Forum de FilmDeCulte

Je m’apprêtais à le regarder quand soudain :

J'viens de le mater. J'ai trouvé ça marrant, bien foutu, mais fin un peu facile (quoique logique et raccord avec le thème de l’épisode).
Je suis curieux de savoir si il y a des fins alternatives, je pense "réessayer" une autre fois et voir le reste.

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- Nazi violent 1961-2013?
"my... "double anale", c'est ce que je crois?" Chlochette
"J'ai toujours aimé la culture nain" Sponge

Ok, donc ouais va falloir que je me le refasse.

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L'épisode te donne plein e fois l'occasion de revenir en arrière, j'ai du quasi avoir toutes les fins en 2 heures. Sinon épisode rigolo.

Le meilleur passage c'est quand l'épisode fait son auto promo.
Mais le truc c'est que tu cherches forcément la meilleure fin, mais le happy ending n'existe pas vraiment.

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"Un peuple qui élit des corrompus, des renégats, des imposteurs, des voleurs et des traîtres n’est pas victime ! Il est complice."
- George Orwell

Episode qui m'a énervé.
J'ai arrêté après m'être retrouvé au même endroit deux ou trois fois de suite.
En fait j'ai même pas compris l'intérêt des choix multiples quand tu dois choisir entre "lancer ton thé sur le clavier" ou "défoncer l'ordi". C'est malhonnète d'avoir une bifurcation de scénario après un choix aussi débile.
Ça ne marche vraiment que quand le mec n'écoute pas tes choix ou réagit au fait d'être manipulé.

Je suis passé à côté.

Pas trop aimé non plus. L'idée est marrante et c'est indéniablement "bien fait" mais l'expérience m'a laissé un goût de brouillon et d'insatisfaction. En fait je crois qu'ils ont eu les yeux plus gros que le ventre. Pourquoi ne pas avoir proposé un simple jeu de rôle à base de choix qui modifient l'histoire ? Pourquoi avoir déjà voulu en faire un truc ultra méta autoreflexif lourdingue ? Si ça fonctionne dans un premier temps sur l'aspect paranoïa un peu flippant, on se perd rapidement dans un dédale qui n'a plus grand sens (lol pour la fin du perso de Will Poulter - enfin dans ma version en tout cas) et qui pue un peu la prétention (Netflix qui fait son autopromo). Et puis overdose totale de rétro-série qui se passe dans les années 80... Impression qu'on va jamais passer à autre chose.

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CroqAnimement votre

On passer aux 90s dans pas très longtemps je pense.

J'ai découvert celui-ci récemment et pour l'instant c'est celui que j'aime le moins de ceux que j'ai vu. Quand je suis arrivé à la fin, j'étais en mode "C'est... tout ?"

Sinon je remarque dans cette série un goût pour les vitesses d'obturations rapides, même dans les scènes "calmes" (David Slade le fait souvent, mais c'est pas le seul).

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Pourquoi mater celui-là ?

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UBERLINKS toujours dispo sur OCS et MyCanal!

J'en ai vu plein d'autres avant, faudrait que je fasse un top.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Je les ai pas tous vus et je les verrai sans doute pas tous, mais voici un top avec quelques commentaires.

1. U.S.S. CALLISTER
Malgré une légère frustration sur la fin, j'ai adoré. Déjà, c'est un des rares épisodes de série télé que j'ai vu qui ressemble vraiment à un film - et pour cause, ils reproduisent à merveille l'esthétique des STAR TREK d'Abrams. L'épisode fonctionne sur plein de niveaux: parodique, méta, métaphorique, émotionnel... Il y a, comme souvent dans cette anthologie, le bon vieux twist d'allégeance où le gentil devient "méchant", ce qui nous trouble, en plus d'un scénario malin et ludique. J'ai vraiment kiffé. Et Jesse Plemons est absolument parfait.

2. NOSEDIVE
La critique est tellement juste et résonne tellement bien avec le monde réel. Qui ne s'est pas interrogé sur pourquoi il n'avait pas un "5.0 Uber rating" ? Qu'est-ce que j'ai fait de mal ? L'épisode croque vraiment un truc hyper vrai, on a l'impression de voir notre futur.
La D.A. est parfaite, avec sa gestion nickel des pastels qui deviennent des couleurs plus sombres chez les personnages qui ne jouent pas le jeu (le frère, la camionneuse...). Joe Wright a assuré.
Comme sur U.S.S CALLISTER, le déplacement du truc aux U.S. se justifie en plein, ça n'aurait jamais pu marcher aussi bien avec des persos anglais.

3. SAN JUNIPERO
Comme dans U.S.S CALLISTER, l'impression de voir un film. J'adore le jeu sur la nostalgie et j'ai été étonné par le côté doucement ouaté et émotionnel de la fin. On ne s'y attend pas. Touchant.

4. THE WALDO MOMENT
Horriblement génial car c'est, encore une fois, juste le réel. C'est quasiment même pas parodique. Cringe-inducing en diable.

5. PLAYTEST
Ludique et fun, très "Twilight Zone", super réal, super déco, l'acteur est parfait en mode "bro" qui se décompose.

6. THE ENTIRE HISTORY OF YOU

7. THE NATIONAL ANTHEM

9. WHITE BEAR
Simple et entraînant. Avec un twist sympa où, là encore, celui auquel on s'identifiait devient le monstre. Du coup, ça nous questionne. Car qui ne rêverait pas de faire subir ça à Marc Dutroux ou autre ? Troublant.

10. SHUT UP AND DANCE
Le twist sur la culpabilité du petit est sympa.

11. FIFTEEN MILLION MERITS
Classique dans ce que ça dénonce, mais tellement vrai. Où comment on instrumentalise la dissension pour en faire un spectacle et continuer à alimenter le système.

12. BANDERSNATCH
Difficile à juger, un peu hors-série. L'ensemble est très bien fait et marrant à "jouer" - notamment les petits add-ons parodiques à la fin - mais j'en retiens pas grand chose narrativement ou émotionnellement.

13. METALHEAD
Loin derrière car tellement sans intérêt. On dirait un épisode de saison 1, que dis-je, on dirait un épisode des années 90. Ce que ça "dénonce" est tellement basique, j'arrive même pas à croire qu'ils aient écrit et tourné ça. Le seul truc bien c'est lorsqu'elle vide la batterie en faisant s'éteindre et rallumer le chien dix fois, mais bon...

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

The entire history of you est génial, regarde le.

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Il est dans son top, donc il l'a vu...

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."