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 Sujet du message: Richard Donner
MessagePosté: 06 Juil 2021, 10:11 
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1961 : X-15
Pas vu.

1968 : Sel, Poivre et Dynamite (Salt and Pepper)
Pas vu. Avec deux membres du Rat Pack, on dirait l'ancêtre de L'Arme fatale.

1970 : L'Ange et le Démon (Lola)
Pas vu mais pitch très tentant : Un scénariste de films pornographiques dans la cinquantaine tombe amoureux d'une jeune femme âgée de 16 ans. Au début, personne ne semble dérangé, mais quand le couple décide de déménager aux États-Unis, une multitude d'aventures débute.

1976 : La Malédiction (The Omen)
Découvert très tard, trop sans doute, je n'en ai pas grand souvenir mais j'avais été un poil déçu par la relative "simplicité" du film, je crois. Je ne suis pas un inconditionnel de L'Exorciste mais c'est pas L'Exorciste quoi.

1978 : Superman
Un modèle absolu. Je resterai éternellement plus fan des deux premiers tiers (le psychédélique passage de space opera '70s sur Krypton + l'Americana Norman Rockwellien de Smallville) que de l'intrigue à Metropolis dont je goûte peu l'humour avec Otis mais sinon quel tour de force à l'époque d'avoir su adapter le matériau avec le gravitas nécessaire en lui conférant toute la majesté nécessaire tout en variant les tons.

1980 : Rendez-vous chez Max's (Inside Moves)
1982 : Le Jouet (The Toy)
Pas vus.

1985 : Ladyhawke, la femme de la nuit (Ladyhawke)
Kitsch et cheap de bout en bout, de la BO à la photo. Le découpage mollasson et le script laborieux ne parviennent pas à créer un film de fantasy romantique et iconique malgré un concept plutôt bon.

1985 : Les Goonies (The Goonies)
Celui-ci, je ne serai sans doute jamais objectif dessus. Mais contrairement à certains films cultes de mon enfance que j'ai vu à la baisse en grandissant, celui-ci n'a jamais bougé. Le film réussit à capturer l'essence de l'enfance, de la camaraderie, de l'aventure. C'est un véritable fantasme de gosse. Un peu comme si on avait filmé au premier degré l'histoire que des gamins s'inventaient en jouant. Une carte au trésor! Des bandits! Des pièges! Des pirates! Et derrière cette iconographie ludique, le film parvient à être touchant sur la fin de l'enfance, avec cette "maison des Goonies" qui menace d'être détruite, ce grand frère qui traîne encore avec les plus jeunes, la grande gueule sarcastique qui lâche un speech sur un voeu qui ne s'est jamais réalisé... Vraiment, ce n'est pas si facile de réussir un film à hauteur d'enfant en gardant une véracité dans les ressentis.

1987 : L'Arme fatale (Lethal Weapon)
Ce n'est pas mon buddy movie préféré, ce n'est pas le premier du genre non plus, mais ça reste le mètre-étalon, avec sans doute le meilleur tandem. Il y a quelque chose qui tient du "lightning in a bottle" avec ce duo. Le casting est parfait, l'alchimie entre Gibson et Glover servant au mieux la complémentarité, parfaitement caractérisée par Shane Black, de Riggs & Murtaugh, avec cette noirceur qui a disparu des blockbusters d'aujourd'hui (à l'époque, les Traumas du Héros n'étaient pas encore un cliché mais un vrai plus) et juste ce qu'il faut d'humour pour contrebalancer. Le cocktail est nickel.

1988 : Fantômes en fête (Scrooged)
C'est en réalité la première adaptation du Dickens que j'ai vu mais je ne l'ai pas revu depuis que je sais que c'est une adaptation de Dickens. Je l'ai vu jeune, à l'époque où l'on est assez naïf pour se laisser avoir par le marketing français qui choisit un titre cherchant à rappeler SOS Fantômes juste parce qu'il y a Bill Murray en tête d'affiche. Forcément, j'avais été quelque peu. Faudrait que je le revoie.

