Forum de FilmDeCulte

Le dur de dur du rock progressif anglais. Excellents guitariste (Martin Pugh, aussi du très intéressant Armageddon de Keith Relf) et batteur Michael Rushton (apparemment il aurait joué en France avec les Innocents dans les années 90), chanteur (Kieran White) un peu déroutant, voix de baryton inattendue pour un truc un peu heavy mais c'est le compositeur et il est mort en devenant camionneur en Oregon donc respect c'est pas un vampire comme Bono. Arrangements jazzy bizarres et intrigants, rappelant un peu Manfred Mann Chapter Three (le disque contient aussi une chanson visiblement inspirée du folklore arménien, en 6/8) que les Stooges ont dû écouter à l'époque de Funhouse. Ils essaient des trucs avec rigueur et génerosité tout en se rattachant au canevas blues anglais. Le premier album plus hard rock et psyché est aussi intéressant.

Armageddon doc, quelque part il y a un solo à la Eddie Hazel à ne pas rater


Il faudrait aussi parler de Wishbone Ash un jour, ça tue Wishbone Ash.

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Mais peut-être la nécessité accrue de faire confiance incite-t-elle à la mériter davantage

Erving Goffman

Dans le registre de la chanson africaine, ici mandingue et malienne pour être précis, c'est bien pour ne pas dire plus, avec des arrangements occidentaux bien intégrés et, même, ravisssants.

Hé bé moi, je fais chanter le chien

[flash=]https://www.youtube.com/watch?v=Y28iZzccbFI[/flash]

Et ensuite pour me nettoyer les oreilles

[flash=]https://www.youtube.com/watch?v=hmOsRTIdNAU[/flash]

Un hymne psyché acid (paraît-il) au Dieu Anubis, au casque...

Le coup de vieux : réaliser que tes collègues n'ont jamais entendu parler de Bjork (à part une It's oh so quiet c'est mignon). Si on leur parle de ses débuts avec 808 State c'est le licenciement pour démence sénile assuré.

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Mais peut-être la nécessité accrue de faire confiance incite-t-elle à la mériter davantage

Erving Goffman

Quand l'ex-femme du mec d'Eurythmics (et rescapée de Bananarama, rien à voir) et la choriste d'Eric Clapton faisaient du glam à la Mott the Hoople, c'était pas mal et peut-être mieux qu'Eurythmics et Clapton. Bon c'est un peu gâché par un penchant d'époque pour la surproduction quand-même, il aurait presque fallu que cela soit Paul Roland leur producteur avec ce refrain.

Bon texte aussi, un peu dans la veine A day in the Life voire Shipbuilding d'Elvis Costello (des chansons sur la trie
stesse des guerres même à l'arrière).

Elles se sont malheureusement bien déchirées ensuite.


Et Paul Roland


Texte qui fait pleurer

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Erving Goffman

Le morceau préféré d'Abyssin.



Et celui de Baptiste.

House de 1988.

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Photos de figurines / Street Photos

Tuerie.
Le mec explique en gros qu'écouter Joy Division à Ankara est plus à gauche que le faire à Manchester, et qu'il est géographiquement entre les deux.
Pour la petite histoire, il était membre de Lotta Continua en 1981 puis catholique conservateur, repenti et contrit, en 2007. La lucidité, considérée comme un concept, peut rendre bête ou du moins très versatile.

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Erving Goffman

The Godfathers, groupe un peu oublié, tout en riff, entre les Smiths, le pub rock et la vague Britpop quelque peu surproduite qui allait arriver, inégal mais deux ou trois morceaux parfaits avec de bons textes quasi egotrip ce qui ne gâche rien

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Mais peut-être la nécessité accrue de faire confiance incite-t-elle à la mériter davantage

Erving Goffman

Revu le film hier soir grâce à Arte.

Ça a quand même pas mal vieilli, surtout au niveau des effets spéciaux.

Pendant tout le film, j’ai attendu en vain qu’on entende un moment bien précis de la partition de Jerry Goldsmith, celle jouée sur mon CD, ça se situe en dessous exactement entre 8 : 05 et 10 : 12, c’est très court, ça repose un peu du reste (car c’est plutôt une BO vive et rythmée) mais c’est pour moi la quintessence de son art, enfin d’une partie. Un concentré de mélancolie qui, comme disait le poète, rend heureux d’être triste.

J'ai appris récemment la mort d'Anita Lane, survenue à la fin de l'année passée. Ex de Nick Cave à l'epoque de The Birthday Party, qui gravitait autour des groupes apparentés (Einsturzende Neubauten, Crime and the city solution). Elle n'avait pas une discographie pléthorique mais j'aimais bien ses reprises, dotées d'un humour ambigu et où on comprend bien les paroles , de Sister Sledge et Marvin Gaye. Le temps passe trop vite.





Son album.sex o'clock en 2001 a l'air pas mal.







Entre elle et Chrissie Amphlett (Divinyls), un peu dans le même style (provoc sophistiquée rattachée à la fin de la new wave pour aller vite), pas de chance pour ces chanteuses australiennes

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Erving Goffman

Wow cette chanson antiguerre d'un rappeur bélarusse star en Russie. Poignant.

Frissons de réécouter cette musique.

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Photos de figurines / Street Photos

D'ailleurs triste la dispartion de Kenji Kawai. La BO d'Avalon dans mon top 5 all time.

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CroqAnimement votre