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MessagePosté: 07 Juin 2018, 20:18 
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Même si la question du cinéma en soi, ou plus exactement du droit de filmer/montrer, n'est plus sur le devant de la scène, comme dans le faux-doc Ceci n'est pas un film ou le ludique Taxi Téhéran, je trouve toujours aussi fascinant la façon dont Panahi entretient le doute entre vie réelle et vie mise en scène (big up à la première séquence tout droit sortie d'un film d'horreur), incluant cette ambigüité directement dans ce récit où tout le monde joue son propre rôle et où la protagoniste se demande si elle est le pantin du cinéaste.

C'est une actrice, donc elle le sera toujours dans une certaine mesure, et c'est une femme en Iran, donc elle ne jouira jamais pleinement de son libre arbitre. Avec ce film, Panahi signe un beau portrait d'actrices, chacune à trois étapes différentes de carrières forcément rendues difficiles par le pays dans lequel elles ont exercé, elles exercent ou elles veulent exercer.

Ça s'étire un peu dans le dernier tiers, une fois que certaines questions qui motivaient les deux premiers ont trouvé une réponse, mais, une fois de plus après les deux films suscités, le dernier plan vient parachever le propos en toute beauté et simplicité, dans un élan à la fois triste et allant de l'avant.

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MessagePosté: 07 Juin 2018, 21:33 
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Un élan allant de l’avant ?

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MessagePosté: 07 Juin 2018, 21:38 
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Ouais j'étais pas sûr non plus. À la base c'était "un élan à la fois triste et optimiste" puis "optimiste" m'a paru trop fort donc j'ai mis ça sans changer élan mais bon...faut bien que je donne une raison à des no-life comme Castorp et Billy Budd de poster sinon ils ne posteraient jamais.

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MessagePosté: 07 Juin 2018, 21:43 
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Oui du coup je m’en veux de l’avoir fait pour eux.


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MessagePosté: 07 Juin 2018, 23:41 
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Déjà-vu a écrit:
Oui du coup je m’en veux de l’avoir fait pour eux.


Tu mens très mal.

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MessagePosté: 08 Juin 2018, 07:46 
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C’était simplement pour voir si tu suivais, et évidemment, tu suis.


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MessagePosté: 10 Juin 2018, 22:52 
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J'ai pris énormément de plaisir à regarder ce film, où tout m'a semblé d'une justesse assez sidérante. Les drames qu'il révèle ne sont jamais exacerbés, l'humour n'est jamais trop imposant (tout en étant pourtant assez grivois par moments) et tombe toujours de façon opportune et la tendresse plane continuellement au dessus du film. Un jeu d'équilibriste mené de façon géniale et qui permet à Panahi de trouver le ton idéal pour raconter cette histoire je trouve.

Par ailleurs la découverte de la vie du village, les rencontres qui s’enchaînent, les ballades en montagne, toutes ces choses offrent un côté lumineux au film, et autorisent Panahi de discuter de sujets graves mais avec recul et douceur. Sans apitoiement. Et avec un côté ludique également avec ce jeu de piste qui nous emmène d'un personnage à un autre, et qui rend le film hautement sympathique.

On se croirait dans Taxi Téhéran par moments lors de caméras embarqués dans la voiture, et dans le fait de déballer une galerie de personnages les uns après les autres. ça doit jouer également dans ce flou entretenu entre réalité et fiction mentionné par FF, mais personnellement je lui préfère nettement Trois Visages !

