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MessagePosté: 25 Mai 2022, 00:39 
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Lorsque le film commence en reprenant à l'identique le carton explicatif et la séquence introductive du premier film, au point qu'on en vient à se demander s'ils n'ont pas tout simplement réutilisé les mêmes plans, on craint le pire. Toutefois, ce serait oublier que Joseph Kosinski a fait son entrée sur scène avec Tron Legacy, le tout premier legacyquel, ce nouveau type de relance de franchise où la nouvelle génération part à la recherche de l'ancienne souvent pour revisiter la trame de l'original (la postlogie Star Wars, Creed, Blade Runner 2049, Matrix Resurrections, le dernier Scream et bientôt Jurassic World : Le Monde d'après). Autrement dit, la métatextualité faisait déjà partie de son premier long métrage. Ce que Top Gun : Maverick a de fascinant, c'est qu'il peut se lire à trois niveaux de lecture. Régulièrement, on est face à un quasi-remake scène par scène du premier film qui ne s'avère pas toujours des plus stimulants. Néanmoins, passé l'ouverture par trop déférente, la figure de Maverick, ainsi que celle de Tom Cruise, vient incarner le récit. Le texte relate l'histoire touchante d'un personnage esseulé qui se cherche une place et une attache dans un monde nanisant, renouant avec les récurrences thématiques et esthétiques de Kosinski, tandis que l'indéniable sous-texte dresse le portrait métafilmique d'un acteur qui s'avère tout simplement et résolument incapable de s'arrêter.

De film en film, il apparaît de plus en plus évident que Kosinski travaille les mêmes questions et ce malgré les variations des genres qu'il aborde. En bon formaliste, il expose son univers dès les premières images, par une composition du cadre millimétrée, obsédée par la symétrie et le contraste. Le Grid obsidien d'où perce la lumière de Tron Legacy, les dunes noires et le ciel bleu d'Oblivion, symbolisant la constante opposition entre les pauvres petites mains travailleuses d'en bas et les dominants d'en haut, et la terre et le feu d'Only the Brave, le second menaçant sans cesse de consumer le premier. Dans ce dernier, le cinéaste poussait ce motif de ligne à son paroxysme, la plaçant toujours au centre de l'image, horizontale ou diagonale. Une ligne humaine ou une ligne de feu, renvoyant dos à dos les protagonistes du film à leur antagoniste dans un élan élémentaire et iconique. Cette même division entre les éléments semble régir la mise en scène de Top Gun Maverick, entre ciel et terre, entre jour et nuit, atmosphère et stratosphère. Le film va jusqu'à inclure la monomanie géométrique du metteur en scène dans l'action. En plaçant des caméras IMAX dans le cockpit de ses avions de chasse, Kosinski place la ligne d'horizon constamment dans le cadre et exploite ses incroyables vistas giratoires pour incliner ou renverser cette ligne d'horizon durant l'action, donnant le vertige au spectateur mais symbolisant aussi l'anomalie à rectifier pour les personnages, la catharsis n'étant permise que lorsque l'horizon redevient parallèle au sol.

Dans chacun de ses trois précédents films, Kosinski place ses protagonistes seuls dans le cadre face à ces vastes étendues, isolantes, écrasantes. Le réalisateur a grandi dans le Midwest américain et traduit dans son œuvre l'imposante majesté de la nature sur l'Homme et Top Gun Maverick ne déroge pas à la règle. On y retrouve un Maverick qui vit seul, qui continue de se rebeller contre ses supérieurs mais moins par ego que mû par un mobile plus métaphysique voire spirituel, comme en atteste la séquence du test de l'avion hypersonique, aussi belle dans la forme que le fond.
Lorsque Maverick monte au plus haut dans les cieux semblablement pour parler à Goose, son ami et coéquipier mort dans le premier film, potentiellement par sa faute.
Maverick est un pur héros kosinskien aka un "ouvrier", un de ces invisibles qui rentrent du boulot cradingues, chargé, comme CLU dans Tron Legacy, comme Jack Harper dans Oblivion et comme les pompiers d'Only the Brave, de garder le monde "pur", propre, dénué de virus, de rebuts, de feu ou d'uranium. La dernière ligne de défense. Mais ce que chacun de ces personnages cherche, c'est un lien vers un être aimé et perdu (respectivement son créateur, sa femme et ici le fils de son ami défunt).

