Forum de FilmDeCulte

Donc le milieu.

Tu répètes ce que dis Tom là.

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Pour le coup il a raison..... Ça n'apporte rien à l'intrigue, ça tente d'épaissir le perso mais ça se vautre complètement...... Je trouve ça bidong aussi.

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Netflix les gars, Netflix.

Nan je vois, mais en fait comme justement de 3,5 à 0/6 c'est des films sans grand intérêt (qu'on reverra pas, et une note qui poussera pas les autres à y aller), j'ai l'impression qu'après on doit se démener à coup de 4,5 et 4,75/6 pour recréer une échelle d'appréciation dans les films dignes d'intérêt.

Bon en fait je sais pas pourquoi je fais chier, vu que je note plus moi...

Oui, oui, je répète et dévellope tout en niant une déviation quelconque.

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Que ça se vautre, c'est une chose. Mais l'intention a un but, c'est pas une "considération inutile".

Sinon le protagoniste n'a pas de motivation personnelle.

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Blague ratée.

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Oui des fois, j'aimerai disposer de plus de nuances pour noter (genre sur 10) mais bon, l'habitude...

Et j'hésite à arrêter de noter aussi pour éviter les "hé mais ta critique reflète pas ta note" ou les "hé tu mets plus à tel film qu'à tel film".

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Je suis sûr que dans la VF ils lui filent un petit accent allemand.

Sinon, en fait, le coup du millitaire maltraîté, tu es en train de dire que c'est une béquille, quoi ? Pour rendre le personnage vivant (ahah) ? OK. Je considère. Mais en tant que spectateur, j'ai trouvé ça inutile et chiant.

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I am the constant. You were always a variable.

Moi c'est surtout en alternant avec la vision de films plus anciens, où ca devenait absurde (noter à la même hauteur le film sympa qui vient de sortir et un des trucs majeurs d'un cinéaste pour lequel t'as néanmoins envie d'établir une hierarchie entre les films)... Bref, je m'en passe très bien, et puis ca m'évite de réfléchir à la note durant la vision du film, ce qui est mal.

Oui, je pense qu'en notation, celles qui souvent reflètent le mieux ma pensée sont le 4,5 et le 5, le 0 aussi car souvent, je le justifie et ça doit être VRAIMENT naze pour que je mette 0. Le 6, c'est souvent un tas d'émotions et le 4 peut parfois avoir des qualités que je cite à tout va, mais bim! 4.

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Y a pas mal de films entre 2/6 et 4/6 pour lesquels j'ai de l'affection, ou qui recèlent de détails sympas ou de scènes réussies. C'est aussi entre ces deux notes que j'ai tendance à donner une seconde chance si l'occasion se fait. En gros, y a vraiment qu'entre 0/6 et 2/6 que je lâche totalement l'affaire.

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I think we're gonna need a helmet.

Après, je trouve aussi que tout ce qui touche aux persos et notamment à l'émotion ou la romance est pas assez approfondi (le trauma, le père, la meuf, etc.).

Mais je préfère qu'ils essaient plutôt qu'il fasse un perso jetable qui sert juste le temps du film.

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Oui c'est pour ça que je note pas les vieux films (sauf dans le tableau).


Déformation inévitable.

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C'est vrai que le film est plein de petites choses gênantes et non cohérentes, de manque de rigueur, mais l'enthousiasme et la générosité de Duncan Jones m'ont permis, sur la longueur, de passer outre tous ces défauts et de bien marcher. Ce n'est qu'après-coup que j'ai trouvé certains choix assez maladroits.
Pour le reste, j'aime beaucoup ce mélange de simplicité dans le trait et d'amour du détail visible dans la première partie du film. Pendant presque une heure, le film est d'une belle légèreté, toujours ludique, presque anachronique finalement, cette atmosphère se ressentant assez peu dans les séries B actuelles (pour tout dire, j'ai pensé au Hitchock de "La mort aux trousses" par exemple). La mise en scène, mis à part quelques plans interdits (les deux plans que deudtens a trouvé ultra-classes : le ralenti avec l'incendie, et le bullet-time qui sort d'une publicité pour une banque ou une assurance), est classique dans le bon sens du terme, vraiment efficace, toujours derrière le scénario. On ressent une vraie jubilation dans ces variations autour d'une scène, largement partagée par Jake Gyllenhaal d'ailleurs, vraiment bon, dans l'exploitation d'un décor restreint et de personnages tantôt secondaires tantôt simplement figurants. Chaque nouveau début est un vrai plaisir, c'est un jeu mené avec le réalisateur, on se sent alors complice de lui.
La deuxième partie du film est malheureusement bien plus bancale, c'est d'ailleurs dans cette partie que les problèmes de scénario sont le plus nombreux. Pendant presque une heure, on suit surtout une collection de petits courts-métrages presque tous identiques. Entre eux, des scènes intrigantes, certes, mais ne prenant jamais le dessus sur le reste. On est collé aux basques du passager du train, et non du militaire, et on est derrière lui dans la recherche du terroriste. C'est ensuite le militaire qui prend le dessus, Duncan Jones s'embourbe dans ses explications qui n'auraient jamais du être si poussées ; à trop vouloir évacuer le mystère, on finit par heurter le spectateur qui, en passant de l'esprit rêveur à l'esprit scientifique se met naturellement à tiquer devant certains détails. La direction prise à la fin est plutôt audacieuse, assez courageuse, mais j'aurais préféré que le film se tienne à son postulat de départ, sans développer ce contexte bancal et maladroit.

4/6

C'est bien mais ça aurait pu être mieux.

Bah non, tu mets 3,14.

A par ça, je sens que je vais être tout seul sur ce film.