Nan mais tromper sa femme, c'est avant tout tromper une personne, le sexe de la personne en question n'entre pas en ligne de compte...

Nan mais tromper sa femme, c'est avant tout tromper une personne, le sexe de la personne en question n'entre pas en ligne de compte...

Nan mais tromper sa femme, c'est avant tout tromper une personne, le sexe de la personne en question n'entre pas en ligne de compte...

Tu peux me rappeler pourquoi la nana a "bitch" dans son pseudo ?

Je préférerais discuter de la remarque de QGJ sur les kenyans.

Sinon, ce topic ferait presque doublon avec Twitter, vu que ya que là bas que tu vois ce genre d'indignation moisie.

Ce topic, ajouté à celui sur Polanski et aux nombreux messages de QGJ dans la shoutbox concernant l'affaire Mériadeck ou l'histoire du dragueur de chez Orange, ne fait que confirmer l'unique vérité sur laquelle on tombera tous d'accord : QGJ n'a pas les couilles d'ouvrir sa gueule là où il faut.

Entièrement d'accord mais là on parle d'une personne en particulier, qui a bâti sa réputation et son image publique sur son féminisme. De plus, cette affaire a commencé avec un long texte écrit par l'ex-femme de Whedon avec bien plus de détails que simplement "il m'a trompé".

Nan mais tromper sa femme, c'est avant tout tromper une personne, le sexe de la personne en question n'entre pas en ligne de compte...

Article argumenté et relativement mesuré, qui ne dit pas vraiment la même chose que les tweets cités par QGJ.

Faire basculer cette histoire dans le registre du féminisme, c'est réduire l'ex-femme de Whedon à son statut de femme et nier son individualité (en gros, c'est le contraire même du féminisme).

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Cette contradiction est le propre des social justice warriors.