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It's a free world (Ken Loach - 2007)
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Auteur:  Zad [ 07 Jan 2008, 14:30 ]
Sujet du message: 

DPSR a écrit:
Et puis bon ça commence à être un peu systématique tes avis à la *par exemple moi j'aurais fait comme ça*. Ca va, tu vas te calmer, t'es pas Super Nanny ou Valérie Damidot.


lol

Auteur:  DPSR [ 07 Jan 2008, 14:30 ]
Sujet du message: 

Désolé Zad, mais même si tu étais un baby boomer tu n'aurais jamais évolué dans une communauté Emmaüs. L'individualisme c'est pas né avec l'économie de marché.

Auteur:  Zad [ 07 Jan 2008, 14:31 ]
Sujet du message: 

DPSR a écrit:
Désolé Zad, mais même si tu étais un baby boomer tu n'aurais jamais évolué dans une communauté Emmaüs.


:?:

Auteur:  DPSR [ 07 Jan 2008, 14:46 ]
Sujet du message: 

Zad a écrit:
:?:


Je pourrais reprendre tes phrases et changer capitalisme par connardise, hypocrisie ou n'importe quel qualificatif du même terreau que ta phrase aurait le même sens.

Auteur:  Zad [ 07 Jan 2008, 14:47 ]
Sujet du message: 

qu'on me foudroie si It's a free world ne parle pas de capitalisme.

Auteur:  the black addiction [ 07 Jan 2008, 14:49 ]
Sujet du message: 

Zad a écrit:
qu'on me foudroie si It's a free world ne parle pas de capitalisme.


J'ai pas vu le film mais ça me ferait mal au cul que Loach soit capitaliste quand même.

Auteur:  Karloff [ 07 Jan 2008, 14:49 ]
Sujet du message: 

Je crois que tu vas éviter la foudre cette fois-ci...

Auteur:  Jericho Cane [ 07 Jan 2008, 14:54 ]
Sujet du message: 

Le film dévoile toute l'ironie du capitalisme dans ce qu'elle a de pire.

Auteur:  Zad [ 07 Jan 2008, 14:54 ]
Sujet du message: 

DPSR a écrit:
Désolé Zad, mais même si tu étais un baby boomer tu n'aurais jamais évolué dans une communauté Emmaüs. L'individualisme c'est pas né avec l'économie de marché.


wah l'autre qui édite vingt ans après pour me faire passer pour une courge : j'ai pas parlé d'individualisme tout court, mais bien de la "célébration de l'individualisme à tout crin" conjugée à "la paupérisation/précarisation du plus grand nombre".

Auteur:  Zad [ 07 Jan 2008, 14:55 ]
Sujet du message: 

t'inquiète, c'est pas le cas.

Auteur:  Jericho Cane [ 07 Jan 2008, 14:56 ]
Sujet du message: 

Léo a écrit:
Moi ça me ferait mal au cul que Loach fasse un film sans avoir d'empathie pour son héroïne.

Tout à fait... L'héroine de Ladybird n'avait pas que des bons côtés, d'ailleurs. J'aime quand les persos sont ambigus chez Loach.

Auteur:  the black addiction [ 07 Jan 2008, 14:56 ]
Sujet du message: 

Léo a écrit:
the black addiction a écrit:
Zad a écrit:
qu'on me foudroie si It's a free world ne parle pas de capitalisme.


J'ai pas vu le film mais ça me ferait mal au cul que Loach soit capitaliste quand même.

Moi ça me ferait mal au cul que Loach fasse un film sans avoir d'empathie pour son héroïne.


Ouais je vais aller le voir finalement. Tout ça m'intrigue.

Auteur:  DPSR [ 07 Jan 2008, 14:57 ]
Sujet du message: 

Zad a écrit:
qu'on me foudroie si It's a free world ne parle pas de capitalisme.


Le Loach parle du capitalisme (et de plein d'autre choses) mais le capitalisme par nature ce n'est pas les choix malhonnêtes de l'héroïne.

Relier l'intégrité au capitalisme par association ce n'est pas la même chose. Voilà ce que j'essaie de te faire comprendre. Intégrité / capitalisme.

Auteur:  Karloff [ 07 Jan 2008, 14:59 ]
Sujet du message: 

En tout cas, le film parle de situation que je vis (bien sûr en moins dramatique) en tant que chef de service...

Faut-il que je continue à prendre des contrats de qualification alors que je sais que je pourrais pas tous les embaucher ?

Faut-il que je continue à prendre des stagiaires six mois parce que c'est plus pratique ? Alors que je sais que pour eux trois ou six mois ça sert pas à grand chose....

Enfin bref... Je trouve le film super habile à présenter ces dilemmes moraux du capitalisme 2.0

Auteur:  DPSR [ 07 Jan 2008, 15:05 ]
Sujet du message: 

Citation:
wah l'autre qui édite vingt ans après


3:30 pm; edited 3:31 pm *waow l'autre qui refresh sa life*


Citation:
j'ai pas parlé d'individualisme tout court, mais bien de la "célébration de l'individualisme à tout crin" conjugée à "la paupérisation/précarisation du plus grand nombre".


C'est quand même bien contrebalancé par le fait que l'héroïne finit un peu seule contre tous, y compris le public du film.

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