Forum de FilmDeCulte

Ça me rappelle que j'ai envie d'aller en Pologne pour y dépenser toute ma thune. À moins que la monnaie que je prendrais y vaille dalle-que.

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UBERLINKS toujours dispo sur OCS et MyCanal!

Je connais mal son oeuvre, j'avais vu un film de lui assurément parmi les films les plus chiants de tous les temps, Pan Tadeusz; ça me donne envie de prendre des biscottes et Va s'y Wasa.

http://fr.forvo.com/word/andrzej_wajda/

Vu Katyn hier, vraiment pas bon. J'imagine que la dernière partie de son oeuvre n'est pas représentative du grand cinéaste qu'il est censé être mais le sujet "méritait" mieux (ou pas, en France, le film sur la rafle du Vel d'Hiv n'a pas bonne réputation).

L'Homme de fer, palme d'or à Cannes, j'avais eu un peu de mal. Mais copie FSF absolument désastreuse, ça n'a pas du aider...

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Anthony Sitruk - Bien sûr, nous eûmes des orages
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très bonne copie ici : https://35mm.online/en/vod/feature-films/man-of-iron

Rien vu mais intrigué par son DANTON, curieux projet.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Ah oui, je l'avais vu tout gamin, ça. J'avais bien aimé.

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C'est quoi ce site, c'est légal ?

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CroqAnimement votre

Parfaitement légal , l’équivalent de Henri pour la Cinémathèque française.

Top ! Je vais explorer ça (et me faire une liste de films à voir que je regarderai jamais ).

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CroqAnimement votre

Danton pas mal mais disons pour éviter une posture révisionniste (ou mieux la légitimer...) faut surtout voir les films de ses débuts comme Cendres et Diamant ou Kanal, mélanges curieux entre la prise en charge dimension mémorielle (et nationale) de la seconde guerre mondiale et la tension du thriller, assez érotisée (Zbigniew Cibulsky en alter ego de James Dean). À cette époque Wajda revendique une fascination pour le cinéma US, ce sera moins le cas ensuite.

L'histoire de Cendres et Diamant est aussi ambigüe idéologiquement, moins édifiante et plus mal pendante que ce que Wajda filmera ensuite, cela se passe pendant l'épuration ou des règlements de comptes entre communistes et nationalistes et il y a un côte hussard de droite dans le positionnement du personnage de Cibulsky

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Mais peut-être la nécessité accrue de faire confiance incite-t-elle à la mériter davantage

Erving Goffman