5/6


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MessagePosté: 10 Juin 2018, 22:54 
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Film Freak a écrit:
Même si la question du cinéma en soi, ou plus exactement du droit de filmer/montrer, n'est plus sur le devant de la scène, comme dans le faux-doc Ceci n'est pas un film ou le ludique Taxi Téhéran
Je trouve pourtant que la question est toujours aussi présente, que ce soit le coup de téléphone à sa mère (qui lui demande expressément de confirmer qu'il n'est pas en plein tournage, qui s'il ment aux autres au moins ne lui cache pas à elle la vérité), ou au travers des doutes de Jafari qui demande ouvertement à Panahi s'il n'est pas en train de la mener en bateau
et ne serait pas de mèche avec Marziyeh, d'autant qu'il lui a soumis précédemment un scénario avec pour thème principal le suicide, scène qui sert non seulement de brouillage entre réalité et fiction, mais vient également rappeler que Panahi a nécessairement besoin de subterfuge pour pouvoir réaliser. Marziyeh pourrait d'ailleurs être un double de Panahi, obligé de se cacher pour filmer, de leurrer pour continuer à faire ce qu'il désire avant tout, réaliser des films, comme elle veut devenir actrice.
Ça n'est pas non plus un hasard si le film (après la scène de Marziyeh) débute dans son Pajero, comme une continuité de Taxi Téhéran, pas plus que si la caméra se concentre pendant de longue minutes sur Jafari avant d'enfin faire entrer le réalisateur dans son champs, comme une manière de répondre au narcissisme dont on a pu l'accuser. Pajero qu'il va finalement peu quitter, où il préfère attendre l'arrivée de la cousine plutôt que rester chez les parents de Marziyeh, où il va également dormir plutôt que de profiter du logis d'un des villageois. On est donc très peu éloigné de son précédent opus.
Il n'est enfin pas sans parler de censure, des désirs contrariés d'une jeune femme à devenir actrice à toute une génération d'acteurs (celle pré-révolution islamique) qui a dû soit s'exiler, soit vivre au ban de la société.

Ce qu'il y a de fascinant avec Panahi, c'est sa capacité à être à la fois corrosif et tendre avec les hommes qu'ils filment. Tous ces villageois sont à la fois serviables, généreux, véritablement attachant mais en tant que détenteurs du pouvoir patriarcal sont néanmoins ridiculisés, de cette règle variable des coups de klaxon pour savoir qui doit laisser la priorité (je me suis d'ailleurs demandé si l'acceptation de cette règle lors de la séquence finale n'était pas un aveu de Panahi que d'une certaine manière il accepte de se mettre au pas du pouvoir qui le censure) au prépuce religieusement gardé afin d'assurer la virilité du fils aîné, jusqu'au taureau gisant au milieu de la route, véritable incarnation du pouvoir phallocrate, mal en point mais encore suffisamment vaillant pour que l'on dusse faire demi-tour face à son immobilisme.
A l'inverse les femmes représentent la force émancipatrice qui pourra faire évoluer l'Iran, de celles qui l'ont fait par le passé et résistent à l'ostracisme qui les frappe (Shahrzad) jusqu'à le jeune génération qui s'oppose au diktat de la communauté (Marziyeh). C'était déjà le cas dans Taxi Téhéran avec l'histoire de ce groupe de femmes qui étaient aller voir un match de volley-ball, à l'encontre de la loi. C'est ce qui parcours 3 Visages de bout en bout, ça n'est pas uniquement par humilité que Panahi est en retrait, laissant les femmes s'écharper ou danser ensemble au milieu de la nuit, c'est aussi parce qu'en tant qu'homme il est ne peut participer de ce mouvement qui devra faire tomber les barrières qui les contraignent. Souhaitons pour elle que ce soit le plus tôt possible.

J'avais découvert et apprécié Panahi avec Taxi Téhéran, 3 Visages a un côté plus austère mais je crois que le préfère encore au précédent, peut être aussi parce qu'il fait revivre d'une certaine manière le cinéma de Kiarostami, ses routes sinueuses de montagne qui rappellent la Trilogie de Koker, cette grand-mère qui prépare sa place dans l'autre monde comme une réponse facétieuse à la quête du personnage principal du Goût de la Cerise.


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MessagePosté: 11 Juin 2018, 01:46 
Lohmann a écrit:
(qui lui demande expressément de confirmer qu'il n'est pas en plein tournage, qui s'il ment aux autres au moins ne lui cache pas à elle la vérité), ou au travers des doutes de Jafari qui demande ouvertement à Panahi s'il n'est pas en train de la mener en bateau . .


