Forum de FilmDeCulte

Voici le top le plus subjectif du monde, je me fous de savoir quels sont à ce jour vos film préférés (pas dans l'absolu, mais ici, oui), et je demande juste que vous mettiez un top 10 (au moins) des films que vous avez le plus vus, de votre jeunesse à aujourd'hui.

Evidemment, si chaque film est accompagné d'un petit mot, c'est toujours plus cool et moins froid.

Top 10 donc :

1. Qui Veut la Peau de Roger Rabbit de Robert Zemeckis



Film découvert dans la salle audiovisuelle de l'école primaire, impressionnant quand t'es gosse, et fascinant au fur et à mesure que tu grandis, des thèmes, des idées, des dialogues, des personnages très justes, des sentiments, des tripes, des lapins cartoon, un détective, une grosse bonasse, enfin bref, pour moi, l'archétype du film générationnel qui en plus traverse les âges et supporte les visions n'importe quand. La preuve, j'ai du le voir plus de 200 fois, ma cassette à l'époque était niquée, chaque fois qu'il passait, je le réenregistrais, c'est pour dire...

2. Un Prince à New York de John Landis



C'est fou en fait comment quand t'es gamin, tu as cette capacité à voir et revoir un truc autant de fois. Cette capacité à kiffer Eddie Murphy aussi...

Bref, revu il y a pas longtemps, je le connaissais encore par coeur, et il reste très très sympa, pas un chef d'oeuvre, mais ça m'étonne pas que j'aie pu kiffer ce délire blaxploitation 80's. Première fois où Murphy joue plusieurs rôles dans un même film, autrement meilleur que Foldingue et compagnie.

Vu beaucoup, beaucoup, beaucoup de fois...

3. Retour Vers le Futur 2 de Robert Zemeckis



Ouais, cette suite dézingue le premier qui reste quand même mortel, c'est un film bourré de trucs cultes, de machins qui font que tu veux le remater, encore, encore, encore.

4. Se7en de David Fincher



Alors là en fait, contrairement aux précédents, c'est une oeuvre que je revois, très souvent, non par dépendance, mais par curiosité, par envie, je m'explique: putain de chef d'oeuvre, quand je sais pas quoi mater, je le met, m'attendant quasiment à chaque fois à être déçu, et non, il déchire, il est riche, beau, fou, génial, pour l'instant, avec Roger Rabbit, c'est le seul de ces films qui est dans mon top 5 des films que je préfère.

5. Down By Law de Jim jarmush



Film découvert sur le tard en fait, je devais avoir 16, 17 ans, découvert chez une nana que je voulais me taper, je lui ai emprunté le DVD, jamais rendu, comme un sale bâtard, en même temps, elle a pas voulu me baiser, je l'ai maté quasi deux fois par semaine pendant quelques mois, et maintenant encore, je me le mate encore assez régulièrement. D'ailleurs, depuis, je me suis choppé l'édition Critérion qui est plus forte que ta mère.

6. Invasion Los Angeles de John Carpenter



J'avais 12 ans.

Mes parents avaient des potes qui étaient abonnés au Télé Poche, chaque fois que j'allais chez eux, je le prenais, et le décortiquais, et surtout, je m'arrêtais sur la vignette du film de cul du mois si c'était la bonne semaine, et je l'embarquais aux toilettes en douce pour aller me palucher dans leurs chiottes, l'époque où je découvrais la branlette et ressentais le besoin de le faire partout.

Bref, entre deux érections de prépubère, je matais aussi ce qui allait passer à la TV.

Un truc avec un mec qui voit des extra terrestres quand il met des lunettes, dans quelques jours, sur M6, interdit aux moins de 12 ans en plus, ça voulait peut être dire un bout de nibard ça.

Non, pas de nibard, mais une énorme claque quand j'ai enregistré le truc, premier film ou un intérimaire charclo sauve le monde, du cool à chaque image, film archi direct, premier truc guérilla que je voyais, avec caméra qui bouge énormément et tout, choc graphique, puis au fur et à mesure des visions, un sens qui se dégage de tout ça, et un bijou cinématographique, je kiffe ma race, je le mate un peu moins now, mais je l'ai en DVD, et dès qu'un pote me dira par hasard qu'il l'a pas vu, je le fous devant et le remate avec lui.




