Forum de FilmDeCulte

Vous avez vu Le Soulier de Satin ? Là on peut parler de film fou (mais pas fauché). Il y a quelques similitudes avec Non.

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Mais peut-être la nécessité accrue de faire confiance incite-t-elle à la mériter davantage

Erving Goffman

Lol, tu veux les tuer ou quoi !?

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N'écoutez pas Film Freak

Voilà, maintenant essaie le Principe de l'incertitude.

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N'écoutez pas Film Freak

Top mis à jour :

1942 : Aniki Bóbó
5/6

1972 : Le Passé et le présent (O Passado e o Presente)
5/6

1975 : Benilde ou la Vierge Mère (Benilde ou a Virgem Mãe)
666/6 Chef-d'oeuvre absolu. De Oliveira fait son Ordet. C'est glaçant et sublime (et c'est peu dire que ça va casser les burnes à Cosmo...).

1979 : Amour de perdition (Amor de Perdição)
6/6

1981 : Francisca
6/6

1982 : La Visite (Visita ou Memórias e Confissões)
5/6 Film testament très simple et touchant. Sa sortie posthume coïncide avec le moment où j'ai arrêté d'aller au cinéma...

1985 : Le Soulier de satin
6/6 Mais fait être motivé

1986 : Mon cas (O meu caso)
3/6 En tentant une réflexion sur le rapport entre les images, le théatre, le cinéma, la télé etc., je trouve que De Oliveira se plante un peu. C'est pas son truc...

1988 : Les Cannibales (Os Canibais)
4-5/6 Film complètement barré, avec une fin bien WTF.

1990 : Non, ou la vaine gloire de commander ('Non', ou A Vã Glória de Mandar)
6/6

1991 : La Divine Comédie (A Divina Comédia)
4-5/6

1992 : Le Jour du désespoir (O Dia do Desespero)
5/6

1993 : Val Abraham (Vale Abraão)
Faut que je le revois...

1994 : La Cassette (A Caixa)
5/6 Film qui se passe littéralement dans un bout de ruelle. Les acteurs sont prodigieux.

1995 : Le Couvent (O Convento)
4/6 Moyennement accroché malgré quelques scènes impressionnantes et un casting sympa.

1996 : Party
3/6 De Oliveira qui tente d'aborder le libertinage bourgeois, ça le fait moyennement...

1997 : Voyage au début du monde (Viagem ao Princípio do Mundo)
6/6

1998 : Inquiétude (Inquietude)
4/6 Premier partie géniale, la suite mouaif...

1999 : La Lettre (A Carta)
6/6 Où je découvre, stupéfait, que Chiara Mastroianni peut être une grande actrice...

2000 : Parole et Utopie (Palavra e Utopia)
6/6 Sidération en découvrant ce sublime chef-d'oeuvre réalisé par un vieillard de 89 ans...

2001 : Je rentre à la maison (Vou para Casa)
4/6

2001 : Porto de mon enfance (Porto da Minha Infância)
5/6

2002 : Le Principe de l'incertitude (O Princípio da Incerteza)
6/6 Premier film que j'avais vu de lui : déconcerté. Revu : bouleversifié.

2003 : Un film parlé (Um Filme Falado)
Pas revu depuis longtemps. Je pense que ça me parlerait moins aujourd'hui (hi hi hi).

2004 : Le Cinquième Empire (O Quinto Império - Ontem Como Hoje)
4/6

2005 : Le Miroir magique (Espelho Mágico)
Je me rends compte que j'en ai quasiment aucun souvenir...

2006 : Belle toujours
6/6 Premier film de De Oliveira qui m'a enthousiasmé. J'aimerais bien le revoir (avec le Bunuel...).

2008 : Christophe Colomb, l'énigme (Cristóvão Colombo - O Enigma)
4/6

2009 : Singularités d'une jeune fille blonde (Singularidades de uma Rapariga Loura)
6/6

2010 : L'Étrange Affaire Angélica (O estranho caso de Angélica)
6/6

2012 : Gebo et l'Ombre (O Gebo e a Sombra)
5/6 Film angoissant et angoissé, qui sent la mort (forcément). Peut-être gagnerait-il a être revu ?

Top :
1) Benilde
2) Non ou la vaine glore de commander
3) Parole et utopie
4) Le Principe de l'incertitude
5) Voyage au début du monde
6) Singularité d'une jeune fille blonde
7) Amour de perdition
8 ) L'Étrange Affaire Angélica
9) La Lettre
10) Le Soulier de satin

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N'écoutez pas Film Freak

Je mets la même note que toi à Je rentre à la maison, tout n’est pas perdu. J’ai prévu de voir Le couvent et Gebo.

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Oh Gebo méfie toi.... Faut pas enchainer avec Balle perdue, le 19 juin sur Netflix.

Ouais mais j’ai trouvé que ces deux films

Sinon pour Non ou la vaine gloire, ça m’a fait penser par moments à Perceval le gallois (que j’adore pourtant).

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Tu as fait un tour page 3 (je ne sais pas si les liens fonctionnent encore)?

Non, ils ne fonctionnent qu'une semaine...

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Si c'est le côté fauché qui gêne Cosmo dans Non et qu'il le perçoit comme du manque de souffle ou une facilité, le Claudel pourrait lui plaire en fait. Le film ne se réuse réduit pas à cela Patricia Barzyck est hallucinante : Miss France qui dépasse Maria Casarès en intensité et en intelligence de l'articulation sens historique/ abstraction poétique.

Sinon on trouve pas mal de films de lui sur un blog espagnol dont j'ai déjà donné le nom.

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Mais peut-être la nécessité accrue de faire confiance incite-t-elle à la mériter davantage

Erving Goffman

J'aimerais bien la voir dans d'autres films, tiens...

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Apparemment elle a surtout tourné avec Mocky (intéressant tiens), et dans le premiers Bozon (dont Mods, je l'avais vu, mais ne me souviens plus de son rôle).

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Mais peut-être la nécessité accrue de faire confiance incite-t-elle à la mériter davantage

Erving Goffman

Mocky c'est normal, c'était sa femme.

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Mo-mo-mo-cky

La boule noire.