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 Sujet du message: Le Skylab (Julie Delpy, 2011)
MessagePosté: 10 Oct 2011, 22:34 
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J'ai pas vu les précédents Delpy mais y a quelque chose dans la BA qui dégageait un minimum de sympathie, notamment au travers de certains acteurs de la nouvelle génération que j'aime bien comme Elmosnino, Menochet et Lacoste.

Bon, le film est exactement à l'image de cette BA : il n'y a aucune structure, aucun liant, un faux prétexte avec ce satellite de la Mort qui menace de tomber et le passage à l'âge adulte de l'alter ego de la réalisatrice pour servir de toile de fond à une chronique enchaînant les saynètes attendues du sous-genre filmique qu'est le "film de réunion de famille", avec les discussions politiques qui s'enveniment à table, les grands-mères qui racontent leurs souvenirs de guerre sans doute exagérés, les différences dans l'éducation des enfants, les jeux (amoureux) de ceux-ci, etc.

Heureusement, du cliché émane une certaine sincérité, qu'on imputera à l'aspect autobiographique de l'oeuvre, mais malgré la justesse ou l'humour de certains moments, l'ensemble va franchement pas très loin et le résultat apparaît au final comme inconséquent. Chaque séquence dure de manière interminable, la mise en scène est trop effacée et le scénario s'abandonne à quelques errances avec notamment cette sous-intrigue de traumatisme post-service militaire dans le Tchad qui débarque à 10 minutes de la fin du film comme un cheveu sur la soupe pour justifier ou illustrer on ne sait quoi.

Mais le pire, c'est sans doute les guillemets qui ouvrent et ferment le film, situés au présent avec Karin Viard dans le rôle de l'alter ego de Delpy aujourd'hui, qui fait un caca nerveux dans l'Eurostar et fait chier le monde pour qu'elle, son mec et leurs deux enfants puissent prendre la place dans le Carré afin de jouer au jeu des Sept Familles. Au travers de ces deux séquences, Delpy se croit dans son droit à revendiquer ses places au nom de "la Famille" (alors qu'un des passagers qu'elle veut déloger lui dit très justement ce que j'étais en train de penser, à savoir "meuf, si tu veux que toi et ta famille soyez face à face, fallait y penser au moment de ta réservation, de quel droit tu viens déranger et t'octroyer le confort des autres?") mais passe juste pour une connasse.

Et du coup, après ça, j'en viens presque à réinterpréter le reste du film comme étant décidément celui d'une connasse qui exhibe fièrement sa famille immédiate à elle, soixante-huitarde, libérée, qui parle de sodomie devant ses enfants et qui vote à gauche. Et d'un coup, le quota sympathie disparaît en même temps que l'humilité...

2/6

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MessagePosté: 10 Oct 2011, 23:13 
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Moi j'ai bien aimé.

C'est une ode au joyeux bordel des 70's, simple et amusante.

Film effectivement gratuit, déstructuré, où chaque scène est plus inutile que la précédente. Delpy offre une totale réminiscence - souvent facile - mais qui fonctionne sur moi à 200%. Tout ce qu'il y a dans ce film, c'est du vécu en famille big time... J'ai trouvé ça moins artificiel que Les Petits mouchoirs dans un style voisin, moins tire-larmes et plus réjouissant. Je le reverrai avec plaisir, rien que pour l'ambiance et les comédiens.

Delpy n'a pas de talent de mise en scène, mais son écriture est chouette et sa direction d'acteurs toujours juste.

4/6

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MessagePosté: 10 Oct 2011, 23:15 
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Film Freak a écrit:
Et du coup, après ça, j'en viens presque à réinterpréter le reste du film comme étant décidément celui d'une connasse qui exhibe fièrement sa famille immédiate à elle, soixante-huitarde, libérée, qui parle de sodomie devant ses enfants et qui vote à gauche. Et d'un coup, le quota sympathie disparaît en même temps que l'humilité...


