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MessagePosté: 02 Mar 2020, 15:04 
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bmntmp a écrit:
Pas encore vu le film mais sur ce dernier point, quand Olivia Wilde twitte :"“I do not believe Kathy traded sex for tips” et “it was never my intention to suggest she had.”, c'est du foutage de gueule de sa part ?

Ce que tweete Olivia Wilde:
Citation:
The perspective of the fictional dramatization of the story, as I understood it, was that Kathy, and the FBI agent who leaked false information to her, were in a pre-existing romantic relationship, not a transactional exchange of sex for information.

Effectivement, on voit au début du film une scène où la journaliste tourne autour de l'agent. Et dans le film, elle couche après avoir eu l'info.
Citation:
I was asked to play the supporting role of Kathy Scruggs, who was, by all accounts, bold, smart, and fearlessly undeterred by the challenge of being a female reporter in the south in the 1990s. I cannot even contemplate the amount of sexism she may have faced in the way of duty.

Ce qu'on voit dans le film, c'est qu'elle s'en prend ouvertement à ses collègues féminines, méprisantes à son égard.


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MessagePosté: 02 Mar 2020, 15:26 
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Vieux-Gontrand a écrit:
On disait exactement la même chose de Bush Jr. en 2000, pendant les primaires puis l'élection, en face de Gore qui ne pouvait pas perdre (ce dernier était le Greta Thunberg de l'époque). A-t-on oublié le recount ? La mémoire d'une partie substantielle de la population du monde occidental et des médias a été complètement flashée semble-t-il.

Tu es médium. Dès 2015, tu savais que Trump serait le candidat des Républicains, qu'il serait élu, et qu'il défierait le FBI au cours de son mandat. :roll:


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MessagePosté: 02 Mar 2020, 15:38 
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bmntmp a écrit:
T.Rex a écrit:
bmntmp a écrit:
Pas encore vu le film mais sur ce dernier point, quand Olivia Wilde twitte :"“I do not believe Kathy traded sex for tips” et “it was never my intention to suggest she had.”, c'est du foutage de gueule de sa part ?

Quel est le problème ?

Merci latique pour les précision
La scène a l'air extrêmement lourdingue d'après le résumé que j'en ai lu. C'est le côté troll alt-right un peu débile de Eastwood (qui ne date pas de l'invention de l'alt-right convient-il de préciser).
Elle a su en fait être plus nuancée. On a un peu le sentiment qu'elle a été envoyée au front à son insu par la prod aussi, donc sa position n'est pas facile.
Citation:
“I think it’s a shame that she has been reduced to one inferred moment in the film,” Wilde said. “It’s a basic misunderstanding of feminism as pious sexlessness. It happens a lot to women; we’re expected to be one-dimensional if we are to be considered feminists. There’s a complexity to Kathy, as there is to all of us, and I really admired her.”


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MessagePosté: 02 Mar 2020, 15:53 
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latique a écrit:
Vieux-Gontrand a écrit:
On disait exactement la même chose de Bush Jr. en 2000, pendant les primaires puis l'élection, en face de Gore qui ne pouvait pas perdre (ce dernier était le Greta Thunberg de l'époque). A-t-on oublié le recount ? La mémoire d'une partie substantielle de la population du monde occidental et des médias a été complètement flashée semble-t-il.

Tu es médium. Dès 2015, tu savais que Trump serait le candidat des Républicains, qu'il serait élu, et qu'il défierait le FBI au cours de son mandat. :roll:


Je ne le savais pas, mais cela s'intégrait dans une idéologie déjà connue. La rupture vers le populisme avait déjà eu lieu avant avec Palin voire Bush.. Quelqu'un comme McCain était moins audible dans son parti qu'auprès de l'électorat démocrate pendant la campagne de 2008.

