Forum de FilmDeCulte

The Lady est une histoire d’amour hors du commun, celle d’un homme, Michael Aris, et surtout d’une femme d’exception, Aung San Suu Kyi, qui sacrifiera son bonheur personnel pour celui de son peuple. Rien pourtant ne fera vaciller l’amour infini qui lie ces deux êtres, pas même la séparation, l’absence, l’isolement et l’inhumanité d’une junte politique toujours en place en Birmanie. The Lady est aussi l’histoire d’une femme devenue l’un des symboles contemporains de la lutte pour la démocratie.

On aurait pu penser que raconter l'histoire d'un symbole politique encore vivant allait réveiller Besson et l'aider à se surpasser. Enfin ceci dit, ça marche un brin vu l'indulgence de la presse pour ce sommet de dramaturgie pro-peace mongoloïde face à lequel Invictus passerait pour Tueurs nés. Parce que c'est un peu le même registre que le Mandela au petit livret du bon sens politique pour les nuls avec cette Aung San Suu Kyi en bonne ménagère qui laisse des post-it pour expliquer le fonctionnement du micro-ondes qui du jour au lendemain débite des niaiseries sur la démocratie digne de discours miss France face à des foules au sourire benêt (sauf qu'ils ne sourient plus quand ils se font tirer dessus par la junte militaire des officiels qui décident de l'avenir du pays en allant chez la cartomancienne derrière leurs grosses vilaines lunettes). Tout est tellement appuyé qu'on se croirait dans un épisode de Dora l'exploratrice sous couvert de WARNING HISTOIRE VRAIE, avec son étiquette bonne action de film qui lutte pour la démocratie sauf que ce n'est pas une collecte pour les bonnes oeuvres mais une tentative désespérée de renflouer les studios Europa sous couvert d'engagement bidon en visant les nominations pour les oscars. A ce titre, je trouve Yeoh franchement effacée et faiblarde dans son rôle de sainte nitouche qui encaisse les pires dégueulasseries. Rien à sauver donc.
0/6

BIM.

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J'espère que ça sera la critique du film sur le site.

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Ouch.

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Rassurant

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Anthony Sitruk - Bien sûr, nous eûmes des orages
(168 pages, 14.00€)
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Sur l'affiche ils ont oublié de désentrelacer son visage.

Lol

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Netflix les gars, Netflix.

4/6 à The lady et 5/6 à la couleur des sentiments...

FDC, le site übercandide contre les vilains cyniques

Critiques de Bliss et Marie Duval.
Tu devrais être solidaire, pink mafia style.

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Je ne suis même pas vraiment gay, tout ça c'est pour faire chier Art Core.

lol

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Bon ben c'est pas si pire que ça finalement. C'est vraiment un wiki-film de Aung San Suu Kji pour les nuls, les dialogues sont faibles et la musique assez insupportable (qu'on enferme Eric Serra!), mais pour le reste ça passe... Curieusement, ça passe. En un sens, le film est assez "modeste" et se veut simple, sincère. Michelle Yeoh s'en sort vachement bien, Thewlis est OK (les deux gamins par contre sont à baffer). Cyniques s'abstenir, mais franchement c'est pas honteux. Avec un peu d'indulgence j'atteins même le 3/6.

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

slt arnotte juste une petite question t as vu le film comment?

Vision de presse.

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Fais gaffe, c'est un employé d'Europa qui cherche à te coincer !

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