1989 : L'Arme fatale 2 (Lethal Weapon 2)
J'aime beaucoup ce deuxième épisode, plus noir encore, même si les germes de ce qui allait faire dériver la saga (et le genre) sont déjà là avec le comic relief Leo Getz et les retcons à base de "hey c'est moi qui ai tué ta femme" (c'est vraiment Fast & Furious avant l'heure, cette franchise). Restent un tas de scènes cultes (les chiottes, "Vous êtes noir", l'épaule déboîtée...).

1991 : Le Rêve de Bobby (Radio Flyer)
Jamais vu. De loin, on dirait un truc amblinien que je devrais rattraper.

1992 : L'Arme fatale 3 (Lethal Weapon 3)
Quand j'étais gamin, c'était mon préféré. C'est le premier (de la franchise mais aussi du réal) que j'ai vu en salle, il y avait le générique classe avec la chanson de Sting et Clapton, il y avait plus d'humour (aujourd'hui, les trucs à base de biscuits pour chien, c'est plus trop mon délire, surtout quand tu connais le Riggs d'avant), et des trucs impressionnants sur lesquels tu focalises quand t'es gamin (les balles dum dum, tueuses de flics). Mais ça reste la famille.

1994 : Maverick
J'adore. C'est tout simple mais tout sympa. Sans doute ce qui se rapproche le plus d'un Terrence Hill fait par des américains (cf. la scène des baffes, ça sent l'hommage direct) et ça tient une fois de plus sur la bonhommie de Gibson (dans le film ahem) et l'alchimie avec Foster, qu'on voit rarement dans ce genre de rôles. Avec le poker qui achève de faire du film un western ludique parfait pour les plus jeunes mais que j'apprécie encore aujourd'hui. Et je garde aussi le souvenir d'en discuter après le film avec mon père qui connaissait la série originale...

1995 : Assassins
J'avais aimé au ciné, pour son high concept, mais je l'ai revu à la baisse avec les années même si je lui trouve encore des qualités. Entre le scénario des Wachowski et les retouches de Helgeland, il y a quand même un certain savoir-faire même si ça aurait pu être plus mémorable. Peut-être aurait-il fallu un John Woo pour transcender le matériau...

1996 : Complots (Conspiracy Theory)
Je kiffais autrefois ce petit thriller qui trouve son originalité dans son protagoniste atypique (Gibson, encore parfait) et son ton souvent léger avec cette mythologie séduisante sur les lone gunmen. Superbe photo de Schwartzman et BO de Burwell. C'est Pas revu depuis longtemps mais j'ai envie tiens.

1998 : L'Arme fatale 4 (Lethal weapon 4)
Ca sentait déjà un peu le film de trop à l'époque et surtout le film hors de son temps vu que le cinéma de divertissement US abandonnait de plus en plus les films du type des productions Silver pour des grosses machines mais c'est aussi l'épisode qui achève la transformation de cette improbable licence ayant gagné un nouveau personnage à chaque fois, passant de buddy movie noir à comédie policière familiale. Le proto-Fast & Furious donc, avec cette dernière réplique qui l'assume ("We're family!"). Le film, objectivement plus faible ou juste dépassé (malgré la tentative de surfer sur la mode HK de l'époque, entre Tomorrow Never Dies et Matrix), a donc mon affection.

2003 : [b]Prisonniers du temps (Timeline)[/b]
Première adaptation de Crichton que je voyais après avoir lu et adoré le livre et gigantesque déception face à un quasi-nanar. Là je sais pas ce qui s'est passé mais c'est cheap de partout et, pour la première fois pour un Donner, relativement miscast malgré mes potes Paul Walker et Gerard Butler.

2006 : 16 blocs (16 Blocks)
Vu qu'une fois à sa sortie mais je me rappelle d'une agréable surprise, surtout en ce qui concerne la mise en scène. On attendait un film de scénario, avec son pitch accrocheur, et c'est finalement Papy Donner qui parvenait à surprendre, en s'adaptant aux canons de l'époque, avec une réa nerveuse au service d'une écriture efficace. Et Willis en avait encore quelque chose à foutre à l'époque.

2006 : Superman 2: The Richard Donner Cut (vidéo)
Tout un tas de trucs débiles de la version Lester ont disparu mais certains restent et certaines scènes sont toujours molles (même si le montage d'aujourd'hui aide). Cependant, ça reste mieux foutu et mieux pensé quand même que le Lester, plus cohérent, moins foutage de gueule, moins comique, etc. Mais je pense que le scénar était déjà moins bon à la base donc sous Donner ou sous Lester, ça reste pas non plus RADICALEMENT différent. On passe d'une merde à un film moyen.