De même je ne sais pas non plus si Macron va gagner ou perdre en 2022, ni s'il va se présenter, ni même si LREM pourrait présenter quelqu'un d'autre, mais serait guère étonné d'une défaite face au RN voire même un LR. Son échec politique s'expliquerait par l'impact social de son action, qui est d'ores-et-déjà plus facile à discerner que les prochaines péripéties de la vie politique française.
La compréhension d'un rapport de force politique n'étant pas la même chose que la prédiction du futur. A vrai dire , contrairement à des chroniqueurs comme Soral, les historiens eux-mêmes ne sont pas non plus des mages prétendant être capables de prédire le futur à tous les coups. Doivent-ils être disqualifiés politiquement pour autant ?

A la limite l'élection de Macron (perçu à tort comme de centre-droit) était plus imprévisible que celle de Trump.

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MessagePosté: 02 Mar 2020, 16:14 
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Vieux-Gontrand a écrit:
On disait exactement la même chose de Bush Jr. en 2000, pendant les primaires puis l'élection, en face de Gore qui ne pouvait pas perdre (ce dernier était le Greta Thunberg de l'époque).
N'importe quoi, ça a toujours été serré entre Bush et Gore. Bush a même eu l'avantage pendant une grosse partie du début d'année 2000, dans mon souvenir. Et Gore n'était pas connoté "réchauffement climatique" à l'époque.

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MessagePosté: 02 Mar 2020, 16:19 
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C'est vrai qu'Unconvenient Truth date de 2008.
Mais les commentaires politiques de l'époque pointaient l'incompétence politique de Bush Jr et sa fragilité psychologique ( son passé d'alcoolique) de la même manière qu'ils l'ont fait pour Trump.
Et Bush était aussi perçu comme le candidat de l'industrie et des intérêts petroliers (Exxon ou la défune Enron étaient basés au Texas) contre Gore plus multilateral et ouvert à la transition énergétique.
Par ailleurs n'y aurait-il pas eu le 11 septembre Bush Jr aurait probablement défendu une politique de replis sur les frontières américaines comme Trump (et d'ailleurs aussi Obama qui n'a pas voulu intervenir en Syrie contre Assad).
La problématique de la frontière mexicaine n'est par exemple pas nouvelle. Chantal Akerman lui avait consacré un film lors de la même période. Trump n'a pas créé sa propre idéologie, mais l'a récupérée.

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Dernière édition par Vieux-Gontrand le 02 Mar 2020, 16:26, édité 1 fois.

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MessagePosté: 02 Mar 2020, 16:24 
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bmntmp a écrit:
Merci latique pour les précisions
La scène a l'air extrêmement lourdingue d'après le résumé que j'en ai lu. C'est le côté troll alt-right un peu débile de Eastwood (qui ne date pas de l'invention de l'alt-right convient-il de préciser)
C'est très loin d'être ma scène préférée du film mais ça passe sur le moment. Tu sens plus qu'il y a un jeu de séduction entre les deux personnages, que ce n'est pas la première fois qu'ils couchent ensemble et que c'est plus un amusement. Puis très bonne alchimie entre Olivia Wilde et Jon Hamm qui fait que ça passe crème.


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MessagePosté: 02 Mar 2020, 16:27 
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Les attentats du 11 septembre et les guerres en Afghanistan et en Irak qui ont suivi biaisent l'idée qu'on se faisait de Bush pré-élection je pense. Après, je ne connais pas plus que ça le sujet, ça remonte à trop loin.


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MessagePosté: 02 Mar 2020, 16:30 
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Ceci dit on disait aussi qu'il était sensible à l'idée de finir la guerre que son père avait mal achevée. Une sorte de mélange entre le complexe d'Oedipe et les guerres de Troie.
Je me souviens aussi que dans la période de la procédure d'empeachment dans l'affaire de la turlutte, Clinton avait aussi envoyé quelques missiles sur l'Irak donc l'Irak était dans le collimateur de façon continuelle. Le débat sur les sanctions était aussi assez vif pendant le mandat Clinton (marque par une détente avec l'Iran de Khatami). Après avec le retour des Républicains il s'est reporté sur l'Iran. Il y a quand-même un aspect cyclique très marqué dans la vie politique américaine (c'est un des effets voulu du bipartisme).