Bah en gros, elle explique dans quel contexte bordélique elle a grandi... puisque Julie Delpy, c'est la petite Albertine (excellente d'ailleurs). Ça va pas plus loin, c'est un peu comme une nouvelle autobiographique en littérature. Une carte postale envoyée en 1979 et qui n'arriverait qu'aujourd'hui. C'est complètement inoffensif. Si tu t'es un peu marré, alors ça va.

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MessagePosté: 10 Oct 2011, 23:17 
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Z a écrit:
Film Freak a écrit:
Et du coup, après ça, j'en viens presque à réinterpréter le reste du film comme étant décidément celui d'une connasse qui exhibe fièrement sa famille immédiate à elle, soixante-huitarde, libérée, qui parle de sodomie devant ses enfants et qui vote à gauche. Et d'un coup, le quota sympathie disparaît en même temps que l'humilité...


Bah en gros, elle explique dans quel contexte bordélique elle a grandi... puisque Julie Delpy, c'est la petite Albertine

Je sais, je le dis dans mon message.

Citation:
Ça va pas plus loin, c'est un peu comme une nouvelle autobiographique en littérature. Une carte postale envoyée en 1979 et qui n'arriverait qu'aujourd'hui.

Voilà ça manque d'ambition et d'intérêt.

Citation:
C'est complètement inoffensif.

Bah sur la fin, non, justement.

Citation:
Si tu t'es un peu marré, alors ça va.

"un peu" étant le mot clé.

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MessagePosté: 10 Oct 2011, 23:26 
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Film Freak a écrit:
Voilà ça manque d'ambition et d'intérêt.


Je considère que l'ambition c'est d'être juste dans ses souvenirs et dans leur retranscription à l'écran. Moi ça me suffit. J'aurais aimé être surpris, mais bon...

Citation:
Bah sur la fin, non, justement.


C'est ce que je dis, c'est un film intégralement rempli de scènes inutiles. Pourquoi se priver de la crise de Menochet si les sourires de la scène précédente sont tout aussi vains ? Le film raconte plusieurs blagues ou chansons in extenso, et je crois que le film ne va pas plus loin que ça : c'est une blague, une anecdote qu'on te raconte au coin d'une table. C'est un exercice totalement égoïste, sauf s'il entre en résonance avec le vécu du spectateur.

Quant à la parenthèse, elle est dispensable... elle indique juste la nostalgie du bordel d'autrefois, où tout le monde braillait. Y a un petit côté Liberté Oléron tout le long du film d'ailleurs.

Je crois que Delpy se sent avant tout anachronique et ringarde, c'est ce qui transparait dans tous ses films, y compris Before Sunset.

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MessagePosté: 10 Oct 2011, 23:49 
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Z a écrit:
C'est ce que je dis, c'est un film intégralement rempli de scènes inutiles. Pourquoi se priver de la crise de Menochet si les sourires de la scène précédente sont tout aussi vains ?

Parce que le reste est cohérent...là ça devient un autre film.

Citation:
Le film raconte plusieurs blagues ou chansons in extenso, et je crois que le film ne va pas plus loin que ça : c'est une blague, une anecdote qu'on te raconte au coin d'une table. C'est un exercice totalement égoïste, sauf s'il entre en résonance avec le vécu du spectateur.

Outre l'égoïsme, c'est justement ce côté in extenso, cette absence de maîtrise ou cette intransigeance à couper, qui coule entre autres le film je trouve...

Citation:
Quant à la parenthèse, elle est dispensable... elle indique juste la nostalgie du bordel d'autrefois, où tout le monde braillait.

Elle est pas juste là pour la nostalgie (ce qui ne me pose pas problème) mais pour l'imposition de la sacro-sainte famille sur les autres...moi j'aurai été dans le carré, j'aurai cédé ma place mais celui qui ne veut pas n'a pas à être cloué au pilori devant les autres passagers comme si c'était lui l'égoïste.
Et je dis ça en étant très très "famille" moi aussi...