Bon, j'en ai mis que 6 pour l'instant, je met le reste demain en éditant, la flemme de taper là.

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Bon c'est pas mes films préférés, curieusement, encore que ça peut paraitre logique car mes films préférés quand je les regarde ils me démontent tellement que je mets une semaine à m'en remettre... à chaque fois que je mets "Splendor in the grass" dans le lecteur dvd j'entends ma copine dire "Et alleeeez, tu vas me faire chier pendant une semaine".
Là c'était surtout des divertissements intelligents, même si ils peuvent être bien plus qu'un simple divertissement.


- Quand j'étais gamin

. Retour vers le futur. Robert Zemeckis.
Impossible de dire combien de fois j'ai regardé ce films avec mes frères, combien de fois on s'est retrouvé à passer un temps incalculable à se renvoyer les répliques à la gueule, on aurait pu faire une pièce de théâtre de ce film, sans trembler. Un film que j'aime au delà de la raison, il représente bien trop de choses pour moi. J'ai même pas le recul de dire "ouais c'était bien quand j'étais gamin mais bon voilà..." non non ça tue c'est tout.

. Les Dents de la mer. Steven Spielberg.
Pour moi c'était le modèle de terreur, le film d'horreur par excellence quand j'étais gamin, un truc que je me matais en boucle pour me terrifier, mes parents m'engueulant quand j'avais peur de rentrer dans l'eau par la suite, des grands moments... Après plus tard, la cinéphilie aidant j'ai replacé le truc dans l'histoire du cinéma, et ça reste le film moderne qui réussit le mieux l'ancrage classqique, le post Tourneur, qui est une énorme influence. Un jalon important du cinéma de genre en ce qui me concerne, juste derrière Massacre à la tronçonneuse qui touche à un autre aspect en atteignant l'absolu.

. Pulp Fiction. Quentin Tarantino.
Bon j'étais plus totalement gamin mais quand même adolescent. Impossible de savoir combien de fois je l'ai vu, je me souviens du jour où, en vacance avec des potes, regardant le film, j'étais allongé sur un canapé les yeux fermés et je sortais les répliques avant qu'elles arrivent, mes potes me disant après le film "faut que tu arrêtes...", encore un grand moment. Aujourd'hui c'est pas un film que je trouve grand mais il est cool.

. Evil Dead. Sam Raimi.
Ah le nombre de fois où je suis allé au video club en faisant croire que je le louais pour mes parents. J'avais 7 ans quand je l'ai vu pour la première fois, il m'avait vraiment fait peur mais pas seulement, très réceptif aux aspects glauque et drôle. Un truc que je regardais en boucle pour l'esprit macabre, détaché et virtuose, j'étais bouche bée devant ce truc.

. Explorers. Joe Dante.
Là c'était curieux, le rapport le plus étrange que j'ai jamais eu avec un film, j'ai toujours refusé de le voir avec quelqu'un jusqu'à très tard, j'envoyais chier mes frères, je m'enfermais et je rêvais tout seul devant ma télé, avec une identification monstrueuse pour les personnages. J'étais (et je suis) complètement amoureux de ce film, amoureux au sens littéral, comme si il ne devait appartenir qu'à moi. C'est là que je me rends compte que j'ai toujours été chiant avec les films que j'aimais vraiment.


- Aujourd'hui

. Starship Troopers. Paul Verhoeven.
C'est un film d'une immense intelligence autant politique que ludique, il raccorde au réel d'une manière unique ce qui permet de le voir pour de multiples facettes. J'ai pas de raisons supplémentaires au delà du fait que je ne m'en lasse pas, c'est pour moi un grand chef d'œuvre.

. Rio Bravo. Howard Hawks.
Pas mon film classique favoris, ni mon Hawks préféré, mais je m'y plonge dedans avec délectation à chaque fois, dans mes périodes tristes c'est un excellent remède. Un grand film sur l'amitié.

