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 Sujet du message: King Vidor
MessagePosté: 02 Mar 2015, 14:11 
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MUETS

Le Tournant/La montée vers la lumière (1919)

Better Times (1919)

The Other Half (1919)

Poor Relations (1919)

L'honneur du nom (1920)

L'homme au couteau (1920)

The Sky Pilot (1921)

Love Never Dies (1921)

The Real Adventure (1922)

Dusk to Dawn (1922)

Conquering the Woman (1922)

Peg o' My Heart (1922)

La Victoire mutilée (1923)

La Sagesse des trois vieux fous (1923)

Wild Oranges/Capricciosa (1924)

Le Bonheur en ménage (1924)

Wine of Youth (1924)

Son heure (1924)

La Femme de Don Juan (1924)

Proud Flesh (1925)

La Grande Parade (1925)

La Bohème (1926)

Bardelys le magnifique (1926)

La Foule (1928)

Une gamine charmante (1928)

Mirages (1928)


PARLANTS

Hallelujah (1929)

Dulcy (1930)

Billy the Kid (1930)

Scène de la rue (1931)

Le Champion (1931)

L'Oiseau de paradis (1932)

Cynara (1932)

The Stranger's Return (1933)

Notre pain quotidien (1934)

So Red the Rose (1935)

Soir de noces (1935)

La Légion des damnés (1936)

Stella Dallas (1937)

La Citadelle (1938)

Le Magicien d'Oz (1939)
(seulement les séquences du Kansas)

Le Grand Passage (1940)

Comrade X (1940)

Souvenirs (1941)

Une romance américaine (1944)

Duel au soleil (1946)
Bon souvenir, je me souviens surtout de la fin

La Folle Enquête (1948)

Le Rebelle (1949)

La Garce (1949)

Lightning Strikes Twice (1951)

Japanese War Bride (1952)

La Furie du désir (1952)

L'Homme qui n'a pas d'étoile (1955)

Guerre et Paix (1956)

Salomon et la Reine de Saba (1959)


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 Sujet du message: Re: King Vidor
MessagePosté: 02 Mar 2015, 14:24 
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Tiens on m'a justement donné aujourd'hui le DVD de La Foule que j'ai jamais vu.

Le seul que j'ai vu est Duel au soleil, que j'avais bien aimé. Je me souviens notamment de la fin magnifique et grandiloquente.

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 Sujet du message: Re: King Vidor
MessagePosté: 02 Mar 2015, 14:40 
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Je paie un resto à celui qui a vu tous ses films.

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 Sujet du message: Re: King Vidor
MessagePosté: 02 Mar 2015, 14:44 
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La Foule (1928)
2/6 Il y a un discours normatif poisseux qui m'a rendu ce film très antipathique, un peu comme les mauvais Capra.

Le Magicien d'Oz (1939)
(seulement les séquences du Kansas)
4/6 Le classique culte surestimé et décoratif typique. Ca reste jolie.

Duel au soleil (1946)
Vu il y a bien trop longtemps...

Le Rebelle (1949)
5/6

La Garce (1949)
5/6

L'Homme qui n'a pas d'étoile (1955)
3/6

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 Sujet du message: Re: King Vidor
MessagePosté: 02 Mar 2015, 14:45 
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Art Core a écrit:
Je me souviens notamment de la fin magnifique et grandiloquente.


Pas réalisé par lui si j'ai bien compris.

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 Sujet du message: Re: King Vidor
MessagePosté: 02 Mar 2015, 14:48 
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Oui effectivement. D'après la page Wiki du film ce serait William Dieterle qui aurait terminé le film. Mais on cite aussi Josef von Sternberg, William Cameron Menzies et Sidney Franklin comme réalisateurs ayant participé au tournage. Bref c'est un beau bordel.

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 Sujet du message: Re: King Vidor
MessagePosté: 02 Mar 2015, 14:51 
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Une vraie prod David O. Selznick quoi, qui serait le "vrai" auteur du film.

