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Découvertes 2018
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Auteur:  Castorp [ 02 Jan 2019, 13:57 ]
Sujet du message:  Re: Découvertes 2018

Mais clairement pas Baloches.

Auteur:  Film Freak [ 02 Jan 2019, 14:10 ]
Sujet du message:  Re: Découvertes 2018

Merci d'avoir saisi la perche.

Auteur:  Marlo [ 02 Jan 2019, 14:48 ]
Sujet du message:  Re: Découvertes 2018

Tetsuo a écrit:
Je voudrais combiner 2018 et 2017 parce que j'ai pas assez de films sinon, mais j'ai oublié la moitié des films vus en 2017 (alors qu'il doit pas y'en avoir plus de 6 ou 7)...

Film Freak a écrit:
2018 : 17

Castorp a écrit:
Année extrêmement pauvre niveau cinéma : probablement la pire depuis euh, ma naissance ? Je n'ai vu qu'un seul film en salles, et à peine une petite vingtaine de films hors 2018. La misère.


Vrais cinéphiles 8)

Auteur:  Film Freak [ 02 Jan 2019, 14:55 ]
Sujet du message:  Re: Découvertes 2018

Tetsuo et moi avons une excuse que Castorp n'aura jamais.

Auteur:  Castorp [ 02 Jan 2019, 15:16 ]
Sujet du message:  Re: Découvertes 2018

Film Freak a écrit:
Tetsuo et moi avons une excuse que Castorp n'aura jamais.


Film Freak a écrit:
2013 : 23 films
2014 : 15

Auteur:  Film Freak [ 02 Jan 2019, 15:22 ]
Sujet du message:  Re: Découvertes 2018

Là j'étais juste pas assez curieux.

Auteur:  Castorp [ 02 Jan 2019, 15:29 ]
Sujet du message:  Re: Découvertes 2018

Normalement, cet été, on a fini les travaux à la maison, donc plus besoin de bosser comme un ouf pour rentrer du blé. Et j'aurai mon projo, donc ça va y aller.

Auteur:  Marlo [ 02 Jan 2019, 16:20 ]
Sujet du message:  Re: Découvertes 2018

Castorp a écrit:
Normalement, cet été, on a fini les travaux à la maison, donc plus besoin de bosser comme un ouf pour rentrer du blé. Et j'aurai mon projo, donc ça va y aller.


Bosser comme un ouf : top-2018-t29610.html#p817687

Auteur:  Castorp [ 02 Jan 2019, 18:00 ]
Sujet du message:  Re: Découvertes 2018

Ca fait 2 ans que je fais des semaines de 70h, donc oui.

Auteur:  Jerzy Pericolosospore [ 02 Jan 2019, 19:53 ]
Sujet du message:  Re: Découvertes 2018

Suis écœuré tellement je suis cinéphile.

A part 5 ou 6 trucs, j'ai vu tous les films de vos listes.
Et sinon je n'ai rien découvert cette année.

Merci d'avoir lu (j'anticipe sur "qqun a pété?"). Et bonne année.

Auteur:  Mr.Orange [ 02 Jan 2019, 20:05 ]
Sujet du message:  Re: Découvertes 2018

2018, année du cinéma de genre pour moi, à peine perturbée par quelques excursions à la cinémathèque (Bergman et Bresson). Une obsession qui aura germé d'une fétichisation du giallo massivement représenté et dont les OST sont devenues des doudous musicaux.
Je me permets d'insérer un lien, lorsque j'ai écrit sur le film en question.

1. Phenomena. Dario Argento (1985)

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2. Ténèbres. Dario Argento (1982)

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3. Le Silence. Ingmar Bergman (1963)

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4. L'Oiseau au plumage de cristal. Dario Argento (1970)

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5. Le Syndrome de Stendhal. Dario Argento (1996)

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6. L'Île du Docteur Moreau. Erle C. Kenton (1932)

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7. L'Etrange couleur des larmes de ton corps. Hélène Cattet & Bruno Forzani (2014)

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8. Jeux d'été. Ingmar Bergman (1951)

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9. La Lame infernale. Massimo Dallamano (1974)

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10. Mission Impossible. Brian De Palma (1996)

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11. Phase IV. Saul Bass (1974)
12. Mais... qu'avez vous fait à Solange ? Massimo Dallamano (1972)
13. Les Poupées du diable. Tod Browning (1936)
14. L'Emprise. Sidney J. Furie (1982)
15. L'Abominable Docteur Phibes. Robert Fuest (1971)
16. House. Nobuhiko Obayashi (1977)
17. Corps à coeur. Paul Vecchiali (1979)L'étrange vice de Madame Wardh. Sergio Martino (1971)
18. La Baie sanglante. Mario Bava (1971)
19. Toutes les couleurs du vice. Sergio Martino (1972)
20. L'Enfer des zombies. Lucio Fulci (1979)

Bonus : les meilleures réévaluations à la hausse:
1. Au hasard Balthazar. Robert Bresson (1966) qui reste le plus beau film que j'ai vu cette année
2. Suspiria. Dario Argento (1977)
3. Procès de Jeanne d'Arc. Robert Bresson (1962)

Déceptions:
Les films de la Hammer, Les Chasses du Comte Zaroff.