Étrangement c'est déjà central,il y a plus de 20 ans,dans le très beau Miroir (ou la mère est dans la fiction,mais absente,quand sa fille, présente,refuse le tournage,quitte son faux plâtre et trace dans Téhéran,suivie par une seconde équipe de tournage). Pas rncoee vu le film,mais c'est étonnant comme la situation actuelle de Panahi l'amène à prolonger un de ses premiers films.


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MessagePosté: 01 Juil 2018, 00:26 
Le film m'a plu, mais m'a semblé un peu mineur, et posséder un enjeu formel et politique moins fort que Taxi, dont il est une sorte de prolongation. J'ai aussi préféré, l'âpreté d'un Homme Intègre de Rasoulof, sorti à la fin de l'année passée, qui organise la même confrontation entre monde urbain et rural (même si le film de Panahi est intéressant pour le regard sur la minorité azérie turcophone).
L'effort de Panahi d'aller vers une forme de comédie (déjà sous-jacente dans Taxi et dans le Miroir, qui est est peut-être, comme chez Kiarostami, la raison profonde de leur goût pour le dispositif. Copie Conforme, un des films les plus désincarnés et abstraits de Kiarostami est aussi très drôle), est néanmoins salubre.
Le début du film m'a semblé discrètement et agréablement remaké à partir de l'Antre de la Folie de Carpenter (même rapport de séduction à part égale entre homme et femme permis par la voiture, et en même temps annulé et gelé par la bizarrerie du monde extérieur), et la film m'a par moment un peu penser à la Cité de l'Indicible Peur de Mocky (le village pourrait lui)aussi s'appeler "Barges"). A vrai dire ces références étaient en fait plus présentes dans mon esprit pendant la projection que Kiarostami.


Comme souvent dans le cinéma iranien, tout part d'un élégant point aveugle, donné dès le début, et qui épuise immédiatement les enjeux du film, qui continue quand-même. Ce point aveugle est aussi l'espace du jeu et d'une double dissimulation, opérée vis-à-vis de l'ordre social dominant mais aussi dans un second temops vis-à)vis du réalisateur, alors qu'il prétendait percer avec l'acteur cet ordre . Ce point d'aveugle est donc la condition d'existence de la liberté et de l'intégrité politique, que le film montre comme pareillement nécessaires, mais aussi différenciées: la première luttant contre le réalisateur, la seconde contre le réel.

L'actrice et Panahi se disputent autour du film de l'adolescente, glosant sur les toutes dernières secondes pour y trouver un faux raccord, qui attesterait la véracité du suicide. Panahi s'amuse à confirmer son amie dans son angoisse, en s'appuyant sur son autorité de cinéaste pour dire qu'un montage est impossible , mais personne ne relève que le film n'a tout simplement pas besoin d'être monté, la jeune fille a pu tout bêtement jeter elle-même son téléphone, indépendamment d'une simulation ou non. Ce sadisme, mensonge opposé à la fiction (qu'il iimite), fait basculer le fim dans une sorte de théâtre existentiel sartrien, sceptique et émancipateur - il rappelle , transféré sur des adultes, la dispute qu'il avait avec sa nièce à propos d'un commentaire scolaire de film dans Taxi, mais dans Taxi la nièce tenait bon sur son sens esthétique, et empêchait cette référence encombrante à Sartre).
Il y a une sorte d'accord politique, de consensus sur un ordre que le film place de manière un peu magique à un moment originaire, placé avant le plan, avant l'intrigue, qui est ensuite volontairement oublié,. Cet oubli étant une forme de double neutre et factice d'une chute morale. De manière intéressante, le film inverse alors une perspective attendue : le couple urbain et émancipé vit dans la fiction de ce consensus, fasciné par les bizarreries du village qu'il gobe entièrement (tout le monde sait probablement où est la jeune fille, et semble plutôt fatigué que vengeur vis à vis de ses frasques, Panahi voudrait qu'il y ait une sorte de secret surnaturel ou de sorcellerie impliquant les vieux du village derrière la règle de coups de klaxons, alors qu'il s'agît tout simplement d'indiquer qu'on va croiser dans un virage aveugle et qu'on s'estime prioritaire... ), quand le village, apparement plus patricarcal et réactionnaire (mais aussi lié à une minorité nationale et linguistique, ce qui explique peut-être une forme de recul et d'insoumission discrète par rapport à l'ordre dominant), est très conscient que tout ça relève d'une part non négligeable de plaisanterie et du bluff (la jeune fille explique que l'histoire du coup de klaxon est la seule loi du village qui ne soit pas modifiée chaque jour... et encore...) , un monde un peu à la Lewis Carroll, où la fantaisie est le recul sur soi d'une psyché conservatrice, qui ne peut être contestée que par des hommes et des femmes qui eux sont condamés au premier degré (définition de la gauche pour Sartre d'ailleurs) : la croyance est un rapport extérieur à un ordre qui en nous concerne pas, tandis que le scepticisme et l'ironie ne le caractérisent au contraire que de l'intérieur, sans offrir de perspective de sortie.

