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Festival de Deauville 2016
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Auteur:  Rajdevaincre [ 02 Sep 2016, 15:25 ]
Sujet du message:  Festival de Deauville 2016

Pas grand chose à dire si ce n'est que le festival commence aujourd’hui avec la présentation de Infiltrator de Brad Furman avec Bryan Cranston et Diane Kruger.


J'avais surtout une question pratique à ceux qui savent:
- Peut-on avoir un sac à dos (style Eastpak) dans la(les) salle(s) en journée?

Merci d'avance pour la réponse. :)

Auteur:  Karloff [ 02 Sep 2016, 18:47 ]
Sujet du message:  Re: Festival de Deauville 2016

Oui tu peux avoir un sac.

Auteur:  Film Freak [ 02 Sep 2016, 18:57 ]
Sujet du message:  Re: Festival de Deauville 2016

Mais seulement un Adidas.

Auteur:  Rajdevaincre [ 02 Sep 2016, 20:40 ]
Sujet du message:  Re: Festival de Deauville 2016

Karloff a écrit:
Oui tu peux avoir un sac.


Merci beaucoup.

Film Freak a écrit:
Mais seulement un Adidas.


Je vais coller une fausse étiquette dessus alors. :mrgreen:

Auteur:  Film Freak [ 02 Sep 2016, 20:56 ]
Sujet du message:  Re: Festival de Deauville 2016

Je vais te dénoncer aux vigiles.

T'es grillé, tu rentres plus.

Auteur:  Le Cow-boy [ 02 Sep 2016, 23:56 ]
Sujet du message:  Re: Festival de Deauville 2016

J'ai que ça pour faire la nuit.

Auteur:  Film Freak [ 03 Sep 2016, 00:18 ]
Sujet du message:  Re: Festival de Deauville 2016

C'était pour vous. :D

Auteur:  Karloff [ 05 Sep 2016, 22:17 ]
Sujet du message:  Re: Festival de Deauville 2016

alors

Captain Fantastic 3-4/6
Mitigé.... Beaucoup aimé le début du film, Viggo Mortensen est comme toujours parfait mais il y a quelque chose de fabriqué dans l'émotion et le discours qui m'a lassé sur la longueur. Par contre, le réal en parle très bien et m'a un peu réconcilié avec certains trucs du film que j'aimais moins.

Certain Women 5/6
Trois histoires de femmes dans le Montana, comme une série de nouvelles. Dès le premier plan, le film est formellement sublime, avec une science du cadre, un tempo dans le montage... Alors bien sûr, c'est lent. Les micro-histoires sont construites par la mise en scène et non la narration si bien que pour certains, ça ne raconte rien... Je trouve au contraire que cela raconte tout, et surtout un Etat, le Montana, comme le fait Adrian Tomine, par ex. Hasard de Deauville, juste avant le film, la bande-son passait du Sufjan Stevens....

Le Teckel 4/6
Le meilleur Todd Solondz, en tout cas celui que je préfère. Le voir à côté d'une mamie de Deauville qui a failli en avaler son dentier m'a fait hurler de rire. Et puis Ed Lachman apporte une vraie touche esthétique à l'humour du malaise de Todd Solondz. Après c'est assez inégal.

Avant-première
Free State of Jones 2/6
L'histoire est incroyable mais l'enfer cinématographique est souvent pavé de bonnes intentions. Gary Ross veut faire un film sur la guerre de Sécession, un film sur l'esclavage, un film sur les droits civiques, une histoire d'amour interraciale dans un seul et même film. Du coup, après une première heure plutôt prenante, la narration s'emballe, on a l'impression que tout se déroule sur dix kilomètres carré... Dommage.

Comancheria 4/6
Le film a bien vieilli comme un bon whisky. J'avais trouvé le scénario un peu schématique dans sa construction mais il m'en reste l'atmosphère du Texas, le jeu des acteurs et la fin très réussie.

Infiltrator 2/6
L'histoire est géniale, l'acteur est dément, mais le film est très moyen, on a l'impression que passée une première partie plutôt maîtrisée, tout est monté au petit bonheur la chance jusqu'au dénouement attendu. Une déception.

Where to Invade Next 3/6
La méthode Michael Moore ne m'a jamais dérangé. J'ai toujours trouvé qu'il avait une forme d'honnèteté à se mettre en scène. Mais le personnage est devenu plus important que le sujet de ses films et je trouve ça flagrant ici. Si les démonstrations sont assez efficaces même si elles présentent une vision angélique du Vieux continent, toutes les séquences le mettant en scène sont inutiles - et l'on sent trop le côté forcé dans le jeu outré de ses interlocuteurs.

In Dubious Battle 1-2/6
Le sympathique James Franco s'attaque une nouvelle fois à un grand classique américain. La première heure est plutôt de bonne facture, très académique mais pourquoi pas.... La suite est hélas complètement ratée, d'un seul coup on ne comprend plus les motivations des personnages ni les enjeux, tout le monde se met à faire n'importe quoi.

Doc
Nuts 3/6
Et la femme créa Hollywood 4/6

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