Vus: 7408
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Il y a des enthousiasmes critiques que je ne m'explique pas, ou difficilement, là j'y croyais pas mal, et la croyance a tenue à peine la première heure du film. Passée la toile de fond, l'ambiance crépusculaire, l'habillage on dira, le Rated-R des « fuck » et des giclées de sang, des meurtres, l'écr... |
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Forums: Vos critiques Sujet: Rogue One : A Star Wars Story (Gareth Edwards, 2016) |
Cyniquotron |
Posté: 25 Mar 2017, 17:22
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Réponses: 245 Vus: 25196
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Je dois admettre avoir été agréablement surpris par certaines qualités de cette préquelle - ce spin-off, écrit à partir d'un détail du premier Star Wars (1977) , développant sur comment les rebelles se sont procurés les plans de l'étoile noire Il parvient à ce qui fait la force des grands films ... |
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Forums: Vos critiques Sujet: Skyline (Colin Strause, Greg Strause - 2010) |
Cyniquotron |
Posté: 02 Mar 2017, 19:59
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Réponses: 12 Vus: 2146
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Me souviens même plus comment j'en suis arrivé à regarder le DVD de ce machin, c'est en effet très mauvais, un énième remake de La Guerre des mondes avec deux-trois idées en carton, un moyen budget qui fait d'assez bons CGI mais qui ne compensent pas une quasi-unité de lieu assez mal gérée (un seul ... |
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Forums: Vos critiques Sujet: Paterson (Jim Jarmusch, 2016) |
Cyniquotron |
Posté: 02 Jan 2017, 20:23
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Réponses: 89 Vus: 7824
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J'ai l'impression qu'en France, la poésie moderne est quand-même liée depuis les surréalistes (ou même avant, Fénéon) à la politique, c'est une forme de méta-littérature, de jugement de la littérature depuisun idéal politique et moral qui se veut objectif (et cela se retrouve dans la très belle poé... |
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Forums: Vos critiques Sujet: Les Enchaînés (Alfred Hitchcock, 1946) |
Cyniquotron |
Posté: 17 Déc 2016, 13:02
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Réponses: 26 Vus: 4221
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C'est pas évident d'échanger avec toi quand même supergontrand. J'ai remonté le fil et c'est toi qui emploies d'abord le terme "démocrate" pour désigner le pôle américain-CIA - que je n'aurais pas employé de moi-même car c'est une terminologie qui peut me poser problème, pas que je sois &q... |
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Forums: Vos critiques Sujet: Les Enchaînés (Alfred Hitchcock, 1946) |
Cyniquotron |
Posté: 12 Déc 2016, 12:44
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Réponses: 26 Vus: 4221
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Ah, les films sont des œuvres collectives, le scénario de Ben Hetch (Hitchcock a toujours un scénariste crédité pour chacun de ses films , quant à savoir la réécriture qu'il opérait...) correspond en effet aux autres films que tu cites, mais qu'essaies-tu de démontrer ? Un film écrit et réalisé par ... |
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Forums: Vos critiques Sujet: Les Enchaînés (Alfred Hitchcock, 1946) |
Cyniquotron |
Posté: 12 Déc 2016, 12:07
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Réponses: 26 Vus: 4221
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Non non, enfin on voit bien que c'est ce chef de la CIA qui a inventé cette situation prostitutionnelle dans une décision collective, dans la mollesse démocratique. L'intoxication démocrate est son alcoolisme, le film est plein de bouteilles de pinard, la bouteille de champagne oubliée dans le burea... |
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Forums: Vos critiques Sujet: Les Enchaînés (Alfred Hitchcock, 1946) |
Cyniquotron |
Posté: 12 Déc 2016, 11:16
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Réponses: 26 Vus: 4221
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Mouais, le personnage qu'Ingrid Bergman incarne si magnifiquement déteste viscéralement les flics (« They make me sick »), et l'image même la fait charnellement évanescente, etc. Enfin oui c'est la question du nazisme (plus précisément que le fascisme) qui tient ce film noir, de l'idéologie politiqu... |
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Forums: Vos critiques Sujet: Les Yeux sans visage (Georges Franju - 1960) |
Cyniquotron |
Posté: 23 Nov 2016, 18:06
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Réponses: 32 Vus: 3935
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Revu hier et quel film magnifique, comment Georges Franju puise ses motifs, son "intrigue", dans une tradition du film noir et fantastique qui remonte au muet, et comment il en fait des formes juste ce qu'il faut de lyrique et critique, intellectuellement brillantes et formellement expérim... |
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Forums: Vos critiques Sujet: 13 Hours (Michael Bay, 2016) |
Cyniquotron |
Posté: 25 Oct 2016, 14:49
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Réponses: 39 Vus: 5301
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Je dois redire ma fascination pour le cinéma de Michael Bay, dans sa grande efficacité spectaculaire, dans tout ce qu'il a d'outré, d' over the top , in your face , etc. Son cinéma comme symptôme de l'Amérique, aussi. Je ne peux pas dire que je l'aime mais la vision de ses films est toujours une exp... |
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