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 Sujet du message: Re: King Vidor
MessagePosté: 02 Mar 2015, 15:10 
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Le Magicien d'Oz (1939)
Citation:
(seulement les séquences du Kansas)

4,5/6 pour ces scènes alors

La Garce (1949)
5/6

Guerre et Paix (1956)
1/6

Salomon et la Reine de Saba (1959)
2/6

Faut que je vois un bon muet quand même si possible, déjà pour équilibrer avec les deux gamelles de fin de carrière


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 Sujet du message: Re: King Vidor
MessagePosté: 02 Mar 2015, 16:37 
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Mr Chow a écrit:
4,5/6 pour ces scènes alors

Oui, elles se détachent assez nettement.

Sinon je me rends compte qu'à part ça, je n'ai vu que La Furie du désir (Ruby Gentry), qui était assez enthousiasmant mais boiteux.

J'aimerais voir La foule, cette photo du film m'a toujours fasciné :

Image

Mais au ciné, car j'ai pas confiance en Bach Films. D'ailleurs, Art Core, si le DVD te passe entre les mains, tu pourras nous faire une capture s'il-te-plait, qu'on voit ce que ça donne ?


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 Sujet du message: Re: King Vidor
MessagePosté: 02 Mar 2015, 16:38 
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Oui j'essaierai de faire ça.
Mais visiblement la copie est à chier (j'ai vu ça dans les commentaires des utilisateurs sur Amazon).

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 Sujet du message: Re: King Vidor
MessagePosté: 02 Mar 2015, 16:45 
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Même problème pour leur DVD du Vent de Sjöström, d'ailleurs, apparement (je précise parce que c'était, avec La foule, le double-évènement du gros muet jamais-édité-nulle-part-au-monde qui tournait en VHS rip sur le net depuis des lustres, et tout le monde avait eu la bave aux lèvres avant de déchanter...).


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 Sujet du message: Re: King Vidor
MessagePosté: 02 Mar 2015, 16:58 
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Oui le pire c'est que je l'ai chopé aussi :( (heureusement c'était gratos).

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 Sujet du message: Re: King Vidor
MessagePosté: 05 Mar 2015, 10:47 
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Vu quelques-uns en 2007 pour la rétro à la cinémathèque. Peu de souvenir mais j'avais surtout aimé
La Grande Parade (1925) 6/6 ça m'avait fait forte impression

La Foule (1928) 5/6

Sinon:
Le Magicien d'Oz (1939) 4/6
(seulement les séquences du Kansas)
Revu récemment, partie un peu moins statique

Le Grand Passage (1940) 3/6

Film qui avait fait l'ouverture de la rétro
Citation:
Premier film en couleurs de Vidor. La première partie d'un diptyque dont la deuxième ne se tournera jamais. C'est le récit d'une expédition sanguinaire contre les Indiens qui construit le portrait d'un aventurier ambitieux à la recherche irrationnelle d'un dépassement de lui-même. La progression d'un régiment de Rangers dans les montagnes devient mouvement où nature et hommes se mêlent indistinctement. Le film a été longtemps sous-estimé en raison de son incroyable brutalité pour l'époque. On peut aussi voir ce chef d'œuvre aujourd'hui comme le plus férocement lucide sur les guerres contre les Indiens pensés comme des guerres de pure extermination.

Jean-François Rauger


Bafouille de 2007
En fait la cinémathèque a demandé à Warner de produire une copie neuve du film spécialement pour cette rétro. La film rejoindra les archives.

Le massacre du village indien est en effet d'une grande violence et apparaît comme quelque chose d'encore assez dérangeant aujourd'hui. C'est une scène centrale dans le film, magnifiquement mise en scène, dans laquelle tout un village indien se fait encerclé par les troupes menées par le personnage de Spencer Tracy. Le nombre de figurant à l'écran y est impressionnant et le massacre de cette tribu indienne dans un village en feu livre des images saisissantes. Pour autant, on ne sent pas Vidor porter un regard critique sur l'action entrepris par Rogers, malgré la grande brutalité des actes montrés à l'écran. Les soldats en exprimant même parfois une jovialité dans le fait de tuer, renforce un certain malaise. Il est effectivement dommage que la deuxième partie de ce diptyque soit tombé à l'eau car il est concevable que Tracy aurait eu les épaules pour enrichir son personnage, en allant au delà d'un personnage paternaliste et bourru.


