| 1974 
- Carrie
 Le livre qui s'arrache à Hollywood. Un fantastique ancré dans la réalité d'une petite ville du Maine, des adolescents qui évitent les clichés de l'époque, une écriture et une construction intelligentes, une véritable petite perle.
 5/6
 
 
 
 1975
 -  Salem
 King s'attaque au mythe du vampire, qu'il modernise et dépoussière... Manifestement, il n'est pas à l'aise avec les grands mythes (son illustration du loup-garou sera pitoyable).
 3/6
 
 
 
 1977
 -  Rage
 Un véritable petit chef d'oeuvre écrit sous le pseudonyme de Richard Bachman, une écriture ciselée qui ne lache pas le lecteur avant la dernière page. C'est d'une justesse incroyable.
 6/6
 
 -  Shining
 Une réussite jusqu'au 2/3 du livre. La fin est un peu crétine et Kubrick aura bien raison de la virer de son film.
 5/6
 
 
 
 1978
 -  Le fléau
 Premier énorme chef d'oeuvre, que l'écrivain agrémentera de 400 pages supplémentaires quelques années plus tard. Une véritable date dans sa carrière.
 6/6
 
 -  Danse macabre
 Premier reccueil de nouvelles. C'est d'une glauquerie sans nom, et la plupart des histoires ne sentent pas les fonds de tiroir.
 6/6
 
 -  Marche où crève
 Rage en moins bien. Ca reste assez juste, mais il y a manque un petit quelque chose.
 4/6
 
 
 
 1979
 -  Dead zone
 Une structure en trois temps qui enlève une bonne partie de sa force au livre. Mais le tout est très émouvant.
 5/6
 
 
 
 1980
 -  Charlie
 Deux personnages très riches, la première apparition de "la boutique" (sorte de CIA), mais le tout est fort long.
 3/6
 
 
 
 1981
 -  Cujo
 Fin qui s'étire, mais King révèle pour la première fois une véritable méchanceté. Comme Misery, ce livre aurait du être écrit par Bachman (la part sombre de King).
 6/6
 
 -  Anatomie de l'horreur
 King disserte sur le genre... Ca se lit par extraits.
 3/6
 
 -  Chantier
 King abandonne le fantastique pour l'histoire émouvante d'un homme qui défend jusqu'au bout sa maison. C'est carré, simple, efficace, l'un de ses meilleurs livres (et sans doute le meilleur écrit sous le nom de Bachman).
 6/6
 
 
 
 1982
 -  Running Man
 Bachman again, pour une parabole de SF qui n'a rien à voir avec le film que Starsky en tirera quelques années plus tard. Sympathique.
 4/6
 
 -  La tour sombre I : Le pistolero
 Premier volet de La Tour sombre, plus exactement un recueil de chapitres destinés à des magazines. King ne maitrise pas encore son univers. Heureusement, le roman est court.
 3/6
 
 -  Différentes saisons
 Sur quatre nouvelles, trois sont des chefs d'oeuvre absolus et ont donné naissance à de très beaux films. La quatrième ("La Méthode respiratoire") se lit très facilement.
 5.5/6
 
 -  Creepshow
 Scénario du film... Jamais été fan, jamais lu.
 
 
 
 1983
 -  Christine
 King se lance dans le livre rock n'roll. Carpenter en tirera un meilleur scénario, élaguant l'histoire de ses aspects les plus horrifiques. A l'époque, on a cnosidéré ça comme une erreur de la part du cinéaste. Aujourd'hui, on se dit que le film vieillit bien mieux que le livre.
 4/6
 
 -  L'année du loup garou
 Sans intérêt, si ce n'est pour les dessins qui l'accompagnent dans son édition complète (éditée par Albin Michel). Par contre, la préface qui accompagne l'édition J'ai Lu est passionnante.
 0/6
 
 -  Simetierre
 Chef d'oeuvre absolu, longtemps considéré comme son meilleur livre. L'horreur, on se dit que King est un malade mental pour écrire ça. Au demeurant, il retourne un à un tous les codes du suspense et de la peur.
 6/6
 
 
 
 1984
 -  Les yeux du dragon
 King écrit pour ses enfants, utilise des personnages et un univers qui lui sert de toile de fond pour La Tour sombre. Mignon.
 3/6
 
 -  Le talisman
 Ecrit à quatre mains avec Straub, une très belle odyssée, celle d'un enfant parti sauver sa mère dans un univers parallèle. Emouvant, mais un peu long.
 4.5/6
 
 -  La peau sur les os
 Bachman revient, pour une histoire fantastique assez glauque mais pas réellement maitrisée.
 4/6
 
 
 
 1985
 -  Brume
 Second recueil. La nouvelle qui donne son titre au livre est assez mauvaise (dans sa version audio, elle est lue par Willem Dafoe), mais le reste est pas mal du tout.
 4/6
 
 -  Peur bleue
 L'Année du loup garou, scénarisé pour le grand écran. Sans intérêt.
 0/6
 
 
 
 1986
 -  Ca
 King déploie tout son talent littéraire pour un voyage à travers ses thèmes de prédilection. Comme Spielberg, il  révèle un véritable don pour savoir ce qui va toucher le public dans son intimité. D'une émotion rare.
 6/6
 
 
 
 1987
 -  Misery
 Cent fois plus flippant que le film.
 6/6
 
 -  Les tommyknockers
 Les personnages sont sympathique, mais l'histoire est assez crétine. Très très moyen.
 2/6
 
