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MessagePosté: 03 Aoû 2020, 19:22 
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Art Core a écrit:
Puis j'ai trouvé ça hyper mal écrit, comme dit QGJ le perso principal est pas du tout tenu et bien caractérisé. Le mec oscille entre opportuniste total et sincèrement concerné, ça marche pas vraiment.

Ça n'est pas ce que dit QGJ.
Qui-Gon Jinn a écrit:
un coup il est bête à manger du foin, un coup il semble hyper investi mais à côté de la plaque.

Il y a donc bien une ligne claire dans son perso, qui ne brille pas par la profondeur de son engagement (voir la séquence avec la brigade anti-négrophobie - un nom du genre dont je ne suis pas sûr de bien me rappeler - où il est incapable de dater l'indépendance d'Haïti). Le mec est clairement un peu benêt, s'est monté le bourrichon avec son idée de marche des noirs absolument pas préparé (il détermine ceux qui pourront y participer lors de la soirée chez Joey Starr, se rend compte plus tard de la bourde que d'avoir exclu initialement les femmes...).
Quand tu parles d'opportunisme Art Core tu fais références à Black dentiste dans lequel il accepte de tourner? Dans ce cas c'est parce qu'à ce moment du film il a fait une croix sur sa marche, et que le côté pseudo-engagé du film que lui vend Fary a fini de le convaincre. Autrement je ne vois pas d'autres moments qui justifie qu'on le qualifie d'opportuniste.

Art Core a écrit:
Pareil première scène il va voir Claudia Tagbo puis après on comprend que sa marche est réservé aux mecs, ça a pas de sens. Puis à la fin sa meuf, blanche, vient à la marche alors qu'il est dit tout le film que c'est réservé aux noirs. Sans parler en effet du retour du père final totalement wtf en mode "feel good movie" pas du tout mérité.

Là c'est un peu de la mauvaise fois. Lorsqu'il décide de reprendre l'idée de la marche, après l'avoir quasiment laissée tombé, il est évident qu'il n'est plus dans le même état d'esprit. Rien d'étonnant à ce qu'il l'est "ouvert" à bien plus que les hommes noirs à la peau ébène et cheveux crépus.

Film Freak a écrit:
Lohmann a écrit:
Aucun parallèle à faire avec Get out?

J'en vois pas vraiment.

C'est en tout cas très intéressant de les comparer je trouve, parce que de là vient clairement les retours très négatifs de certaines personnes noirs. D'un côté aux US tu as un mec qui joue à fond le côté communautaire (mais pas que, il y a également une dimension individualiste propre aux US qui est plus difficilement transposable en France), y oppose les noirs contre les blancs en intimant aux premiers de s'émanciper des seconds en renversant le rapport de force, quand Zadi décide de tourner en dérision les mouvements communautaires et nous explique que ceux qui en font le plus sont peut-être ceux qui paraissent être le mieux intégré dans la société blanche (scène par ailleurs bien nul avec Omar Sy). J'imagine aisément que certains trouvent la pilule particulièrement dure à avaler.

Abyssin a écrit:
Zadi démonte justement toute cette hystérie identitaire et en prend le total contrepied. Il montre les contradictions, paradoxes et bêtises de ces mouvements décoloniaux, antiracistes racistes, communautaires malsains,...d'où ces accusation de racisme qui doivent être du troll.

Je ne suis pas particulièrement au fait des discours et actions portés par tous ces mouvements, mais les réduire à des contradictions, des paradoxes et des bêtises me semble bien présomptueux. Ne serait-ce que dans décoloniser le arts où je connais certaines personnes qui y sont très actives, ce qu'ils disent et font me semblent loin d'être inutile. Dans les années 60 quel aurait été ton discours vis-à-vis des Black Panthers?

