Si, mais ils ont eu le bon sens de trouver qu'un excellent film d'1H15 précédé d'un clip futuroscope et suivi d'une pub Bouygues Telecom, n'était pas un chef d'oeuvre

http://www.telerama.fr/cinema/films/the-tree-of-life,427453.php

Plus sérieusement, ils ont adoré la partie du milieu et trouvé le reste fumeux.

C'est dans ses mouvements ascendants ou erratiques, décrivant des ouvertures permanentes, à la fois joyeux et effrayants, que "The Tree of Life" trouve toute sa profonde légèreté : quand l'élégie des origines est aussi un art de la fugue.

Le lyrisme poétique, à la fois radieux et automnal, des "Moissons du ciel" ou du "Nouveau monde" a cédé la place à une forme de récit éclaté évoquant tantôt une publicité pour les assurances, tantôt un documentaire National Geographic.

Autant je suis heureux de voir quelqu'un d'autre reconnaître Real Steel, autant la présence du Simon West et surtout du film sur la surfeuse qui s'est fait bouffer le bras...je comprends pas.

J'aime bien la critique de Mad Movies :



En même temps, c'est pas faux

Dans le cas de Mad, c'est un avis (que je ne partage pas du tout). Dans le cas des Cahiers, c'est puant de prétention.

Je trouve pas, ni pour l'un, ni pour l'autre. Mad fait un association paresseuse que je ne saurais considérer comme un avis quant aux Cahiers, ils sont dans un délire autistique dans lequel ils s'enfoncent de plus en plus (leur critique de A Dangerous Method, c'est wouhou !) mais qui traduit plus pour moi un besoin de cacher leur manque de chose à dire que de la prétention.

En même temps, ce n'est pas comme si l'avis de Mad se limitait aux 2 lignes citées sur Allociné et qu'il n'y avait pas derrière tout un article. Tu chipotes

Le championnat du clic de Vodkaster. Victoire de Drive.