Forum de FilmDeCulte

1965 : Goldstein
1967 : Fearless Frank
1972 : La Légende de Jesse James (The Great Northfield Minnesota Raid)
1974 : The White Dawn
1978 : L'Invasion des profanateurs (Invasion of the Body Snatchers)
1979 : Les Seigneurs (The Wanderers)
1983 : L'Étoffe des héros (The Right Stuff)
1988 : L'Insoutenable Légèreté de l'être (The Unbearable Lightness of Being)
1990 : Henry et June (Henry and June)
1993 : Soleil levant (Rising Sun)
2000 : Quills, la plume et le sang (Quills)
2004 : Instincts meurtriers (Twisted)
2012 : Hemingway and Gellhorn (téléfilm)

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Anthony Sitruk - Bien sûr, nous eûmes des orages
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Je n'en ai pas vu beaucoup, mais j'ai encore deux rattrapages prévus prochainement :

L'Invasion des profanateurs
Découverte hier soir, et forte impression devant ce monument paranoïaque plus proche des thrillers politiques des 70's que de l'image un peu mollassonne que je m'en faisais.
4.5/6

L'Étoffe des héros
La révision récente a été un peu difficile, du coup j'ai préféré arrêter au premier tiers et m'en tenir au souvenir magnifique que j'en conservais. C'est un des films de mon adolescence, je rêvais devant son affiche, et attendais impatiemment sa diffusion télévisée un jour.
5/6

L'Insoutenable Légèreté de l'être
Évidement, adapter Kundera était casse gueule. Mais le film a un vrai charme, une vraie délicatesse.

Quills, la plume et le sang
Film de la chute, j'en ai très peu de souvenirs. Dans le tableau de notes j'avais mis 2/6.

J'ai téléchargé Henry & June, et acheté le BR de Soleil levant. J'espère les rattraper prochainement.

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J'en ai vu que deux que j'aime vraiment bien, L'invasion des profanateurs, hyper efficace effectivement dans son côté paranoïa cauchemardesque. Et Quills qui, dans mon souvenir, avait un ton très singuler entre érotisme, humour et quelque chose de très lyrique. A revoir. Jamais vu L'étoffe des héros, il faudrait que je le rattrape.

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CroqAnimement votre

Il y a apparemment Les Seigneurs qui est à voir aussi. Les autres m'intéressent moins.

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Rétrospective à la cinémathèque très bientôt.

Je l'indiquais dans mon message initial... que j'ai édité et effacé comme un con (ou comme un Karloff) !

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Excellent souvenir de ce film. Portrait générationnel d'une bande de jeunes prolo d'origine italienne, les descendants du personnage de Vigo Mortensen dans Green Book, à New York qui loupe en s'en rendant compte un peu inconsciemment le coche de l'histoire. Manchette en parle (en) bien.
Réalisateur qui m'a intrigué après la vision de ce film d'ailleurs mais son remake de Body Snatchers est moins bon que celui de Ferrara et n'apporte rien à l'original, même s'il jouit d'une petite réputation auprès de certaines personnes. J'aime bien Twisted qui est un polar de seconde zone réussi mais je n'en ai bien sûr gardé aucun souvenir.
Soleil Levant est nul. Quills a plutôt bonne réputation mais c'est dur de se motiver pour le voir.
Carrière plus pauvre que ce que je m'imaginais.

1965 : Goldstein
1967 : Fearless Frank
1972 : La Légende de Jesse James (The Great Northfield Minnesota Raid)
1974 : The White Dawn
Pas vus.

1978 : L'Invasion des profanateurs (Invasion of the Body Snatchers)
Je sais que je l'ai découvert il y a pas longtemps mais j'en ai quasiment aucun souvenir. J'ai cherché et je n'avais rien écrit sur le forum. Je n'ai trouvé qu'un tweet du 3 août 2019 où je dis "Pas mal du tout."

1979 : Les Seigneurs (The Wanderers)
Pas vu.

1983 : L'Étoffe des héros (The Right Stuff)
Là aussi, découvert tardivement et je me souviens avoir trouvé ça bien tout en étant quand même déçu au vu de sa réputation.

1988 : L'Insoutenable Légèreté de l'être (The Unbearable Lightness of Being)
1990 : Henry et June (Henry and June)
Pas vus.

1993 : Soleil levant (Rising Sun)
Un des films cultes de mon adolescence. J'aimais bien la dynamique de buddy movie, avec ce team up improbable d'acteurs, explorant les différences culturelles entre USA et Japon même s'il y a probablement une xénopohobie latente des américains post-80s face à l'arrivée d'entreprises japonaises à Los Angeles. Dans le genre du thriller sexué à twist, je trouve ça meilleur que tous les Eszterhas mais je l'ai vu avant ces derniers et je suis un iencli de Crichton (cela dit, c'est une des 3 seules bonnes adaptations de son travail avec Jurassic Park et Le 13e guerrier).

2000 : Quills, la plume et le sang (Quills)
Souvenir d'un film chiant auquel j'avais mis 2/6.

2004 : Instincts meurtriers (Twisted)
Giga bouse. Une caricature des thrillers à twists des '90s.

2012 : Hemingway and Gellhorn (téléfilm)
Pas vu.

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Je n’ai que vu L’Etoffe des Héros qui un film culte de ma (jeune) adolescence, dont j’ai usé la VHS à l’époque.. Et une vision (relativement) récente n’a fait que confirmé mon amour pour ce film, l’un des tout meilleurs sur la conquête spatiale. Tout est formidable dans cette épopée qui tutoie les étoiles tout en gardant les pieds bien sur terre. Casting mythique, aussi!

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

1979 : Les Seigneurs (The Wanderers)
Film gentillet, incroyablement trop long (1h55 pour des bandes de jeunes qui se tabassent ?!), à la BO savoureuse, à la fin émouvante, mais qui manque désespérément d'humour et de rythme.
2/6

1993 : Soleil levant (Rising Sun)
Navet absolu dans lequel le grand Sean a réponse à tout, est plus fort que tout le monde (il faut le voir assommer un videur d'un seul coup), et nous la joue Père Fourasse à base d'énigmes moisies du cul du mec qui connaît mieux que nous la culture japonaise. Tu m'étonnes que le film ait été taxé de raciste...
0/6

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Anthony Sitruk - Bien sûr, nous eûmes des orages
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J'en avais pas un mauvais souvenir de l'époque. Je l'ai revu dernièrement durant le confinement et sans être aussi sévère que Cosmos c'est pas bon. Cela a aussi pris un sacré coup de vieux.

Par contre découvert ce jour les seigneurs ( the wanderers) et beaucoup aimé. Un mixte de thewarriors, american graffiti et West side story sans la musique. Cela a mieux vieilli que les 2 premiers.
Le film mélange humour, film d'ado, film de potes,scène violente de gang et chronique d'une époque. J'adore le zic. Très belle scène qui évoque bob dylan et le changement d'epoque

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