Forum de FilmDeCulte

Quelques décennies d'histoire américaine, des années 1940 à la fin du XXème siècle, à travers le regard et l'étrange odyssée d'un homme simple et pur, Forrest Gump.


Deudtens a écrit dans le topic qui sert à rien, dernière vision.

Film parfait putain, et qui n'a pas pris une ride. Je me souvenais pas que ca jouait autant avec les repetitions debiles de la voix off (genre Forrest qui dit qu'il a senti quelque chose qui l'avait pique, suivi d'un "YA QUELQUE CHOSE QUI M'A PIQUE"), j'aime bon. Et malgre l'esprit bon enfant, c'est tres glauque dans le fond. Et puis je suis incapable de dire ce que je prefere dans ce film. Il passe super facilement, ca va de scenette en scenette, ya aucune baisse de rythme, c'est genial.

Putain Bob, refais des vrais films comme ca merde.

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J'aime bien ce film sans plus mais c'est un peu le film "impossible a ne pas aimer" et qui est quand meme tres politiquement correct. Ca reste bien fait mais... c'est vite irritant de voir des potes ressasser les repliques et les situations jusqu'a plus soif.

Voila ca y est j'attends les insultes

Je trouve ce film vraiment nul. Enfin, relativement drôle, mais nul dans le fond. Et je trouve Hank bidon. 2/6

Par contre, j'ai vu aux USA une chaîne de resto Bubba-Gump et je me suis demandé si ça datait d'avant ou après le film.

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Anthony Sitruk - Bien sûr, nous eûmes des orages
(168 pages, 14.00€)
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Avant je crois.

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N'écoutez pas Film Freak

Film sublime, marrant, malin, et touchant.
J'en ai suffisamment écrit sur FDC pour ne pas m'étaler davantage.
6/6

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Film pas à fond la première vision mais qui s'est surbonnifié au fur et à mesure. Aujourd'hui, c'est un de ces films que je revois sans lassitude. Le soin du détail y est étourdissant. Et je chiale A CHAQUE FOIS, mais les grosses larmes de malade. Y a peu de film où je chiale en fait, mais lui, violence.

6/6 obligatoire.

ouaip avant, y'en a plusieurs au USA, Monterrey et NY je pense. J'ai été dans les deux, d'ailleurs ce matin je porte fierement ma casquette "Bubba Gump" sur la tête.

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Film éminemment sympathique, et comme on Hollywood ne sait plus vraiment en faire aujourd'hui, mais qui se discute vraiment sur le fond ! Parce que bon, la hippie qui meurt, le soldat qui trouve la rédemption dans la religion, les bonnes vieilles valeurs du sud...

Pareil, je me demande si ça a été créé avant......... Les restos sont plein de merchandising en tout cas. J'ai vu celui de Monterey et t'en as un sur la jetée de Santa Monica...

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Netflix les gars, Netflix.

le film mystère pour moi ; pas que j'aime pas , mais une indifférence totale du début à la fin ... peut être parce qu'on est un peu hors contexte .

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- Nazi violent 1961-2013?
"my... "double anale", c'est ce que je crois?" Chlochette
"J'ai toujours aimé la culture nain" Sponge

A l'époque j'avais vu un reportage sur la folie du film et sur la diversité du merchandising. Et notamment que certaines grande marques de crevette se battaient pour sortir leurs produits sous le nom buba gump. Je pense que tout cela est venu aprés mais bon....

Sinon le 1er resto a ouvert bien aprés le film : 1996
http://www.bubbagump.com/company/about_us.html


EDIT : au passage je fais partie des adorateurs du film. Et je ne regrette pas ma préférence pour ce film dans la bataille au x oscars qui l'opposait à Pulp Fiction.

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J'aime bien le film ; Tom Hanks livre une performance que je trouve très intéressante. C'est vrai que globalement, le message du film est plutôt conservateur, que ça manque globalement de subtilités ; mais l'émotion passe bien quand même.

Et c'est une merveille pour un prof d'HG ; je l'utilise régulièrement pour évoquer le modèle américain. J'en fait un petit montage d'un quart d'heure sur le parcours de Forrest et ça me permet d'aborder à la fois le modèle social et économique US, et certains éléments de l'histoire post 1945. Merci Bob Zemeckis...

Tu dois être interessant comme prof.
Ca me rappelle de mon prof d'histoire-Géo au collège(ou lycée) qui nous parlait ciné et notamment de DIE hard et nous parlait de sa deception vis a vis du 2. (bon aprés l'interet pédagogique de DIE HARD...)

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Effectivement... Bah, sans rire, ça va, en général, les élèves m'aiment bien malgré mon autoritarisme car je les fais souvent rire et j'en rajoute pas mal dans le genre "psychopathe" ou "dictateur" pour dédramatiser les prises de bec. Et l'essentiel, c'est de les "accrocher", de les intéresser... Je pars du principe qu'il n'y a pas d'élèves désintéressés mais juste des profs chiants... Je reconnais qu'il y a des matières plus "porteuses" que d'autres...



Parfois, de mauvais films ont plus d'intérêt pédagogiques que des bons... Rocky IV ou Rambo II et III pour illustrer les années Reagan (et son slogan électoral "America is back"), c'est intéressant... J'utilise aussi pas mal d'extraits de séries (Dexter, Lost...) pour évoquer la société US (l'endogamie et son évolution, la notions de "salad bowl", la place des WASP...). La série Alien est très intéressante aussi... J'utilise des montages comparés de Matrix et des films de Tsui Hark (Il était une fois en Chine) pour parler de la mondialisation culturelle...

Le cinéma français des années 1940 à de nos jours pour le thème "Bilan et mémoire de la Seconde guerre mondiale" (Le père tranquille, L'armée des ombres, la Grande Vadrouille, Lacombe Lucien...)...

Certains Tex Avery ou Disney pour la seconde Guerre mondiale...

J'utilise quand même surtout des documentaires...

C'est d'autant plus intéressant que les vidéo-projecteurs sont de plus en plus fréquents dans les salles de classe (enfin, dans les lycées de centre-ville friqués quand j'arrive à convaincre l'administration ) ; l'avènement du DVD, du PC, des logiciels de montage facilitent la vie des profs ; diaporamas et extraits de films suscitent quand même la curiosité des élèves.

Je leur montre aussi ouvent la scène de la remise des moyennes de Friend de Kwak Kyung-taek...

Mais la lourdeur du programme de terminale, l'impossibilité (le plus souvent) de voir un film dans son intégralité sont des limites importantes...

Putan t'étais où quand je devais me taper les cours de M. de Saint-Aubin en Terminale à St Sulpice et ses serrages de main qui duraient mille ans quand il te croisait dans la cour avec ses cheveux gras plaqués et son haleine de chiraquiste.

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