Sinon, j'ai peut-être l'air d'avoir apprécié le film , mais j'ai tout de même un avis plus que mitigé. Il fonctionne par intermittence (avec de longs moments où ça ne marche pas du tout), certaines séquences sont beaucoup trop longues et peu drôles à mon goût (l’engueulade Lucien Jean-Baptiste/Fabrice Éboué que certains semblent pourtant avoir apprécié, la scène avec la journaliste chez Joey Starr et j'en passe), mais il y a tout de même des petits moments de lucidité ou de vacherie un poil plus poussé, où Zadi assume mieux son côté poil à gratter (les paroles de la chanson qu'il a écrit pour son duo avec Soprano, qui invite l'Afrique à laisser aux blancs les thématiques écologiques pour mieux se concentrer sur son développement économique, la visite surprise chez Dieudonné qui est devenu le révélateur ultime des limites que l'on est prêt ou non à dépasser). Mais c'est globalement trop peu. Au final le film emporte tout de même le morceau parce que Zadi développe un énorme capital sympathie, mais il aurait fallu éjecter au minimum la moitié des célébrités qui y apparaissent pour que le tout soit plus homogène.


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MessagePosté: 03 Aoû 2020, 20:31 
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Lohmann a écrit:
Abyssin a écrit:
Zadi démonte justement toute cette hystérie identitaire et en prend le total contrepied. Il montre les contradictions, paradoxes et bêtises de ces mouvements décoloniaux, antiracistes racistes, communautaires malsains,...d'où ces accusation de racisme qui doivent être du troll.

Je ne suis pas particulièrement au fait des discours et actions portés par tous ces mouvements, mais les réduire à des contradictions, des paradoxes et des bêtises me semble bien présomptueux. Ne serait-ce que dans décoloniser le arts où je connais certaines personnes qui y sont très actives, ce qu'ils disent et font me semblent loin d'être inutile. Dans les années 60 quel aurait été ton discours vis-à-vis des Black Panthers?
J'ai des lacunes historiques sur la période des Black Panthers donc je serais bien incapable de te répondre. Sinon effectivemment que ces mouvements ne se réduisent pas à leurs contradictions et paradoxes, j'aurais dû préciser que c'était un point du film qui m'avait bien plu et que Zadi embrassait plus large.


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MessagePosté: 04 Aoû 2020, 09:40 
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Pour ce qui est de l'opportunisme, c'est l'impression qu'au début sa marche n'est qu'une vitrine pour faire du buzz et qu'il n'en a en fait pas grand chose à foutre du militantisme. Je trouve bien l'idée que le perso évolue et qu'il réalise que c'est important surtout après avoir experimenté le racisme (l'interpellation par les flics, le casting avec Kasso...) mais c'est pas suffisamment bien écrit ou bien tenu pour que ça marche.

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MessagePosté: 04 Aoû 2020, 15:59 
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Art Core a écrit:
Pour ce qui est de l'opportunisme, c'est l'impression qu'au début sa marche n'est qu'une vitrine pour faire du buzz et qu'il n'en a en fait pas grand chose à foutre du militantisme.

Ok, j'ai pas du tout eu cette impression, les vidéos Youtube (qui sont probablement ce que le film a de plus corrosif) me semblent montrer qu'il a une vraie conscience politique, le problème étant qu'elle est trop superficielle.


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MessagePosté: 07 Aoû 2020, 22:42 
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Lohmann a écrit:
Art Core a écrit:
Pour ce qui est de l'opportunisme, c'est l'impression qu'au début sa marche n'est qu'une vitrine pour faire du buzz et qu'il n'en a en fait pas grand chose à foutre du militantisme.

Ok, j'ai pas du tout eu cette impression, les vidéos Youtube (qui sont probablement ce que le film a de plus corrosif) me semblent montrer qu'il a une vraie conscience politique, le problème étant qu'elle est trop superficielle.
Certes mais vu qu’on croit (à tort ? à raison ?) que c’est des vidéos recyclées du vrai Jean-Pascal Zadi, on se dit que c’est davantage une manière de présenter au public le réal/acteur quasi-inconnu du grand public (et gratter quelques blagues et minutes de métrage à peu de frais) que présenter le personnage. Du coup on le prend pas vraiment comme un vrai élément de caractérisation qui se voudrait cohérent avec le reste.