. Miller's Crossing. Joel Coen.
Un modèle d'intelligence scénaristique, un des films les plus jubilatoires qui soit. Vu énormément de fois, jamais écœuré.

. Les Oiseaux. Alfred Hitchcock.
Tippi Hedren. C'est pourtant pas ma préféré mais ce film passe comme une lettre à la poste, quelque soit l'humeur.

. La Fièvre dans le sang. Elia Kazan.
Même si il me détruit je le regarde très souvent. Le plus beau film du monde.


C'est vraiment pas mes films préférés, sauf deux ou trois, c'est dingue.

Sinon Bonus au King Kong de Jackson aussi.

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Que des films que j'adore, comme quoi...

bon sinon good idea, je vais réfléchir, disons que sur la période récente, cela donnerait l'Anguille, Chungking Express, Babel (enfin le segment japonais) et Les Harmonies Weckmeister (j'adore la zik donc je me passe la scène de la baleine) quand je bosse. Et Turning Gate par moment.

J'ai jamais dit qu'on avait des goûts systématiquement opposés. On a une manière différente de voir les films.

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1. Amadeus, de Milos Forman

Découvert enfant (10 ans, genre), film qui m'a accompagné toute ma vie, film fondateur de ma cinéphilie et de mon amour pour la musique classique. En dehors de ça c'est un chef-d'oeuvre extraordinaire, par son scénario simplement exemplaire, ses acteurs on fire, son montage parfait, sa mise en scène parfaite, son utilisation de la musique géniale... Et son putain de pouvoir émotionnel. C'est vraiment un film extraordinaire, à tous les niveaux. Je me le refais une fois par an, environ, avec un bonheur toujours aussi intact. *faites le compte*

2. The Usual Suspects, de Bryan Singer

Une des plus grosses claques cinematographiques de ma vie. A chaque fois on se dit que ça va fonctionner moins bien la prochaine fois, mais non, c'est juste inusable. Alors on se le refait de temps en temps. *juste pour vérifier*

3. The Big Lebowski, des frères Coen

Lui aussi c'est régulièrement. Un besoin vital.

4. Films de mon enfance que j'aime toujours aujourd'hui, vus une petite dizaine de fois:

Lawrence d'Arabie, La Grande Vadrouillle, E.T., Rencontres du Troisième Type, Hook, Jean de Florette & Manon des Sources, La Vie est un long fleuve tranquille, Le Maître de Musique, Top Gun, ...Roger Rabbit, Mary Poppins, Robin des Bois, Merlin l’Enchanteur.

5. Des Pixar :

Toy Story 2, 1001 Pattes, Monster's, Inc., The Incredibles. Un besoin vital aussi.

Je devrais aussi citer Terminator 2, Notting Hill, Barry Lyndon, Forrest Gump, Pulp Fiction, Fargo, Fight Club, La Haine, The Thin Red Line, Ed Wood, The Truman Show...

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Oula, ça va être laborieux.
Je fais sans images sinon je m'en sors plus.


Bon alors je l'ai déjà évoqué mille fois, et je suis pas très original pour le coup, mais il va sans nul doute que le (ou plutôt les) film(s) que j'ai le plus vu dans toute ma vie c'est Retour vers le futur et ses suites, par Robert Zemeckis.
Je me souviens mon meilleur pote Eric qui venait de voir le film, tandis que moi je ne l'avais pas encore vu, et qui voulait "jouer à Retour vers le futur", refaisant le film dans la cour de récré de l'école primaire Alain Gerbault à Créteil. Il m'avait guidé concernant quoi faire en me racontant notamment la scène de la première rencontre entre Marty et le Doc de 1955.
Je me souviens ensuite de la découverte du film, en famille, un soir devant TF1.
On l'a enregistré et c'est très rapidement devenu notre film de chevet, à moi et à ma cousine, avec qui j'ai grandi comme frère et soeur, et qui habitait 4 étages au-dessus. On se le matait globalement tous les jours. Et pareil quand nous nous procurâmes le II. Puis le III, après l'avoir découvert le JOUR de la sortie du film en VHS chez ce même pote Eric qui m'appela dès qu'il l'eut (je me souviens encore demander la permission à ma mère d'aller ce soir-là chez Eric pour voir le film).
Je me souviens même distinctement de journées où, avec ma cousine et mon cousin (lui aussi habitant le même immeuble), nous posions les boîtes des trois films sur la table du salon, et choisissions à "plouf plouf" lequel mater ce jour-là.
Nous finissions souvent par mater les trois.
Je ne saurais dire le chiffre exact malheureusement mais je peux assurer, sans exagération, avoir vu cette trilogie plus de 200 fois.