Citation:
Y a un petit côté Liberté Oléron tout le long du film d'ailleurs.

Le Poda est beaucoup plus sévère avec soi je trouve (Denis en papa un peu connard) et surtout incroyablement drôle ("les pétons").

Citation:
Je crois que Delpy se sent avant tout anachronique et ringarde, c'est ce qui transparait dans tous ses films, y compris Before Sunset.

Ah ça elle est ringarde oui.

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MessagePosté: 11 Oct 2011, 00:29 
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Vas-y t'as pas aimé, laisse-moi kiffer.

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MessagePosté: 11 Oct 2011, 07:17 
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Long et dépourvu d'intérêt. Delpy, n'ayant rien à raconter, étire ses scènes sans parvenir à nous faire comprendre pourquoi elle raconte spécifiquement ce week-end là et pas un autre (puisqu'il est dit dans le film qu'ils se réunissent ainsi régulièrement). Vu que les sujets tels que la politique, la guerre, le passage à l'âge adulte, l'éveil à la sexualité, sont totalement survolés, ce doit être autre chose mais je n'ai pas trouvé. La 'parenthèse' est horripilante, et les costumes sont insupportables.
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MessagePosté: 11 Oct 2011, 08:07 
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Film Freak a écrit:
Mais le pire, c'est sans doute les guillemets qui ouvrent et ferment le film, situés au présent avec Karin Viard dans le rôle de l'alter ego de Delpy aujourd'hui, qui fait un caca nerveux dans l'Eurostar et fait chier le monde pour qu'elle, son mec et leurs deux enfants puissent prendre la place dans le Carré afin de jouer au jeu des Sept Familles. Au travers de ces deux séquences, Delpy se croit dans son droit à revendiquer ses places au nom de "la Famille" (alors qu'un des passagers qu'elle veut déloger lui dit très justement ce que j'étais en train de penser, à savoir "meuf, si tu veux que toi et ta famille soyez face à face, fallait y penser au moment de ta réservation, de quel droit tu viens déranger et t'octroyer le confort des autres?") mais passe juste pour une connasse.

Et du coup, après ça, j'en viens presque à réinterpréter le reste du film comme étant décidément celui d'une connasse qui exhibe fièrement sa famille immédiate à elle, soixante-huitarde, libérée, qui parle de sodomie devant ses enfants et qui vote à gauche. Et d'un coup, le quota sympathie disparaît en même temps que l'humilité...


Putain...

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MessagePosté: 11 Oct 2011, 10:44 
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Cosmo a écrit:
les costumes sont insupportables.


lol

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MessagePosté: 17 Oct 2011, 11:05 
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Film Freak a écrit:
Elle est pas juste là pour la nostalgie (ce qui ne me pose pas problème) mais pour l'imposition de la sacro-sainte famille sur les autres...moi j'aurai été dans le carré, j'aurai cédé ma place mais celui qui ne veut pas n'a pas à être cloué au pilori devant les autres passagers comme si c'était lui l'égoïste.
Et je dis ça en étant très très "famille" moi aussi...


Je l'ai vu justement comme une scène ironique, où Delpy nous dirait que malgré son éducation par des anarcho-gaucho-trucs, elle a aujourd'hui des réactions de vieille rombière insupportable, elle aussi, comme un pied de nez relativisant le poids familial. On peut évidemment l'interpréter différemment, mais alors elle ne sert vraiment, vraiment pas à grand-chose, cette parenthèse.
Sinon le film est agréable et dispensable effectivement. Delpy avait-elle besoin d'un succès populaire après ce qui a sans doute été un échec financier (La Comtesse) ? Je lui concède en tout cas l'art d'instaurer une certaine gène dans le rose-bonbon, mais elle pousse parfois ses scènes un peu trop loin. Par exemple, la chanson de l'oncle, y'avait pas besoin de la pousser jusqu'au couplet oublié ; le discours de l'ancien para aurait été assez fort en s'arrêtant juste à "maintenant, je m'emmedre" ; etc.
(Denis Ménochet quand même, quelle présence, même dans des trucs mineurs comme ça)
3/6


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MessagePosté: 17 Oct 2011, 11:20 
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boultan a écrit:
Sinon le film est agréable et dispensable effectivement. Delpy avait-elle besoin d'un succès populaire après ce qui a sans doute été un échec financier (La Comtesse) ?