A l'instar de Tron Legacy, ce film est non seulement une relecture du précédent ainsi qu'un upgrade (les scènes de vol se font SO-DO-MI-SER) mais également le spécimen rare de suite qui rendrait presque rétroactivement le premier meilleur. S'il n'était pas forcément nécessaire de resservir les mêmes archétypes pour les nouvelles recrues de l'école (la rivalité Hangman/Rooster recyclant le combat de coqs Iceman/Maverick) ou si certains rappels se font grossiers malgré la signification dramatique qu'on essaie de leur donner (le fils de Goose qui chante "Great Balls of Fire" au piano comme son père, provoquant des flashbacks/images d'archives), souvent, lorsque le film rejoue l'original, il l'incarne davantage (le sport torse poil sur la plage n'est plus du "porno soft", pour reprendre le qualificatif assumé par Tony Scott lui-même concernant son caractère crypto-gay, mais du team building). Ce n'est jamais plus vrai que pour le conflit filial qui anime la relation entre Maverick et Rooster, lui conférant autrement plus de poids que le daddy issue cliché de Maverick dans la version 1986). L'arc est schématique et ne surprendra personne mais donne tout de même son cœur au film. Et le terreau théorique défriché par le film parvient même à justifier un dernier acte poussif mais dramaturgiquement nécessaire pour boucler la boucle.
Quand Maverick se réveille dans la neige, je trouvais ça tellement dommage que je me suis pris à espérer qu'il s'agirait d'une hallucination au seuil de la mort et non une soudaine resucée hors sujet d'En territoire ennemi. Heureusement, Maverick retrouve vite Rooster et tous deux retrouvent vite un avion et pas n'importe lequel : un F-14. Pour que la réconciliation soit actée, pour que la trajectoire des deux personnages soit complète, il ne suffisait pas que Rooster soit l'ailier de Maverick lors de la mission finale, comme avec Iceman, il fallait que Rooster se substitue à son père, prenant la place de Goose dans le cockpit de l'avion d'époque. Parce que c'est ça que Maverick cherche. Pas un fils, mais son ami dont il porte encore le deuil et la culpabilité. D'ailleurs, le film aurait gagné à se terminer sur les deux bricolant l'avion et la nouvelle photo sur le même mur montré au début du film plutôt que sur le retour de Penny en mode trophée.

Tout le film est riche d'un point de vue théorique donc, qu'il s'agisse des paysages de Kosinski ou des détails du scénario, et avant toute chose au travers de Tom Cruise. Sans aller jusqu'à dire qu'il s'agit de son Impitoyable, l'ouvrage ne fait que de parler de l'acteur et de sa persona, forgée sur le premier film et cultivée depuis. Pourquoi n'a-t-il pas pris sa retraite? Pourquoi n'est-il pas passé à autre chose? Pourquoi n'est-il pas monté en grade? Pourquoi n'a-t-il pas de famille? Pourquoi n'a-t-il de cesse de vouloir pousser les limites et tout faire lui-même? Plus personne ne veut de lui à l'exception de ses vieux collaborateurs. Une nouvelle génération de casse-cou est prête à prendre sa place. Mais comment apprendre à autrui à être lui? Comment enseigner, transmettre son propre être? Peut-il lâcher l'affaire? Pourrait-il céder la place? A un drone? A des jeunes? Plusieurs scènes remettent en question son statut de héros arrogant, que ce soit cette simple discussion entre deux sex symbols devenus sexagénaires
Val Kilmer, je T'AIME.
ou cette brève scène qui fait l'inverse d'un Marvel, désamorçant l'humour par du gravitas.
Quand Maverick saute par la fenêtre de chez Penny mais se fait quand même gauler par sa fille et lui sourit avant qu'elle lui dise, le plus sérieusement du monde, "Ne lui brise pas le cœur cette fois", faisant disparaître le sourire trademarké de Cruise.
Cependant, contrairement aux autres legacyquels, le héros de l'original reste le protagoniste cette fois. Il n'est pas le vieux mentor que le jeune héros vient chercher.Tom n'est pas prêt de raccrocher. Un jour peut-être mais pas aujourd'hui. Et tant mieux. Tant qu'il poussera les limites au service de son art pour proposer du spectacle ébouriffant comme Top Gun : Maverick ou les Mission : Impossible, rendant irregardables les morceaux de bravoure pourtant inventifs d'un Uncharted, il aura la permission de voler au plus près du soleil.