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MessagePosté: 20 Déc 2020, 11:32 
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Le film, et c'est bien son objectif, passe en revue quasiment tous les discours et attitudes existant actuellement quant aux problématiques liées au racisme en France et au post-colonialisme (ce qui n'est pas la même chose même si ça se recoupe, mais Zadi le sait) sans vouloir en adopter aucuns. Il possède donc par nature une structure de film à sketch construit autour d'un personnage-prétexte (Zadi rappele un peu les fausses caméras cachées de François Damiens en recourant au contraire à la fausse caméra visible), et donne une leçon finalement pessimiste de sa propre démarche (il faudrait la fiction pour introduire un possible). C'est à la fois sa force et sa faiblesse : il ne dépeint pas l'engagement comme une chose aisée, tout en en faisant son objet apparent. Mais finalement son sujet est plutôt l'ecart qui existe entre une appartenance sociale et un discours politique, qu'il n'arrive pas à combler. Et en un sens c'est rassurant car le discours raciste médiatique, notamment à la Zemmour s'en charge au contraire très vite. Mais il y a un non-dit dans la film : est-ce que l'appartenance à la classe moyenne en France portège actuellement du racisme ? La film parie sur une réponse implicitement positive. Forcément, chaque spectateur ressort alors du film en pensant ce qu'il pensait déjà, c'est sa limite.

Le recours au cinéma plutôt qu'à la télé se justifie plutôt comme un moyen indirect et symbolique de parler depuis l'intérieur de la classe moyenne que pour sa forme (mais paradoxalement, à l'heure actuelle, il est devenu plus facile pour un humouriste ou acteur peu connu de faire un film qu'une émission télé ou même du stand-up, s'il ne veut pas rester sur YouTube). Le cinéma permet ici le recul sur la dimension politique et de rechercher une forme de rapport interne au social. Ce qui est finalement bien observé, mais peut déplaire à celles et ceux qui justement se positionnent encore sur le réel politique à travers le cinéma.

L'humour est mature et le regard est à la fois incisif et capable de faire preuve de pédagogie. Il ne s'adresse ni aux teubés ni aux aigris, ce qui est rare sur ces sujets en France. Les répliques font très souvent mouche. C'est un film catharsis où chaque acteur se présente pour ce qu'il est réellement (c'est une dérision de l'identité réelle mais pas d'un personnage).
Formellement c'est un peu (voire complètement) télévisuel, mais le film est capable de retourner cette faiblesse en atout. J'ai apprécié la fausse bande-annonce qui expédie une version 93 de Moonlight en 40 secondes avec toutes les scènes-clés et la lumière diaprée qui va avec - qui est aussi celle du dénouement réel du film avec le père - d'ailleurs un beau personnage qui fait discrètement pivoter le film. Et les scènes de tabassage policier du film raccordent avec ce que nous avons vu le mois passé avec le tabassage de Michel Zecler. Le studio d'enregistrement hip hop discret dans un coin bourgeois de Paris, rappelant celui de la video, est d'ailleurs un lieu important du film : la situation politique et morale actuelle se chargeant tristement de le rendre plus militant qu'il ne le voudrait.

3/6

Comme je l'ai vu en DVD, il y a une scène coupée ratée avec Josiane Balsako, et une autre, inattendue, plutôt réussie mais amère avec Benjamin Mendy.
Dans les scènes coupées, il apparaît surtout que le personnage de l'acteur confronté à des casting répétitifs et humiliants était plus développé, mais a été finalement
retiré : le film perd directement en continuité narrative ce qu'il gagne comme intention politique.