Autant un Goonies 2 m'a toujours paru bancal, autant ça aurait été beau de terminer sur L'Arme fatale 5.

Top :
1. Les Goonies
2. L'Arme fatale
3. Superman
4. L'Arme fatale 2
5. Complots
6. Maverick
7. L'Arme fatale 3
8. L'Arme fatale 4
9. 16 Blocs
10. Assassins
11. Superman II
12. La Malédiction
13. Fantômes en fête
14. Ladyhawke
15. Timeline

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 Sujet du message: Re: Richard Donner
MessagePosté: 06 Juil 2021, 10:39 
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Grosse filmo, en fait...
Y en a plein que j'ai pas vus.

1961 : X-15
Pas vu.

1968 : Sel, Poivre et Dynamite (Salt and Pepper)
Pas vu.

1970 : L'Ange et le Démon (Lola)
Pas vu.

1976 : La Malédiction (The Omen)
Je crois l'avoir vu, mais absolument aucun souvenir. Et c'est un genre qui me gonfle en général.

1978 : Superman
A revoir. Quelques souvenirs d'enfance, avec une esthétique cristalline qui m'a marquée, mais c'est tout. Je pensais l'avoir revu adulte, mais en fait non, c'est le 2.

1980 : Rendez-vous chez Max's (Inside Moves)
1982 : Le Jouet (The Toy)
Pas vus.

1985 : Ladyhawke, la femme de la nuit (Ladyhawke)
Quasi aucun souvenir d'un truc que j'avais trouvé super quelconque. Mais je serais pas contre un re-visionnage.

1985 : Les Goonies (The Goonies)
Jamais compris la hype sur celui-ci, mais bon, découvert trop tard. Cela dit, c'est le genre de film que je pourrais revoir à la hausse si je le vois dans de bonnes conditions.

1987 : L'Arme fatale (Lethal Weapon)
J'avais découvert la série avec le 2, que je préfère d'ailleurs assez largement, mais ça reste solide.

1988 : Fantômes en fête (Scrooged)
Pas vu.

1989 : L'Arme fatale 2 (Lethal Weapon 2)
Mon préféré : le plus noir, le plus solide aussi, avec une des morts les plus marquantes du genre.

1991 : Le Rêve de Bobby (Radio Flyer)
Pas vu.

1992 : L'Arme fatale 3 (Lethal Weapon 3)
Adoré gamin, mais le revisionnage a fait mal : trop d'humour foireux, trop de clins d'oeil.

1994 : Maverick
Aucun souvenir.

1995 : Assassins
Pas revu depuis longtemps, mais ça m'avait bien accroché.
Faut que je me le refasse.

1996 : Complots (Conspiracy Theory)
Aucun souvenir.

1998 : L'Arme fatale 4 (Lethal weapon 4)
Alors là, le film de trop. C'est vraiment faible.

2003 : Prisonniers du temps (Timeline)
Nanar.

2006 : 16 blocs (16 Blocks)
Quelques bonnes idées de réalisation, mais le scénario est super faible, et Yasiin Bey est effarant de nullité. Pas revu depuis le ciné, et franchement aucune envie.

2006 : Superman 2: The Richard Donner Cut (vidéo)
Je n'ai vu que le Lester Cut, donc pas d'avis.

C'est vraiment un réalisateur de vidéo-club, dont j'ai vu plein de trucs dans les années 90/ début des années 2000 mais dont j'ai quasiment oublié tous les films.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."


Dernière édition par Castorp le 06 Juil 2021, 11:19, édité 1 fois.

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 Sujet du message: Re: Richard Donner
MessagePosté: 06 Juil 2021, 11:10 
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Localisation: In the Oniric Quest of the Unknown Kadath
Pas vu beaucoup en fait :

1968 : Sel, Poivre et Dynamite (Salt and Pepper)
1970 : L'Ange et le Démon (Lola)
1976 : La Malédiction (The Omen)

1978 : Superman
Je suis pas le plus grand fan du film mais il y a malgré tout une vraie ampleur et une vraie approche sérieuse et premier degré qui fait mouche (et qui disparaîtra dans les suites).