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MessagePosté: 02 Mar 2020, 17:15 
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C'est marrant parce que je lisais précisément un article à ce sujet aujourd'hui qui n'adopte pas du tout le même point de vue.




Citation:
When Governor George W. Bush of Texas decided to run for president, he had some big ideas about education and entitlement reform, about encouraging Americans to invest and build an “ownership society” in which not just the affluent investing classes would have a substantial personal stake in the economy.

While he was planning to build his “ownership society,” Osama bin Laden was planning 9/11.

And so George W. Bush, the would-be “education president” who had made noninterventionist noises about those entangling foreign alliances and “nation-building” abroad that so trouble some of our paleoconservative friends, became a “wartime president,” as we used to say before they were all wartime presidents. Like his father before him, Bush came into the presidency with very pronounced small-r republican inclinations and brought to his public career a very old-fashioned sense of modesty. (Borrowing from Churchill, Bush’s opponents would insist that his modesty came from having so much to be modest about.) He ended up transforming the presidency into something more imperial (from imperator, “commander-in-chief”) than any chief executive since Franklin Roosevelt might even have dreamt of.


https://www.nationalreview.com/2020/03/ ... important/


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MessagePosté: 02 Mar 2020, 19:58 
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Le 11/9 a accentué le truc, mais dès leur arrivée au pouvoir Cheney, Rumsfeld et compagnie avaient déjà pour but de se faire Saddam.

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MessagePosté: 02 Mar 2020, 21:01 
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Ouh la belle perche !


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MessagePosté: 02 Mar 2020, 22:39 
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Qui-Gon Jinn a écrit:
Bref, du classicisme qui tient la route même si le dernier tiers essaie d'inventer une finalité au parcours de Jewell qui n'existait sans doute pas dans la réalité et qui sonne un peu faux.
C'est probablement tout aussi faux que Kathy Scruggs qui vend son cul pour avoir la primeur de l'info, mais ça importe peu, le film n'est pas un documentaire mais une fiction. Et ce qui intéresse Eastwood dans Jewell culmine dans cette scène, que je considère comme la meilleure du film (parce que c'est autour de celle-là que tout le film est construit, et que Hauser y est particulièrement bon). Jewell c'est très certainement une énorme énigme pour Eastwood, qui ne peut concevoir comment on peut à se point se faire trainer dans la boue sans broncher. C'est l'anti-héros eastwoodien en fait, asservi jusqu'aux tréfonds de son âme à quiconque représente l'ordre, affable (trop), respectueux, au grand dam de son avocat (quasi-double d'Eastwood) qui est lui l'incarnation du héros libertairen (il n'est aucunement nul comme tu l'écris, il est juste contre toute forme d'autorité, ce qui fait que les affaires ne s'accumulent pas dans son cabinet). En creusant on découvre une personnalité bien plus complexe que celle de gros raté que les médias font de lui quelques jours après l'attentat : intelligent (ce qu'il démontre en particulier lorsqu'il arrive à mener la discussion dans le sens où lui le dicte afin de démontrer sa non-homosexualité), introverti (il le reconnait lorsque Bryant essaie de le faire sortir de ses gonds) mais surtout totalement dévoué à sa mère (ce qui a probablement ruiné sa carrière, à trop vouloir être le fils parfait ses excès de zèle lui ont attirés plus de soucis que d'avancement). Eastwood en fait un personnage infiniment attachant (et comme tu le dis Hauser le campe de manière magnifique pour ce qui pourrait être le rôle de sa vie), mais il ne peut pas s'empêcher de tout de même se le réapproprier dans cette fameuse scène, d'en faire une fois quelqu'un qui n'hésitera pas à remettre le FBI à sa place.