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MessagePosté: 20 Déc 2020, 19:02 
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C'est l'avis d'avis sur les films qui t'a donné envie de le voir ?


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MessagePosté: 20 Déc 2020, 20:26 
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Oui et non. Je travaille dans un environnement travaillé par les questions de racisme et de mémoire coloniale, à la fois en Belgique, en France et en Afrique, de manière complexe. Une de mes camarades d'études quand j'étais etudiant en licence (qui ne doit plus se souvenir de moi), d'origine de la RDC, maintenant proffe à Nanterre, fait un travail sur la philosophie africaine qui commence a être médiatisé, et a fait un webinar (que j'ai raté) à mon lieu de travail, dont un collègue m'a parlé (en la critiquant, sans méchanceté ni malveillance, mais ce qui m'a mis mal a l'aise : c'était une étudiante particulièrement brillante et sympathique, ce qui va rarement ensemble, et ce qu'elle dit et écrit semble intéressant et articulé mais propice aux raccourcis s'il est reçu sans bienveillance ou de manière mal informée et bornée). Et cet été une cousine dont l'avis compte m'a dit qu'elle avait apprécié le film ce qui a attisé ma curiosité . Puis j'ai vu une interview du réalisateur sur Internet qui m'a donné envie de voir le film.
J'ai lu aussi l'avis plutôt positif de filmsnonutc juste au même moment.

Sinon, sur un point de l'intrigue, le film est critiqué sur le fait qu'il exclut les femmes de sa marche, mais la première scène donne une clé humouristique et cohérente : il est particulièrement dominé par sa femme blanche dans le couple (qui ressemble étonnamment à Adèle la chanteuse), ce qui lui convient apparemment dans l'intimité mais moins pour son image publique.

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MessagePosté: 20 Déc 2020, 21:06 
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C'est un point annexe, mais c'est aussi un environnement où la question de la restitution des oeuvres d'art est discutée, particulièrement depuis le rapport Sarr/Savoy en 2018. Quel que soit le point de vue que l'on adopte sur la question, on ne peut qu'être surpris du rapprochement fait deux ans plus tard par Jean Castex entre l'assassinat de Samuel Paty, Charlie, la laïcité en France et la question de la réparation de la mémoire coloniale. Cela s'appelle souffler le chaud et le froid (je parle là en mon nom).

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MessagePosté: 20 Déc 2020, 22:07 
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J'ai aussi trouvé que le passage avec Omar Sy (que je ne connais pas bien comme acteur) n'est pas mal et se justifie dans le récit. Il est assez ambivalent car le personnage de Zadi est prêt à annuler la marche par jalousie mimétique envers celui de Sy. Et ce dernier est conscient de l'ambiguïté d'un discours à la fois consensuel et radical (la question du franc CFA est en fait, et de très loin, la plus polémique, la complexe et la plus explosive parmi celles mentionnées par le film), sans en faire des tonnes non plus. Et le tout dans une Tesla (signe de réussite écolo mais d'où vient le coltan ?)...

Sinon le concept du film et le jeu de Zadi ne sont pas sans rappeler Grosse Fatigue de Michel Blanc.

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MessagePosté: 20 Déc 2020, 23:09 
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Mais encore ?

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MessagePosté: 22 Déc 2020, 22:54 
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J'ai vu Sans pudeur ni moral, que j'avais bien aimé, lle début est vraiment nul et il y a Vikash et Joeystarr qui discutent de leur couleur de peau. Triste.


Dernière édition par bmntmp le 22 Déc 2020, 23:05, édité 1 fois.

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MessagePosté: 22 Déc 2020, 23:01 
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Tu as changé d'avis car sur la page précédente tu dis que c'est bien...Ou alors c'est bien tant que ce n'est (ou pourvu que ce soit) pas connu ?

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MessagePosté: 22 Déc 2020, 23:10 
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le monologue de Fabrice Eboué... bon dieu.


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MessagePosté: 22 Déc 2020, 23:12 
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