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Ben en même temps c'est le propre des mecs géniaux, ce qui rend leurs exigences légitimes, c'est qu'ils se les appliquent à eux-mêmes, pour Steve Jobs ce sont ces 90 heures dont tu parles. Tout le monde peut pas suivre, mais dans leur esprit à eux, il n'y a pas plus normal, ils sont hyper rigoureux avec eux-mêmes. C'est beau.

Ouais, enfin, c'est pas parce que t'es génial que t'as le droit d'être odieux, faut pas déconner.

Comparer Michael Jackson et Steve Jobs, y'a quand même pas trop de rapport...

Et comme le dit Cosmo, Steve Jobs cherchait à imposer une vue particulière et unique. Il a cherché à construire "une oeuvre" qui le dépasserait et continuerait à exister après sa mort. Le réduire au rôle de simple chef d'entreprise uniquement obnubilé par l'argent est réducteur et faux, en faire un génie détaché des intérêts financiers serait irréaliste.

Voilà, il n'est pas devenu un créateur pour être chef d’entreprise, mais l'inverse.

Et comme le dit Cosmo, Steve Jobs cherchait à imposer une vue particulière et unique. Il a cherché à construire "une oeuvre" qui le dépasserait et continuerait à exister après sa mort. Le réduire au rôle de simple chef d'entreprise uniquement obnubilé par l'argent est réducteur et faux, en faire un génie détaché des intérêts financiers serait irréaliste.

Jobs returned to Atari and was given the task of creating a circuit board for the game Breakout. According to Atari co-founder Nolan Bushnell, Atari offered $100 for each chip that was eliminated in the machine. Jobs had little interest in or knowledge of circuit board design and made a deal with Wozniak to split the bonus evenly between them if Wozniak could minimize the number of chips. Much to the amazement of Atari, Wozniak reduced the number of chips by 50, a design so tight that it was impossible to reproduce on an assembly line. According to Wozniak, Jobs told Wozniak that Atari gave them only $700 (instead of the offered $5,000) and that Wozniak's share was thus $350