Forum de FilmDeCulte

Jésus avait donc un monosourcil. Hot take.

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Il avait même un brushing.

Qui aurait pu croire d'ailleurs qu'avec une telle pilosité, le mec avait horreur des poils pubiens.
La première fois qu'il débarque chez Nénèsse, l'espingouin choppe Lio et, alors qu'il s'apprête à la ken, rit. "Que?" Il rase au kilomètre la toison interminable de la portugaise et soudain la péninsule ibérique fut à nouveau unie.

Olé.

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J'ai d'abord lu Enrique Iglesias j'ai failli faire une syncope.

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CroqAnimement votre

J'ai vu le bonus du DVD Carlotta (et le film, des reticences mais c'est peut-être parce que je le decouvre après la trilogie de la vie, intéressant de voir d'ailleurs le même
type de scènes dans la Contes de Canterbury, avec l'incarnation érotique et fraternelle du diable ou la manière d'exploiter un vieil urbanisme pour lier rapport de l'homme
à sa mémoird et au pouvoir politique) l'homme était intéressant en effet. Une trajectoire de cinéma qui ne serait plus possible à l'heure actuelle.
La manière dont il raconte son casting sauvage (pas tant que cela car il s'était incrusté dans le salon de Pasolini) par Pasolini est extrêmement drôle.

Par approximation les medias francophones le présentent comme un syndicaliste et/ ou un communiste, alors que l'histoire est différente (et pas top-secret) : c'était un jeune leader étudiant à l'université de Barcelone, à gauche et anti-franquiste, et visiblement sensible au catalanisme, d'un milieu bourgeois. Enfin bon il est parfois intéressant de se documenter un peu par rapport à ce qu'on lit sur Internet.

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Mais peut-être la nécessité accrue de faire confiance incite-t-elle à la mériter davantage

Erving Goffman