Belle fin du film où les deux plus jeunes femmes partent ensemble, solidaires et réconcilliées, mais sans intérêts communs (alors qu'au contraire, l'actrice vielissante ne peut transmettre un objet esthétique qu'à Panahi avec lequel elle est brouillée, ils sont tous deux également des témoins) : pour quitter le carcan patriarcal à la fois étouffant et attachant qui les entourent, il faut peut-être que ces femmes prennent le risque d'opposer ce qui relève du même, de la ressemblance et de la projection de soi-même en l'autre, et ce qui relève de l'intérêt et du récit.


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MessagePosté: 01 Juil 2018, 06:19 
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tape dans ses mains sur La Compagnie créole
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Quelqu’un lit?

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MessagePosté: 01 Juil 2018, 07:49 
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Oui, Gontrand.


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MessagePosté: 01 Juil 2018, 08:14 
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Oberkampf Führer
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Scroll down systématique pour ma part.


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Arnotte a écrit:
Quelqu’un lit?

Oui, même si parfois il me perd


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MessagePosté: 01 Juil 2018, 11:52 
De toute manière
1) on ne peut pas dire que les discussions et échanges soient vivants sur ce forum depuis quelques mois,. La constuction à la fois individuelle et collective d'un regard sur un film est de plus en plus rare. Les oeuvres sont justes évaluées, sans rejet ni défense. Peut-être pour plusieurs raisons privées (vie de famille ou conscience de se répéter) et collective (viellissement du forum correspondant au viellissement du public du cinéma, disparition des relais informels entre professionels du cinéma, discours académique et public, esprit du temps politique diffus donnant l'impression qu'un discours au centre n'a pas besoin d'être justifié mais, à la fois au pouvoir et minoritaire, doit quand-même se défendre agressivement)

2) les nouveaux intervenants (qui sont forcément à un moment ou à un autre des lecteurs) ne sont pas encouragés à écrire. Chacun a une niche et beaucoup sont prêts à dénigrer qui empiète dessus, même involontairement. Ce qui est d'autant plus regrettable que les forums de discussions cinéphiles s'épuisent et disparaissent.

3) rien n'empêche d'Arnotte, déja-vu et ozy de voir le film (Panahi est certes mal, voire pas du tout, distribué en Belgique alors que Bruxelles ne possède pratiquement que des salles de cinéma d'auteur. Il est vrai qu'il coche les mauvaises cases : il ne peut bénéficier d'aucun Tax Shelter ayant permis un tournage local, ou une coproduction, le féminisme est à l'intérieur du film et non sur l'affiche, et il ne repose pas sur un mcguffin érotico-bidon et faussement transgressif à La Rejión Salvaje) et de pondre un avis, si vous en avez un, ou une recension dessus.
En son temps (2000) "le Cercle" etait par exemple sorti dans une salle de cinéma d'une commune du Brabant Wallon, et l'assistance n'était pas ridicule.


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