Forum de FilmDeCulte

Ce qui est bien avec Aronofsky, c'est que contrairement à beaucoup de cinéastes malhonnête, il ne cherche pas à te faire aimer un mec pour te cracher à la gueule ses défauts dans les dernières minutes, pour te manipuler.

Le personnage de the wrestler, dès les premières minutes, est entier, seul, lessivé, en colère, amère, un vrai être complet dans sa gamme, dont on comprend les actions, bonnes ou mauvaises.

C'est terriblement bien écrit, bien joué (bon, j'ai eu du mal avec le peu de temps qu'a Evan Rachel Wood pour exister). Plus de mal avec la façon de filmer, on ressent la caméra trop souvent (quand les Dardenne savent se faire oublier). Mais bon, je rechigne pas. Ce qui me gène au final, c'est que ce n'est pas tellement le film que j'attendais. Je pensais fondre en larme en entendant le boss, et je ne suis jamais dans cet état là. Parce qu'on ne cherche jamais ça, et quelque part, le film a cette honnêteté. Mais du coup, j'ai du mal à garder quelque chose du film, à raccrocher le truc à la fin.

Donc, je dirais que c'est un très bon film, qui ne me touche finalement que peu, quand je pensais ne pas m'en remettre. Du coup, j'ai enchaîné avec Torino, au lieu de splitter mes visions.

4-4.5/6

L'affiche :




La jaquette :




Les mecs, les meeeeecs...

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UBERLINKS toujours dispo sur OCS et MyCanal!

LOL !

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Enorme!

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Aaaah... Charal...

J'ai l'impression que ses jambes sont dans le mauvais sens.

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Enorme! La jaquette la plus pourrave depuis un bon bout de temps.

exactement, et c'est vraiment quelque chose qui me met hors de moi, qqch que je trouve indigne (flash-back de l'horrible séquence de la famille redneck dans Million dollar baby, tiens, brrr...), esthétique de la complaisance, hop, poubelle.

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Putain c'est pareil j'arrive pas à savoir s'il est de face ou de dos... Jaquette de l'ignoble là et du gros racolage dégueulasse en plus.

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CroqAnimement votre

Oui enfin dans MDB ce n'est pas le sujet, le film touche plus à l'empathie et à la victime en tant que réflexion, rien de simpliste, dans The Wrestler oui c'est de la complaisance.

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