 
 
 1989
 -  La part des ténèbres
 Malgré sa fin un peu tarte, La Part des ténèbres, notamment en raison de son aspect vaguement autobiographique, se hisse sans mal parmi les réussites de l'auteur.
 5/6
 
 
 
 1990
 -  Minuit 2
 -  Minuit 4
 Recueil bien foireux, en dehors de l'excellente nouvelle "Vue imprenable sur jardin secret".
 1/6
 
 
 
 1991
 -  Bazaar
 King casse ses jouets, détruit la ville de Castle Rock, dit adieu à ses thèmes et à son univers un rien gentillet. Une sorte de livre somme, pas forcément réussi dans son ensemble, mais qui laisse augurer du meilleur pour la suite
 5/6
 
 -  La tour sombre II : Les trois cartes
 Chaque épisode est meilleur que le précédent. En découle ici un livre d'aventures assez sympa, assez prenant, dans lequel les personnages sont posés un à un avec patience. La saga n'est pas encore l'oeuvre gigantesque qu'elle deviendra, mais on sent ici ou là les prémisces.
 4/6
 
 
 
 1992
 -  Jessie
 Premier roman de l'après Bazaar. Effectivement, King a bien changé, c'est d'une noirceur quasi insoutenable, mais moi je décroche totalement. Jamais lu en entier.
 
 -  La tour sombre III : Terres perdues
 Episode meilleur que le 2, on approche de la grande oeuvre, on commence à piger les thèmes et les aboutissants de l'histoire... On attend la suite.
 5/6
 
 
 
 1993
 -  Dolores Claiborne
 On reste dans l'après Bazaar, avec une histoire très influencée par Bachman. Un portrait de femme(s) absolument sublime, très sous-estimé (ou plutô un peu oublié) dans l'oeuvre de l'auteur.
 6/6
 
 -  Rêves et cauchemars
 Recueil de nouvelles. Certaines sont belles, d'autres non.
 3/6
 
 
 
 1994
 -  Insomnie
 Abandonné au bout de cent pages à l'époque. Je le reprends sous peu.
 
 
 
 1995
 -  Rose Madder
 Pas lu.
 
 
 
 1996
 -  La ligne verte
 King s'essaye au roman à épisodes. Il faut impérativement se forcer à le lire dans les conditions de l'époque pour comprendre l'attente insoutenable qui entourait la sortie de chaque épisode (un par mois). Lu d'une traite, le livre perd de sa force, notamment en raison de sa construction (chaque premier chapitre résume le dernier de l'épisode précédent). La fin est incroyablement émouvante.
 6/6
 
 -  Désolation
 Nom di diou ce que c'est noir ! J'en garde peu de souvenir, si ce n'est celui d'avoir été assez choqué par ce déchainement de violence sadique.
 5/6
 
 -  Les régulateurs
 CF mon autre message.
 
 
 
 1998
 -  Sac d'os
 King prouve avec ce livre que son écriture égale celle des plus grands. L'histoire est belle et émouvante, incroyablement flippante, et le tout est hyper bien écrit.
 6/6
 
 -  La tour sombre IV : Magie et Cristal
 King enchaine deux chefs d'oeuvre la même année. Ce tome 4 est d'une beauté sans nom, on chiale comme une madeleine à la fin. C'est long, certes (900 pages), mais on ne décroche pas avant la dernière ligne.
 6/6
 
 
 
 1999
 -  La petite fille qui aimait Tom Gordon
 Jamais accroché. Comme pour Jessie, je ne parviens pas à entrer dedans.
 
 -  Coeurs perdus en Atlantide
 Pas lu, mais j'aime bien le film.
 
 -  La tempête du siècle
 Scénario d'une série télé, pas lu.
 
 
 
 2001
 -  Un tour sur le bolide
 Une nouvelle écrite pour le net. Pas lu (ou bien je ne m'en souviens pas).
 
 -  Ecriture
 Aucun souvenir. Je ne me souviens même plus si je l'ai lu.
 
 
 
 2002
 -  Dreamcatcher
 Lire ce livre, c'est comprendre pourquoi les fans trouvent le film foireux. Fort réussi et très bien écrit, Dreamcatcher parvient à partir d'une histoire finalement assez conne, à devenir une belle histoire d'amitié et de sf.
 6/6
 
 -  Le talisman des territoires 2
 Grand jeu, trouver qui des deux auteurs (Straub et King) a écrit quoi. Incroyablement poétique dans son écriture, et dans sa façon d'amener le lecteur dans les lieux décrits, le livre est en plus un beau portrait d'une petite ville comme l'auteur les affectionne. Par ailleurs, il permet de mieux comprendre l'univers de La Tour sombre.
 6/6
 
 
 
 2003
 -  Tout est fatal
 Pas lu.
 
 
 
 2004
 -  La tour sombre V : Les loups de La Calla
 Pas lu.
 
 -  Roadmaster
 Euh, là y a un problème. Ce qui est annoncé comme le dernier roman de King (le pauvre est entrain de devenir aveugle et arrête donc d'écrire, aux dernières nouvelles), n'est qu'un pétard mouillé tout pourri, assez bien construit, mais écrit avec les pieds.
 2/6
 
 
 
 2005
 -  La tour sombre VI : Le chant de Susannah
 Pas lu.
 
 -  La tour sombre VIl : La tour sombre
 Pas lu.[/b]
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