Forum de FilmDeCulte

Si on a pas aimé Paris Texas, Les Ailes du désir c'est quand même à voir? Je repousse sans cesse sa vision alors que je l'ai en DVD.

Les deux sont très différents. Ce sont deux de mes films préférés, mais j'aurais tendance à dire que même si on aime pas, on doit voir Les Ailes du désir. On en garde quelque chose.

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Anthony Sitruk - Bien sûr, nous eûmes des orages
(168 pages, 14.00€)
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Clairement. Et puis Nick Cave !

Une VHS pour ma part.

Top mis à jour, avec l'ajout de The End of violence, et de La Lettre écarlate, découvert hier soir. Un film surprenant, improbable dans ce début de carrière, tant il fait le grand écart entre la vision crasseuse d'un village de dégénérés, et une musique lyrique hyper envahissante (quasiment pas une seule scène sans musique). Même moyen, ça reste meilleur que tous ses films depuis 1990.



1. Paris, Texas (1984)
2. Les Ailes du désir (1987)
3. L'État des choses (1982)
4. Au fil du temps (1976)
5. Alice dans les villes (1974)
6. L'Ami américain (1977)
7. Lisbonne Story (1994)
8. Faux mouvement (1975)
9. Hammett (1982)
11. La Lettre écarlate (1973)
11. The Soul of a Man (2003)
12. Si loin, si proche ! (1993)
13. Par-delà les nuages (prologue, intermissions, epilogue, 1995)
14. Don't Come Knocking (2005)
15. The end of violence (1997)
16. Nick's Movie (1980)
17. Carnets de notes sur vêtements et villes (1989)
18. Les Beaux Jours d'Aranjuez

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L'Angoisse du gardien de but au moment du penalty (1972)
Au risque de me répéter... Il y a vraiment un avant et un après Paris Texas, chez Wenders, et encore pourrait-on dire que ses premiers films américains sont en quelque sorte des accidents, des reliquats de sa période allemande confrontés à l'éclaboussement du rêve américain qui imprégnait ses films précédents. En gros, une fois ce rêve américain digéré, et à part ce portrait sublime au dessus de Berlin que constituent ses Ailes du désir, Wenders n'a plus rien à dire. Avec ce quasi premier film (je ne sais pas si Summer in the City est encore visible), on trouve déjà les thèmes futurs du cinéaste, l'errance, le road-movie, la fascination pour l'Amérique et le cinéma, le tout agencé dans une suite de saynètes dont j'ai un peu de mal à comprendre la logique, mais qui reste à lui-seul infiniment plus attirant que la totalité de ses films des trente dernières années.

1. Paris, Texas (1984)
2. Les Ailes du désir (1987)
3. L'État des choses (1982)
4. Au fil du temps (1976)
5. Alice dans les villes (1974)
5. L'Angoisse du gardien de but au moment du penalty (1972)
7. L'Ami américain (1977)
8. Lisbonne Story (1994)
9. Faux mouvement (1975)
10. Hammett (1982)
11. La Lettre écarlate (1973)
12. The Soul of a Man (2003)
13. Si loin, si proche ! (1993)
14. Par-delà les nuages (prologue, intermissions, epilogue, 1995)
15. Don't Come Knocking (2005)
16. The end of violence (1997)
17. Nick's Movie (1980)
18. Carnets de notes sur vêtements et villes (1989)
19. Les Beaux Jours d'Aranjuez

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L'Ami américain (1977)
Dennis Hopper en santiags, Stetson et Cadillac (v’la l’imagerie américaine du Père Wenders), on s’attardera surtout sur les thèmes de prédilection du cinéaste, l’errance, la quête existentielle, l’impossibilité de communiquer entre l’homme et la femme, et sur deux scènes ferroviaires particulièrement tendues même si là encore, on en voit bien les limites, Wenders n’étant ni Friedkin ni De Palma.