C'est sans doute moins calculé que ça. Pendant le tournage de La Comtesse, sa mère dont elle est très proche meurt, et elle est contrainte de continuer le tournage. En sortant du film, elle écrit un récit mélancolique sur son enfance et décide d'y interpréter sa mère. Ça donne une comédie légère et décousue pour lui rendre un hommage simple et sincère. Après, il y a un producteur qui a pensé que ça rapporterait de l'argent, certes.

J'attends son suivant avec appétit (2 days in NY avec Chris Rock en remplacement d'Adam Goldberg).

Citation:
Je lui concède en tout cas l'art d'instaurer une certaine gène dans le rose-bonbon, mais elle pousse parfois ses scènes un peu trop loin. Par exemple, la chanson de l'oncle, y'avait pas besoin de la pousser jusqu'au couplet oublié ; le discours de l'ancien para aurait été assez fort en s'arrêtant juste à "maintenant, je m'emmedre" ; etc.


C'est hallucinant cette envie de mettre in extenso deux blagues et quatre chansons. J'avais détesté ça dans Les Petits mouchoirs (sur une chanson entière, il torchait par exemple entièrement la rupture de Gilles Lellouche, pratique). Le slow de la petite avec le DJ nudiste, c'est looooong aussi. Mais j'y peux rien, ici j'aime bien. Vendu je suis.

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MessagePosté: 17 Oct 2011, 13:39 
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Par rapport à Skyline, ça vaut quoi ?

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MessagePosté: 10 Mar 2014, 00:11 
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Sir Flashball
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Beaucoup apprécié ce film malgré une dernière demi-heure foireuse, qu'il aurait tout simplement fallu couper, pour arrêter après l'engueulade à table.

J'ai aimé comment de l'anecdote, du futile, Delpy parvenait à décrire tous les jeux de pouvoir et d'influence qui peuvent se jouer dans une famille ordinaire. Je retiens cette séquence de débats entre mères de famille sur l'éducation des enfants, où l'on sent la puissance du jugement poindre dans les regards, la gestuelle, mais qui contraste avec l'impossibilité de le formuler, tant les rapports familiaux, qui mettent en relation des gens qui n'ont rien à voir entre eux, entravent la liberté de la conversation. La scène du repas, plus loin, en est le miroir, où toute la violence du non-dit explose d'un coup.

Cosmo disait plus haut qu'il ne comprenait pas pourquoi Delpy avait choisi de filmer cette journée en particulier ; mais à mes yeux, c'est justement sa parfaite banalité, sa non-singularité, qui rend la démarche fascinante. Parce qu'elle est moins une réalisatrice qu'une excellente directrice d'acteurs, c'est par le dialogue et le regard, et non par sa maîtrise du cadre, qu'elle livre cet instantané doucereux de la famille française. Ce qu'elle parvient du coup à capter, c'est l'unité cahotante de cette cellule familiale, qui s'opère mécaniquement par les liens du sang, mais qui ne matérialise pas dans les faits. En résulte un film un peu malade, gras, qui ne sait pas se finir, mais qui est pour moi l'un des plus justes écrits sur le sujet depuis un bail.

Quoi qu'il en soit, je ne le trouve certainement pas léger, ni inconséquent, et encore moins inoffensif. Et ça ne me paraît pas évident DU TOUT que sa conclusion soit qu'il faille sans réserve embrasser la famille. C'est beaucoup plus ambigu que ça.

4.5/6, mais les deux premiers tiers sont à 5.

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