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MessagePosté: 29 Mai 2022, 14:24 
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Robot in Disguise
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Quand il avait fait TRON LEGACY, Kosinski avait dit un truc du style "Ça se passe pas dans une copie du monde du premier film, mais dans le monde du premier film tel que vous vous en souvenez". Il y a un peu de ça dans ce nouveau TOP GUN qui, s'il commence dans un pur pastiche absolument jouissif du premier (les panneaux, la typo, ce ballet fascinant sur le pont du porte-avion), reprend les "marqueurs" de l'original mais... en en faisant un meilleur film.

Tous les ingrédients de l'original là, mais tous ou presque sont améliorés: il y a la camaraderie mais en mieux, le spectacle en mieux, les méchants un peu anonymes mais au moins cette fois on comprend la mission, le sport au coucher du soleil mais comme dit Film Freak au moins cette fois c'est justifié narrativement...
Finalement il n'y a que le personnage de Penny, ce love interest désincarné au possible, qui n'apporte pas grand chose.
(d'ailleurs génial comment aux obsèques du commandant de la flotte du Pacifique y a quasiment personne de présent.. par contre y a une tenancière de bar du coin)

Profondément old school, se passant dans un monde d'un autre temps (les USA gendarme du monde absolument jamais questionné), le film est formuléïque au possible
(on attend pendant 10 minutes le retour gagnant de Hangman)
mais il est rassurant. On comprend ce qui se passe et, chose trop rare de nos jours, on s'attache aux persos... (même si ça se fait au prix d'un typecasting à tous les étages: Jon Hamm qui avait déjà joué un astronaute, tout comme les anciens interprètes de John Glenn, Glenn Powell et Ed Harris, ce dernier ayant déjà joué l'ancien pilote de chasse et quasi-homonyme de son personnage John McCain [surnommé le Maverick d'ailleurs]. Bref)

Niveau spectacle y a rien à redire, ça envoie du bois, sans jamais ou presque dériver dans le plan CGI dégueu. Avant la séance j'ai vu la bande-annonce de THOR: LOVE AND THUNDER et bon sang le contraste. Ici au moins mon œil comprend ce qu'il voit.

C'est ça finalement qui est le plus réjouissant dans le film: Tom Cruise qui utilise tout son pouvoir pour faire une véritable ode au tournage en dur, un hymne à la gloire des caméras accrochées aux vrais jets (avec toujours les 2 ou 3 mêmes axes, rigueur respectée !), une élégie à la salle de cinéma, un brutal pamphlet anti-canapé et Deliveroo...

Et puis comme dit Film Freak aussi le film parle clairement de l'impossibilité de Tom Cruise de raccrocher les gants. On lui demande de former une nouvelle génération de "Brandt"/Jeremy Renner mais au final il fait tout lui-même.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste
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MessagePosté: 30 Mai 2022, 10:39 
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Outre les scènes d'action à la fois lisibles et impressionnantes, c'est effectivement l'aspect méta sur Tom Cruise lui-même qui constitue l'arc le plus intéressant du film. On n'arrête pas de lui reprocher de faire le même sourire, et il répond invariablement "c'est le seul que j'ai" ; il y a quelque chose de fascinant dans cet acteur qui parvient à faire le (très bon) job depuis des lustres malgré ses limites et à susciter de l'empathie malgré les casseroles de sa vie privée. Cruise a compris ce qu'il sait faire et ce qu'il ne sait pas faire, et navigue dans son périmètre avec une telle précision qu'il en dégage un naturel étonnant. Dans un genre différent bien sûr, il incarne peut-être ce qu'un John Wayne suscitait il y a un demi-siècle : un sentiment d'intimité construit sur la longueur d'une longue carrière, où chaque demi-sourire est enrichi par les centaines de demi-sourires précédents, et où la superposition du rôle du film et de tous les rôles joués auparavant par l'acteur devient presque une force.