Info
Citation:
La 2eme partie ne s'est pas faite à cause du manque de courage des producteurs. Dans la 1ère, Rogers (Tracy) est un formidable héros, dans la seconde, il se désintégrait et ils ont eu peur que le public ne l'accepte pas. Néanmoins, nous avons allongé la première partie tant et si bien qu'elle est devenue un film en elle-même. Et, on avait prévu que je continuerait avec la 2ème. Nous avons continué à payer les acteurs pendant plusieurs semaines. Puis, c'est devenu un mythe, et quelqu'un d'autre a tourné la fin du film, je crois que c'est Jack Conway. Le producteur m'a appelé à NY et m'a demandé si j'étais d'accord. j'étais tellement écoeuré de ne pouvoir finir ce film, que je lui ai dit d'y aller...."


Guerre et Paix (1956) 2/6
Bafouille de 2006!
Décevant au final même si le film se laisse regarder gentiment. Je ne me suis jamais réellement senti proche de l'histoire et des personnages tant la mise en image ne dépasse quasiment jamais la simple illustration. En outre, le film n'est pas vraiment aidé par le jeu de certains acteurs. Entre autres, le cabotinage de Lom en Napoléon et celui de Gassman en Dom juan dont on a du mal à croire qu'Hepburn éprouve un seul sentiment à son égard. Et Mel Ferrer m'est difficilement suportable en l'état. Les décors en studios sont plus ou moins réussi, les scènes en extérieures principalement utilisés pour les séquences de batailles se révèle finalement décevantes malgré le nombre impressionant de figurants à l'écran. Toujours à cause de ce manque de dynamisme elles dénotent un grave manque d'ampleur.
Dommage.


Salomon et la Reine de Saba (1959) Pas de souvenir
Vu à la télé petit (c'est donc mon premier Vidor)

Me reste donc à en découvrir pas mal
Duel au soleil ,Le Rebelle ,La Garce


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 Sujet du message: Re: King Vidor
MessagePosté: 27 Oct 2020, 16:10 
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Merci à La Loupe de m'avoir incité à approfondir la filmo de Vidor.

La Grande Parade (1925)
Film référence (avec Les Ailes de Wellman) sur la Première Guerre Mondiale et ses combats. Rarement (sinon jamais) égalé.
5/6

Bardelys le magnifique (1926)
Film de cape et d'épée mou du genou que sauve partiellement un dernier quart d'heure plus enlevé (ça n'est d'ailleurs pas le seul exemple chez Vidor où la mise en scène "se réveille" pour les scènes finales). Avec le même duo John Gilbert/Roy d'Arcy il est largement préférable de voir La Veuve joyeuse de Stroheim.
2/6

La Foule (1928)
Loin de tout discours normatif comme le suggère Tetsuo, Vidor traite de la difficulté pour l’individu de trouver sa place dans la société sans perdre sa singularité. En cela, il n'est pas différent du Rebelle ou de L'Homme qui n'a pas d'étoiles. Par contre, et à rebours du reste de sa filmographie, à la passion amoureuse se substitue ici une chronique de la vie du couple, de ses meilleurs et moins bon moment, de la lassitude qui s'insinue, de ses petites mesquineries ou du poids des tâches ménagères pour la femme. Ça semble extrêmement humble mais touche souvent juste, le problème majeur étant que le film fait trop défilé de scénettes qui s'enchainent à coup de rebondissements mélodramatiques trop prévisibles et assez peu subtils dans leur traitement.
4/6

Hallelujah (1929)
Il faut passer outre la première demie heure dénuée de tout enjeu dramatique, mais une fois que Nina Mae McKinney entre en scène le film bascule dans une tout autre dimension, de quasi primitif il devient incandescent, presque animal, celui où le côté viscéral de la passion amoureuse me semble le mieux retranscrit de tous les films de Vidor. Et historiquement c'est un film fondamental, l'un des premiers du cinéma parlant, tourné uniquement avec des acteurs noirs (dans le Tennessee, au prix de nombreux conflits avec la population locale) à une époque où le KKK comptait ses membres par millions. Ça n'est peut être pas le plus grand film de son auteur, mais c'est celui que je recommanderai à tous de voir.
4.5/6