Et il en va plus ou moins de même pour Qui veut la peau de Roger Rabbit.
Celui-là, je l'ai vu en salle, c'est même le premier film que je me rappelle avoir été voir au cinéma. Nous étions arrivés en retard avec ma mère et nous avions demandé si nous pouvions rester pour voir le début de la séance suivante.
Une fois que je l'obtins en VHS, je me souviens aussi avoir remarqué que les mêmes noms figuraient sur les jaquettes de Roger Rabbit et de Retour vers le futur.
Christopher Lloyd. Robert Zemeckis.
Steven Spielberg.

Je crois pouvoir situer à ce moment précis les débuts de mon intérêt pour le cinéma, dans cette reconnaissance d'une répétition, d'un point commun entre ces films que j'aimais plus que tout.

Je ne vais pas détailler le récit de la découverte et de l'expérience pour chaque film, parce qu'ils furent nombreux, mais à ces quatre films succédèrent donc d'autres réalisations ou productions Spielberg (E.T., la trilogie Indiana Jones, Les Goonies, les deux Gremlins) et autres fleurons des années 80 (les deux SOS Fantômes, Piège de cristal), tous vus près d'une centaine de fois.

La filmographie de Steven Spielberg a plus que jamais forgé ma cinéphilie débutante.
Je me rappelle la séance de Hook, film que j'adorais évidemment quand j'avais huit ans, et encore plus celle de Jurassic Park, peut-être le tout premier film dont j'avais ATTENDU la sortie et que j'ai vu, avant sa sortie française, à Londres l'été 93.

C'est également lors de ce voyage, à l'âge de 10 ans, que je découvrais en VHS, coup sur coup, Terminator et Terminator 2.
Schwarzenegger devenait mon acteur préféré et je dévorais donc ses films, de Kalidor à Predator à Total Recall en passant par Jumeaux et Un flic à la maternelle.

Les films de ces deux derniers paragraphes, j'ai dû les voir environ cinquante fois.
Il en va de même pour nombre de films découverts durant l'adolescence, à cette époque où tu passes tes journées au collège à réciter les répliques entre potes.
Nous c'était celles de Reservoir Dogs, C'est arrivé près de chez vous, Ace Ventura, La Cité de la peur, The Mask, Pulp Fiction, Les Trois frères, Une nuit en enfer, etc.
J'ai tellement abusé de ces films que la plupart me sont devenus irregardables pendant longtemps (certains même jusqu'à aujourd'hui, les Jim Carrey surtout, comme Dumb & Dumber). Ca se compte en trentaines de visions.

Dans les films plus récents, post-1996 on va dire, mes films les plus vus sont ceux qui ont réussi à se frayer un chemin dans la liste de mes films préférés.
Seven, The Rock, Volte/Face, L.A. Confidential, Matrix, Fight Club, X-Men 1 & 2...là ça doit être une quinzaine de fois chacun, peut-être plus.
Même certains films longs qui ne sont pas des films de divertissements, j'ai dû les voir plus de 10 fois, comme JFK (mais ça c'est normal, c'est le meilleur film de tous les temps) ou The Insider (que je vais me faire un plaisir de retourner voir ce soir à la Cinémathèque).

Et puis parmi mes quelques 350 films en DVD et Blu-ray, nombre de blockbusters ont été matés et rematés entre potes une dizaine de fois, de Blade II à Transformers.