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MessagePosté: 30 Mai 2022, 22:39 
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Vous avez tout dit. Sauf peut être que l'histoire d'amour est touchante au possible.


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MessagePosté: 03 Juin 2022, 10:20 
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"Qui est le meilleur pilote ?". Pour nous, la question est vite répondue: Tom Cruise, aujourd'hui, hier et demain.

Bref, Enthousiasme (presque) sans modération pour Top Gun: Maverick, mais c'est le minimum syndical pour un type qui soulève des montagnes pour nous faire péter le niveau Mach 10 du plaisir de cinéma AU cinéma.

Top Gun: Maverick, le sauveur que les salles obscures n'attendaient plus depuis les tutos de MoonWalk de Christophe Nolan sur Tenet .

https://www.youtube.com/watch?v=vFnnKB17-1Y


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MessagePosté: 03 Juin 2022, 11:38 
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Sir Flashball
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Qui est le pire podcast ? Pour moi, la question est vite répondue : l'Heure magique, aujourd'hui, hier et demain.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
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MessagePosté: 03 Juin 2022, 14:48 
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Les bots arrivent même à créer des vidéos sur Youtube maintenant?


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MessagePosté: 04 Juin 2022, 09:53 
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Robot in Disguise
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Inscription: 13 Juil 2005, 09:00
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Castorp a écrit:
Qui est le pire podcast ? Pour moi, la question est vite répondue : l'Heure magique, aujourd'hui, hier et demain.
Quid du Bomcast ?

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MessagePosté: 05 Juin 2022, 20:58 
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Inscription: 20 Fév 2008, 19:19
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Je n'ai pas boudé mon plaisir devant un film classique au possible, qui certes aligne consciencieusement tous les codes (frôlant avec les clichés) du film d'action à bons sentiments, mais les partitions de quelques acteurs-clés (Cruise, Connelly, Hamm) parviennent à émouvoir. Le rythme, le timing du montage dans certaines séquences de dialogue sont très bons.

Mais bien sûr, le film trouve surtout sa vocation dans les superbes scènes d'action. Quelle générosité dans le climax, qui doit bien faire plus de 20 minutes... J'étais scotché à mon siège. Le ballet des avions est capté de façon lisible et parfois lyrique. Le succès du film plaide pour que les producteurs reviennent à des tournages en dur (si j'ai bien compris) avec un bon réal aux manettes. Le plaisir est tout de suite là et je ne suis pourtant pas premier client des blockbusters.


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MessagePosté: 14 Juin 2022, 14:57 
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Garçon-veau
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J'ai adoré. C'est toujours aussi con que le premier (mais en étant un poil moins caricatural), mais c'est fait "à l'ancienne", ça ne prend pas le spectateur pour un con et, au contraire, ça lui en donne pour son argent.
L'aspect double lecture sur le personnage / la carrière de Cruise est évident sans être toutefois lourd ou envahissant, et toutes les réf et trucs qui font appel à la fibre nostalgique sont 1000 fois mieux gérées que dans tous les reboot/remakes récents.
Ça fait du bien.

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Netflix les gars, Netflix.


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MessagePosté: 14 Juin 2022, 15:02 
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Le Cow-boy a écrit:
J'ai adoré.

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MessagePosté: 14 Juin 2022, 15:11 
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MessagePosté: 14 Juin 2022, 15:14 
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Putain Lohmann a vu Top Gun.


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MessagePosté: 14 Juin 2022, 15:46 
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Déjà-vu a écrit:
Putain Lohmann a vu Top Gun.

J'ai pas adoré.
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MessagePosté: 14 Juin 2022, 15:52 
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Inscription: 25 Déc 2008, 02:29
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Non mais t'as vu une production Bruckheimer.


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