Scène de la rue (1931)
Bien que le film souffre de son origine théâtrale (la totalité du film se passe sur le perron d'un immeuble), il se dégage de la description de ce milieu cosmopolite un profond humanisme, où Vidor ne juge jamais la faiblesse de ses personnages (la femme adultère) ni ne laisse transpercer un quelconque racisme. Et puis c'est toujours un plaisir de revoir Sylvia Sidney, ici dans l'un de ses premiers rôles.
4/6

Notre pain quotidien (1934)
Pour une fois il n'est pas question de la place d'un individu dans la société mais d'un groupe. C'est qu'entre La Foule (dont on retrouve ici les deux personnages principaux, John et Mary Sims) et Notre pain quotidien, une crise économique majeur est survenue, mettant à la rue des millions de chômeurs affamés. Ce qui inspirera à Vidor ce film profondément utopiste (y a-t-il film plus positivement socialiste que celui-ci dans toutes l'histoire du cinéma US?), où les plus belles scènes voient ce groupe de crèvent la dalle travailler à l'unisson (magnifique lyrisme de ces hommes qui piochent sur 3km pour drainer l'eau de la rivière vers le champs de maïs), et même si ça patine quand il raccroche un peu artificiellement le mythe de la femme corruptrice au récit, l'ensemble reste très enthousiasmant. Entre celui-là et Hallelujah, y a pas de doutes le mec n'hésitait pas à porter ses couilles.
4.5/6

Le Magicien d'Oz (1939)
Souvenir très confus, et je serais bien incapable de resituer les séquences du Kansas.

Le Grand Passage (1940)
Spencer Tracy en Davy Crockett ça ne m'avait pas emballé des masses. On va dire que je connaissais encore mal Vidor à l'époque.
3/6

Duel au soleil
Un peu comme le précédent, le film mériterait certainement une seconde vision pour être mis en perspective du reste de sa filmographie. Ça reste néanmoins un plutôt bon souvenir, il ne reste plus qu'à me convaincre que même Joe Cotten peut être un amant passionné.
4/6

Le Rebelle (1949)
On dit de Vidor qu'il influença Welles, il l'aura probablement inspiré en retour avec cette histoire de magnat de la presse qui fait inévitablement penser à Citizen Kane. L'un des films les plus aboutis de Vidor et l'un des plus grands rôles de Gary Cooper.
5/6

La Garce (1949)
Très proche de La Foule dans son propos, deux mêmes personnages pareillement étrangers au milieu dans lequel ils vivent et qui se consument dans leur projection irréaliste. L'un sera sauvé par son fils, alors que c'est d'être enceinte que Rosa mourra. Deux bémols, d'une l'intro qui bascule dans un long flashback est totalement artificielle, et de l'autre la confirmation que j'ai un problème avec Bette Davis qui en fait une nouvelle fois des caisses.
4/6

L'Homme qui n'a pas d'étoile (1955)
Un film riche et plein qui combine aux thématiques vidorienne (la place de l'individu dans la société et la dimension morbide de la passion amoureuse) d'autres typiques du western hollywoodien (la mythique frontière qui est rendue ici tangible par les kilomètres de fils barbelés qui sont tirés ou le récit initiatique à la Nicholas Ray).
4.5/6


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 Sujet du message: Re: King Vidor
MessagePosté: 27 Oct 2020, 19:55 
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Lohmann a écrit:

Duel au soleil
Un peu comme le précédent, le film mériterait certainement une seconde vision pour être mis en perspective du reste de sa filmographie. Ça reste néanmoins un plutôt bon souvenir, il ne reste plus qu'à me convaincre que même Joe Cotten peut être un amant passionné.
4/6


C'est Gregory Peck qui est l'amant passionné dans le film mais Cotten, la voix de la raison est très bien aussi.
Bien aimé ce mélo-western too-much découvert cet été...


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