1980 : Rendez-vous chez Max's (Inside Moves)
1982 : Le Jouet (The Toy)
1985 : Ladyhawke, la femme de la nuit (Ladyhawke)
PV mais faut que je rattrape Ladyhawke

1985 : Les Goonies (The Goonies)
Totalement culte. Le film d'aventures de gosses rêvé, combien de fois j'ai rêvé de vivre ce genre d'aventures quand j'avais 10 ans ? Combien de fois j'allais dans la forêt et je faisais semblant de chercher un trésor en évitant les pièges comme dans le film ? J'adorais l'asiatique avec ses gadgets. Vraiment le film a cristallisé quelque chose de vraiment particulier qui en fait quelque chose d'assez inoubliable.

1987 : L'Arme fatale (Lethal Weapon)
J'aime beaucoup et pourtant je suis pas hyper client du buddy movie. Mais là l'équilibre est parfait, c'est drôle mais en même temps vraiment sombre, le personnage de Riggs est génial et j'ai plusieurs fois revu le film avec plaisir.

1988 : Fantômes en fête (Scrooged)
PV

1989 : L'Arme fatale 2 (Lethal Weapon 2)
Je l'aime beaucoup celui-là vraiment dans la lignée du premier, assez dark, de bonnes scènes d'action, de l'humour qui fonctionne etc...

1991 : Le Rêve de Bobby (Radio Flyer)
PV

1992 : L'Arme fatale 3 (Lethal Weapon 3)
C'est celui qui est le plus drôle (presque trop, overdose de Pesci) mais finalement assez peu de souvenirs des scènes d'action.

1994 : Maverick
PV

1995 : Assassins
J'en garde pas un mauvais souvenir.

1996 : Complots (Conspiracy Theory)
Bizarrement jamais vu

1998 : L'Arme fatale 4 (Lethal weapon 4)
Peu de souvenirs si ce n'est que ça sentait la suite de trop. Déjà ringard à sa sortie.

2003 : [b]Prisonniers du temps (Timeline)[/b]
2006 : 16 blocs (16 Blocks)
2006 : Superman 2: The Richard Donner Cut (vidéo)
PV

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 Sujet du message: Re: Richard Donner
MessagePosté: 06 Juil 2021, 12:49 
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1976 : La Malédiction (The Omen)
Trouvé ça assez moyen au final, même sa scène de décapitation "mythique".
3.5/6

1978 : Superman
Son chef d'oeuvre, je ne m'en lasse pas malgré son générique interminable.
6/6

1982 : Le Jouet (The Toy)
Aucun souvenir. Je suis fan du film d'origine.

1985 : Ladyhawke, la femme de la nuit (Ladyhawke)
J'avais adoré (et piqué l'histoire pour faire croire à une nana à qui je la racontais que je venais de l'inventer - pas de bol, à la fin de la soirée elle m'a révélé avoir vu le film). Il faudrait que je le revois.
5/6

1985 : Les Goonies (The Goonies)
Bien aimé à sa sortie, sans plus. Pourtant j'avais 10 ans.
4/6

1987 : L'Arme fatale (Lethal Weapon)
Découvert à la télé des années plus tard, avec une pointe de déception.
4/6

1989 : L'Arme fatale 2 (Lethal Weapon 2)
Personnage féminin nullissime, scénario qui dévie déjà vers la comédie avec ce connard de Pesci.
3/6

1992 : L'Arme fatale 3 (Lethal Weapon 3)
Plus rien à voir avec l'original, le film qui sert à rien. Je comprends même pas comme les fans de la série peuvent ne pas voir le crachat à la gueule qui leur est fait.
1/6

1994 : Maverick
Aucun intérêt.
0/6

1995 : Assassins
Souvenir d'un film où il pleut beaucoup, avec cet abruti de Banderas qui cabotine.
2/6

1996 : Complots (Conspiracy Theory)
J'aimerais vraiment le voir, celui-là.