Je crois que c'est Jericho qui disait une fois, lors d'un sondage similaire, que le maximum de fois qu'il avait vu un film, c'était cinq.
Moi, The Dark Knight, sorti y a moins d'un an, je l'ai déjà vu 5 fois.
Pour Batman Begins, ça doit être le double.
Y a des films que j'aime PAS et que j'ai vu plus de 5 fois.
Par un concours de circonstances, j'ai vu le film Bean 3 fois (en salle!) par exemple.
J'ai une grande facilité à revoir les films que j'apprécie.

De toute façon, depuis maintenant 10 ans, j'aime une dizaine de films par an et dans ceux là, la plupart je les vois déjà 2 à 3 fois en salle.
Quand je les choppe en DVD, je me les mate deux ou trois fois dans l'année qui suit.
Ca fait déjà 5 à 6 visions pour chaque film acheté (et j'en achète 10 par an minimum).

En gros, c'est très révélateur de ma cinéphilie, de ma manière d'aborder le medium, peut-être pas assez saine, trop fermée, trop dans la revoyure de films déjà vus mille fois que dans la chance donnée à d'autres films, dans la découverte.
En fait, c'est de la consanguinité cinéphilique, c'est une attitude de mec qui prend toujours la même chose au resto mais bon voilà, c'est comme ça que je suis fait.
J'ai appris à aimer le cinéma en revoyant sans cesse des films de divertissements et donc aujourd'hui, à 26 ans, je favorise ce genre de films, que j'aime voir et revoir et rerevoir...

C'est pourquoi Valse avec Bachir côtoie Jumper dans mon top de l'an dernier.

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Dans les pulsions convulsives de l'enfance (entre 30 et 20 visions) il y a :

Au rayon super-héros :
- Batman (film que j'ai le plus vu, au moins 35 visions)
- Superman 1, 2 & 3 (4/6, 2/6, 4/6)

Au rayon De Funès :
- Les Aventures de Rabbi Jacob (3/6)
- Oscar (5/6)
- La grande vadrouille (4/6)
- Le Corniaud (pas revu)
- Jo (pr)
- La Zizanie (pr)
- Les Gendarmes à New-York (2/6)
- Le Gendarme de Saint-Tropez (pr)
- La Folie des grandeurs (pr)

Au rayon vieux films ricains :
- Artistes et peintres (5/6)
- Un pitre au pensionnat (pr)
- Le Magicien d'Oz (4/6)
- L'Impossible monsieur bébé (6/6)
- Le Dictateur (6/6)

Au rayon dessins animés :
- Robin des bois (pr)
- Tintin et le secret de la licorne (pr)
- Les Trois Caballeros (pr)

Au rayon Bud Spencer et Terrence Hill
- Maintenant on l'appelle Plata (3/6)
- Attention les dégats (pr)
- Les deux Missionnaires (pr)
- Faut pas pousser (2/6)

Au rayon S.F :
- Star Wars (4/6)
- Rencontre du troisième type (pr)
- E.T (5/6)

Au rayon comédies françaises :
- La Chèvre (pr)
- Les Sous-doués (3/6)

Au rayon Coppola
- Le parrain version télé (pr)

Dans les délires pré-ado et ado (entre 20 et 10 visions) :

- The Mask (4/6)
- Hook (2/6)
- Jurassic Park (4/6)
- Retour vers le futur 2 (pr)
- Mars Attacks ! (4/6)
- Batman Returns (5/6)
- Batman Forever (3/6)
- Piège de Cristal (5/6)
- Terminator 2 (pr)
- Buttman à Rio (6/6)

Dans les petits plaisirs cinéphiliques (entre 10 et 5 visions) :

- Othello (6/6)
- La soif du mal (6/6)
- Monsieur Arkadin (6/6)
- Orange Mecanique (6/6)
- The Kid (6/6)
- Les Lumières de la ville (6/6)
- Monsieur Verdoux (6/6)
- Le Bon, la brute et le truand (6/6)
- Les Affranchis (5/6)
- Les Incorruptibles (5/6)

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N'écoutez pas Film Freak

Ah oui, les Chaplin. Les Temps modernes je crois l'avoir vu 45 fois.

