Forum de FilmDeCulte

lol



Grands dieux ! Des majuscules ! Tu sors l’artillerie lourde là...



Aaah, la bonne vieille technique scythe-meisterienne qui consiste à balancer plein de noms dans le vent pour faire genre-je-m'y-connais. Continue de pas changer surtout, ça serait dommage que l'humanité aille mieux...



J'attaque surtout ta condescendance hallucinante qui t'autorise paresseusement à distribuer bons et mauvais points sur le texte d'un mec auquel tu ne comprends rien, qui parle d'un domaine qu'il connaît certainement mille fois mieux que toi (l'art et le cinéma) et surtout qui a largement digéré toutes les références philosophiques et théoriques dont tu ne sembles savoir que l'orthographe des noms.

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N'écoutez pas Film Freak

Réponse sur la forme et non le fond.

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Vous ajoutez à ça, le bruit et l'odeur...

Serge Daney est Dieu et Tetsuo est sa Jeanne d'Arc.

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L'ennui est le mal suprême, le péché originel, l'avant-goût du néant déja sur les lèvres et dans les tripes.

J'aie pas osé, mais j'en pensais pas moins.

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Oh la belle conjuration d'imbéciles que voilà...

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N'écoutez pas Film Freak

mon pauvre...et dire que tu te crois athée.

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L'ennui est le mal suprême, le péché originel, l'avant-goût du néant déja sur les lèvres et dans les tripes.

En attendant, la phrase de Daney sur le rapport temps-cinéma, si elle ne s'applique pas uniquement au cinéma, reste intéressante. Donc bon... d'ailleurs, vous l'interprétez comment, cette phrase ?

Mais mon bon Tetsuo, où ai-je parlé du texte? J'ai cité une phrase qui était une position sur l'art, dont je suis presque sûr (ou en tout cas j'ose l'espérer) qu'elle était pour Daney lui-même un raccourci parce que ce n'était ni le temps ni le lieu. Mais il se trouve que ce raccourci est, dans tous les sens qu'on le prenne, bête, ce qui n'est quand même pas bien méchant comme adjectif (Karl l'a qualifié de "culcul", mais il est probablement d'une condescendance hallucinante lui aussi).



Oui, l'argument des noms : tu cites des noms, ca doit forcément cacher un manque de connaissances véritables. Outre l'imbécilité de l'argument, tu passes à côté de l'intérêt de mon emploi des "auteurs" ici (outre le fait que développer mes propres idées face à toi est une pure perte de temps, et qu'à défaut de me croire moi, on peut laisser le bénéfice du doute à ce qui est une partie des plus grands philosophes du XXème siècle) : le simple fait que les auteurs cités aient développé chacun à leur manière une réflexion sur la temporalité des œuvres rend caduque le raccourci de Daney. C'était un simple constant : pour une thèse de Daney, on en trouve vingt qui la contredise.
Mais bon, après on peut continuer à croire que Daney était un savant philosophe qui avait établi un puissant système de compréhension ontologique de tous les arts, et que lui, en qualifiant tel cinéaste ou tel public de collabo, ne distribuait pas les bons et les mauvais points.

Mais bon, après on peut continuer à croire que Daney était un savant philosophe qui avait établi un puissant système de compréhension ontologique de tous les arts, et que lui, en qualifiant tel cinéaste ou tel public de collabo, ne distribuait pas les bons et les mauvais points.

C'est un raccourci de signature, ça, la démonstration de Daney est un peu plus élaborée, quand même.

Mais je ne parlais pas de Daney, là. On appelle cela une antiphrase, je crois.

Mais bon, après on peut continuer à croire que Daney était un savant philosophe qui avait établi un puissant système de compréhension ontologique de tous les arts, et que lui, en qualifiant tel cinéaste ou tel public de collabo, ne distribuait pas les bons et les mauvais points.

Ben si, tu parlais de lui.

Pourquoi n'as-tu donc pas souligné aussi son nom? C'était plus simple.

oui, mais moins clair. On appelle cela une explication grammaticale, je crois.

Malheureusement on explique mal l'ironie avec la grammaire.

Oh la balance!

Bref, moi, j'aimerais qu'on m'explique le parce que, le lien entre l'impureté artistique et la temporalité...Notamment.

Donc, oui, je n'ai rien compris à cette phrase, sinon qu'elle enchaine les clichés (d'où le cul-cul).

(Avec un soutien comme moi, on n'a pas besoin de contradicteurs, scythe )

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"Tirer la chasse, c'est comme le ping-pong. Plus on y pense, moins on ressemble à sa mère".

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