1998 : L'Arme fatale 4 (Lethal weapon 4)
Bizarrement, celui-là me fait rire.
3/6

2006 : 16 blocs (16 Blocks)
Surprise au cinéma, devant ce film qui se tenait assez bien. Aucun souvenir depuis.
4/6

2006 : Superman 2: The Richard Donner Cut (vidéo)
Révision intéressante, où Donner fait ce qu'il peut avec ce qui reste.
4/6

Je répète ce que je disais en shoutbox, avec une pointe de mauvaise foi : je le mets dans le même sac que Badham. Il a un sommet en plus (Superman), où réellement il dépasse le scénario (déjà excellent), peut-être un tout petit peu plus de talent, mais sur la durée, j'ai du mal à réellement voir la différence. Je ne trouve pas L'Arme fatale, par exemple, spécialement meilleur que La Manière forte. L'impression de voir dans les deux cas un cinéaste qui vaut ce que vaut son scénario.

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 Sujet du message: Re: Richard Donner
MessagePosté: 06 Juil 2021, 14:10 
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Rattrapez Ladyhawke, c'est vraiment un de ses meilleurs.


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 Sujet du message: Re: Richard Donner
MessagePosté: 06 Juil 2021, 14:13 
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Si on coupe le son oui.

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 Sujet du message: Re: Richard Donner
MessagePosté: 06 Juil 2021, 14:23 
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C'est un film qui gagnerait tellement avec une nouvelle BO.


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 Sujet du message: Re: Richard Donner
MessagePosté: 06 Juil 2021, 14:34 
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Certainement. Mais là en l'état, c'est irregardable.

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 Sujet du message: Re: Richard Donner
MessagePosté: 06 Juil 2021, 14:35 
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Film Freak a écrit:
1985 : Ladyhawke, la femme de la nuit (Ladyhawke)
Lui ça fait des années que je veux le rattraper et que je fais pas l'effort. Je crains la découverte trop tardive.


Je ne saurais pas dire à partir de quel âge, mais sur ton fils ca devrait fonctionner.


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 Sujet du message: Re: Richard Donner
MessagePosté: 06 Juil 2021, 14:36 
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Mais là en l'état, c'est irregardable.

N'exagérons rien !


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 Sujet du message: Re: Richard Donner
MessagePosté: 06 Juil 2021, 14:51 
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T'as raison, c'est surtout inaudible.

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 Sujet du message: Re: Richard Donner
MessagePosté: 06 Juil 2021, 14:55 
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 Sujet du message: Re: Richard Donner
MessagePosté: 06 Juil 2021, 16:08 
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Superman : vu à sa sortie, gamin en Australie, c’est pour moi un film compagnon de route, de vie, le témoin d’une époque où dans les films les super héros sauvaient les chats dans les arbres, faisaient voler leur copine pour le fun, où les filles se mettaient à déclamer un poème en plein ciel à leur amoureux capé, où les super méchants étaient plus ridicules qu’inquiétants. Il y avait une bienveillance, une douceur qui je le conçois peut paraître niaise aujourd’hui mais qui moi me rassure quand la violence du cinéma, du monde me rattrapent. Je ressens un peu la même chose quand je revois Rencontres du 3ème type.

Et puis la mort de Glenn Ford (filmé comme du John Ford), le timbre des cloches dans la partition de John Williams à ce moment là, ça m’émeut toujours autant.

La malédiction : pas l’âge requis à sa sortie donc vu beaucoup plus tard avec une impression mitigée. J’ai redécouvert le film il y a quelques années quand Borges du forum des spectres avait attiré notre attention sur la similitude de la séquence du gamin et son vélo avec celle de Danny et sa voiture dans Shining.

Pas vu les autres films ou alors totalement oubliés.


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 Sujet du message: Re: Richard Donner
MessagePosté: 06 Juil 2021, 16:13 
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Jerónimo a écrit:
Film Freak a écrit:
1985 : Ladyhawke, la femme de la nuit (Ladyhawke)
Lui ça fait des années que je veux le rattraper et que je fais pas l'effort. Je crains la découverte trop tardive.


Je ne saurais pas dire à partir de quel âge, mais sur ton fils ca devrait fonctionner.

Ptet pas 5 ans.

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 Sujet du message: Re: Richard Donner
MessagePosté: 08 Juil 2021, 09:02 
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La version longue (plus de 3h) de Superman en vaut la peine ?

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