Forum de FilmDeCulte

ya plusieurs choses même si je ne me souviens plus très bien du film.
d'abord j'avais trouvé ça très laid esthétiquement. outre la stylisation nauséabonde, je me rappelle d'un plan super clipé où la caméra passe à travers un tuyau ou un fil éléctrique je ne sais plus. très moche et assez inutile. je trouve aussi qu'une telle dénonciation du consumérisme, puisqu'apparemment c'était le but, ne peut être faite avec les atours d'un objet commercial lambda. en fait, le fond est bouffé par la forme. dommage pour un film qui crache sur la forme justement.
reste un objet branché avec des stars, des gros biscotos tout mis en valeur, et un propos tout moche où par la violence, on retrouverait le vrai sens des choses. ça me fait penser à ces vieux qui nous souhaitent une bonne guerre, histoire de savoir ce que c'est que d'en chier.

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Il n'y a qu'une star dans Fiught club, Pitt, et je crois que tu as une approche erronnée du film qui est une comédie très drôle

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There is no such thing in life as normal

Je veux pas te vexer, mais là, c'est être totalement passé à côté du film et du livre accessoirement...
C'est marrant d'ailleurs, ceux qui n'aiment pas ce film à quel point ils le prennent au premier degré...

et aussi satirique, critique sur la société de consommation et ses valeurs.

De ce point de vue, je rejoins tiny :
la forme du film, percutante, voyante, joue a contrario contre le propos du livre, qui est très critique et provocant, comme dans tous les romans de palahniuk d'ailleurs.

Il aurait fallu, peut-être, un filmage plus classique afin que l'histoire prenne toute sa dimension.

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« Celui qui croit qu'une croissance exponentielle peut continuer indéfiniment dans un monde fini est soit un fou, soit un économiste. » (Kenneth E. Boulding)

C’est une satire mais sûrement pas une comédie.
On peut trouver drôle toutes ces réunions de AA, VCT etc
Mais c’est notre cotés voyeur, fan de confessions intimes qui est bien caricaturé justement par les personnages principaux Marla et le narrateur.
Cette envie de tout avoir et d’être quelqu’un d’autre.

C’est un film très engagé, qui ne fait pas dans la demi mesure et qui ne peut pas être rangé dans le rayon comédie. Je crois !

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une médaille de Bronze

2/6

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Anthony Sitruk - Bien sûr, nous eûmes des orages
(168 pages, 14.00€)
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tu ne me vexes pas. là on parlait du film, je n'ai pas lu le livre, il est peut-être très bien.
j'me méfie un peu de cette idée de degrés dans la perception d'un film, parce que tout le monde peut percevoir des degrés différents finalement, c'est complètement subjectif. ce qui importe c'est ce que le film dit et montre.

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La satire n'est pas une forme de comédie ?




Je ne le vois absolument pas engagé, mais comique - comment prendre au sérieux le coup du "On leur coupe les couilles", Fight club, ce sont des trentenaires qui se comportent comme des pré-ados

La fin frise même la parodie : au lieu d'un coucher de soleil, on voit des immeubles exploser lors des retrouvailles des deux tourtoureaux

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There is no such thing in life as normal

C'est si mignon...

LOOOOOL

Juste un petit pfffffffff d'agacement poli. Mais j'ai plus envie de me prendre la tête, donc je respecte et je ferme ma gueule.

Alright, 18 pages de topic... Pas le courage de me les refaire. Donc l'avis à chaud après tout le monde:

J'ai adoré. Un film de 2h38 qui passe comme un pet, c'est toujours bon signe. On sait à l'avance que le tueur n'a pas été trouvé (avec preuves), on sait à l'avance que l'affaire est ecore ouverte, on sait qu'on restera sur un point d'interrogation. Et ce téléphone qui sonne sans arrêt nous le rappelle inlassablement: pas de réponse. Et c'est passionnant de bout en bout. Le scénario, brillant, s'attarde sur les détails, s'attarde sur les personnage, explore leur psychologie, l'obsession est décortiquée morceau par morceau, elle suinte de partout. Fincher surprend par sa sobriété, sa profondeur (et dieu que c'est beau à regarder), et pousse ses acteurs au sommet de leur talent. Tous. (et quel beau casting...) Photo splendide, mise en scène classe, montage et musique impec, réalisme ad hoc... La maîtrise globale de ce film se fait heureusement oublier durant la projection pour mieux nous embarquer dans l'enquète.

Grand film. Ca fait plaisir.

5/6, qui finira à 5,5/6 s'il vieillit bien.

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Et ben voilà, on est d'accord, voilà... Un des grands films de l'année et pourtant c'était pas gagné d'avance quoi.

Oui. Ca m'est vite venu à l'esprit, du coup j'ai profité de chaque sonnerie..

Et chépas vous mais je trouve la fin gé-niale... Les deux fins, en fait. Ces regards de fou. Cette dernière réplique. Ca tue.

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"