Auteur:  Tetsuo [ 02 Jan 2019, 21:05 ]
Sujet du message:  Re: Découvertes 2018

Jerzy Pericolosospore a écrit:
j'ai vu tous les films de vos listes.


Même Tango et Cash ? Whaouh !

Que j'ai pas vu, tiens...

Auteur:  Tetsuo [ 02 Jan 2019, 21:08 ]
Sujet du message:  Re: Découvertes 2018

Marlo a écrit:
Vrais cinéphiles 8)


Vrais gens de la vie surtout.

Auteur:  Jerzy Pericolosospore [ 02 Jan 2019, 21:32 ]
Sujet du message:  Re: Découvertes 2018

Tetsuo a écrit:
Jerzy Pericolosospore a écrit:
j'ai vu tous les films de vos listes.


Même Tango et Cash ? Whaouh !

Que j'ai pas vu, tiens...



Il fait partie des 5 ou 6 pas vus, et je crains que... (malgré le très bon runaway train, jamais pu me motiver).

Auteur:  elmergantry [ 03 Jan 2019, 15:58 ]
Sujet du message:  Re: Découvertes 2018

Mask de Peter Bogdanovich

Film revu l’année dernière à l’occasion de sa sortie en DVD (avec notamment deux scènes ajoutées et la musique de Bruce Springsteen en prime comme le voulait le réalisateur). Donc plutôt une redécouverte qu’une vraie découverte.

On pense évidemment à Elephant man à cause du personnage principal (Rocky Dennis, un garçon atteint d’une maladie qui le défigure) mais c’est finalement le seul point commun aux deux films, si ce n’est l’émotion qu’ils provoquent chez moi (au point de me faire pleurer à chaque vision).

Le film a été assez mal traité à l’époque de sa sortie, contrairement au Lynch, en tout cas dans les Cahiers. Article d’Olivier Assayas assez assassin reprochant entre autre à Bogdanovich de faire un portrait trop « gentil » de Rocky et de la communauté (de motards) qui l’entoure. Ce reproche, on le retrouve également sous la plume de Tavernier et Coursodon dans leur dico du cinéma américain : ils vont jusqu’à écrire que le traitement consensuel du personnage ressemble à celui qui était réservé aux noirs dans certaines fictions des années 60 (auxquels Sydney Poitier a souvent prêté ses traits), afin de faire accepter au public ici la difformité, là la « négritude » du héros.

Dans le même ordre d’idées, je me souviens que Eyquem (où qu’il soit je le salue) sur le forum des Spectres regrettait aussi l’aspect trop positif du personnage principal d’Elephant man, écrivant que le film aurait été plus intéressant si Lynch avait rendu moins sympathique John Merrick (il y avait alors un débat « passionnant » autour du film de Kechiche « Vénus noire »).

C’est vrai que Rocky nous est d’emblée montré ici comme quelqu’un de brillant, drôle, attachant, qui sait se faire aimer par tous. Mais le film n’est pas une hagiographie bien-pensante pour autant, racontée dans le seul but de nous convaincre de la beauté « intérieure » des laids.

Mask, c’est surtout l’histoire compliquée (par la maladie) d’une mère et de son fils. Cher interprète à merveille cette femme à la fois forte et fragile, attentionnée mais maladroite avec son fils, leur relation tantôt fusionnelle tantôt conflictuelle où les rôles de mère et de fils s’inversent parfois, est au cœur du film.

Assayas critiquait aussi beaucoup l’épisode avec la jeune aveugle comme étant larmoyant, je le trouve pour ma part extrêmement touchant et traité avec beaucoup de sensibilité. Tavernier et Courdoso, rendons leur justice, louent également ce passage et notent bien la référence (évidente) au Frankenstein de James Whale.

Et s’il fallait retenir cette année la plus belle idée de cinéma, c’est dans ce film que j’irais la chercher. C’est une scène qui se passe dans une fête foraine, traditionnellement un lieu d’exposition, de douleur pour les « monstres ». Elle a une tout autre finalité ici. Je ne vous la raconterai pas, à vous de la découvrir.


Society de Brian Yuzna

Un autre film de monstres mais des vrais cette fois, déguisés en « nobles » de Beverley hills.
C’est drôle, glaçant, grotesque, d’une esthétique volontairement moche et au final très jubilatoire.

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