Moi en fait, j'ai eu cette révélation là, quand aux Etats Unis, avant sa sortie en France, mon cousin me parlait de Jurassic Park comme étant le meilleur film du monde.

C'était ça le premier film que j'ai attendu, vraiment, il m'avait copié le CD de la B.O. sur une K7 que j'avais embarqué avec moi à paris, que j'écoutais en boucle avant que le film sorte.

Première fois que je me rendais compte qu'un mec faisait les films, et que le mec qui faisait celui là, était un type qui en avait fait d'autres que j'aimais, le gars avait fait E.T. quoi, je m'en rendais compte, son nom apparaissait même avant chaque épisode des Tiny Toons, truc de barge.

Jurassic Park, c'est le film qui m'a donné envie de faire du cinéma, qui m'a foutu dedans, à fond. (même si avant que le film sorte mais que je m'y intéressait déjà, c'est paléontologue que je voulais être )


Autre anecdote du type, le même cousin aux Etats Unis va voir un concert avec son frère et mon oncle, ma mère insiste pour que j'y aille avec eux, j'étais tout jeune, je devais avoir une dizaine d'année, même pas, l'idée même de concert me rebutait, mais j'y suis allé.

Je me retrouve dans un stade, devant la colline d'HOLLYWOOD, et un orchestre qui commence à jouer Superman, puis Indiana Jones, puis Jaws, c'était John Williams, j'avais adoré, encore une fois, je me rend compte de l'homme derrière le truc fini.

Révélation.

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gagnant toute catégorie

A View to a Kill, J'ai bouffé beaucoup de Bond à répétitions, mais celui-ci c'est le film du goûter gamin que je revois facilement une fois par ans.







Snow falling on cedars, j'ai fait une maîtrise dessus et j'ai passé une année à le disséquer dans tous les sens, donc forcément... Sinon je me suis repassé "No reservations" 4 fois depuis sa sortie DVD



En tout cas ce n'est pas forcément mes films préférés que je me repasse le plus...
Dial M for Murder j'ai bouffé beaucoup d'Hitchcock à répétition, mais bizarrement je trouve la mécanique de celui-ci particulièrement addictive, un modèle dont je ne me lasse pas.





Les rendez-vous de Paris, j'ai bouffé beaucoup de Rohmer à répétitions, mais le film à sketch me rend celui-ci particulièrement propice aux multiples visions, grand plaisir de la première et de la dernière histoire



Snake Eyes, J'ai bouffé (et je ne bouffe plus) beaucoup de De Palma, mais fut un temps...

On compte les pornos ?

J'en ai mis un. Personne n'a remarqué. Forum de merde.

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N'écoutez pas Film Freak

Scénario: La chaleur fait tourner les têtes sur les splendides plages de Rio. Un reporter voyeur filme les exploits sexuels des plus belles brésiliennes exhibitionnistes. Les Sambas les plus sensuelles deviennent des danses hallucinantes rythmées par des étalons bodybuildés en manque. Points forts: femmes perverses, triolisme torride, décors naturels, gros plans choc, 100% exhibitionnisme.



Le 6/6 doit être pour la réal ou les acteurs, ou juste sur le fait que ça fonctionne sur toi.

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Le 6/6 était surtout une blague. C'est le seul porno en clair que je suis parvenu à enregistrer sur canal à l'époque. Il n'y a avait pas d'Internet ou quoi, il fallait donc faire avec. La K7 fut usée jusqu'à l'os. Toute ma classe de 5ème avait vu le film. Et depuis, le réalisateur-acteur John Stagliano a choppé le sida...

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N'écoutez pas Film Freak

J'étais pas fan de ce film. Mon Stagliano préféré reste Buttman's ultimate workout, avec ses scènes de baise dans une salle de sport !

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Anthony Sitruk - Bien sûr, nous eûmes des orages
(168 pages, 14.00€)
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