Par contre il y a bien d'autres choses qui me gêne dans le film, évidemment la caricature média/FBI que beaucoup ont relevé (mais c'est du pur Eastwood qui sombre facilement dans le manichéisme pour noircir plus que nécessaire le tableau, c'est pas fin mais j'arrive à passer outre), mais plus encore les immanquables séquences mélodramatiques. Jusqu'à présent j'ai toujours considéré Sur la route de Madison comme le film d'Eastwood que je préfère. Et je me rends compte (bien tardivement) que j'ai une appréciation plutôt moyenne de beaucoup d'autres du fait d'une certaine incompréhension. Je ne m'étais en fait pas rendu compte à quel point le mélodrame infuse dans quantités de ses films, ce que j'avais pris jusqu'ici pour des moments guimauves lourdingues étant en fait l'essence même de son cinéma. Ça apparait avec d'autant plus d'évidence ici que le mélodrame s'introduit de manière totalement non naturel. Il y a une scène, peut être la plus belle, où Jewell ravale ses sanglots en mangeant un gâteau alors que l'on vient de lui signifier que l'enquête à son encontre est définitivement classée. C'est le seul moment de tout le film où il ne peut contenir son émotion. N'importe qui d'autre aurait pu s'en contenter mais ça n'est clairement pas suffisant pour Eastwood, qui double donc la scène par celle du discours devant les médias, avec la mère qui craque en direct et Kathy Scruggs dans le fond qui ne retient pas sa larme. Ne serait-ce que pour cette scène par le passé ça aurait suffit à me faire détester le film. Maintenant je me rend compte qu'Eastwood est incapable de faire sans (ce qui me chagrine parce que le film serait alors bien meilleur), ce qui me permet de plus facilement l'accepter.


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MessagePosté: 03 Mar 2020, 00:31 
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Abyssin a écrit:
bmntmp a écrit:
Merci latique pour les précisions
La scène a l'air extrêmement lourdingue d'après le résumé que j'en ai lu. C'est le côté troll alt-right un peu débile de Eastwood (qui ne date pas de l'invention de l'alt-right convient-il de préciser)
C'est très loin d'être ma scène préférée du film mais ça passe sur le moment. Tu sens plus qu'il y a un jeu de séduction entre les deux personnages, que ce n'est pas la première fois qu'ils couchent ensemble et que c'est plus un amusement. Puis très bonne alchimie entre Olivia Wilde et Jon Hamm qui fait que ça passe crème.


Pareil, c'est pas ce qui me dérange dans le personnage. En revanche, sa conversion de journaliste sans foi ni loi guidée par la simple recherche du scoop à journaliste qui mène une vraie enquête et fond en larmes devant la mère est lapidaire, pas du tout amenée par le film.


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MessagePosté: 03 Mar 2020, 11:39 
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Abyssin a écrit:
bmntmp a écrit:
Merci latique pour les précisions
La scène a l'air extrêmement lourdingue d'après le résumé que j'en ai lu. C'est le côté troll alt-right un peu débile de Eastwood (qui ne date pas de l'invention de l'alt-right convient-il de préciser)
C'est très loin d'être ma scène préférée du film mais ça passe sur le moment. Tu sens plus qu'il y a un jeu de séduction entre les deux personnages, que ce n'est pas la première fois qu'ils couchent ensemble et que c'est plus un amusement. Puis très bonne alchimie entre Olivia Wilde et Jon Hamm qui fait que ça passe crème.

Oui, ce n'est pas du tout la scène décrite par certains. Il y a un jeu de séduction pendant le concert avant cette scène, on sent qu'il y a une attirance entre les deux, ils ont envie de coucher ensemble. Et pendant la fameuse scène, le mec du FBI balance l'info avant qu'elle accepte de coucher avec lui. Elle aurait très bien pu se barrer une fois l'info en poche, mais elle passe la nuit avec lui.
La suite nous montrera que le gars du FBI a fait fuiter l'info sciemment, il avait besoin des médias pour appuyer son enquête contre Jewell.
Impossible de réduire tout ça à : "Elle couche pour avoir une info".


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