Forum de FilmDeCulte

Encore aujourd'hui, les raptors dans la cuisine me font bien flipper. Cette tension et cette mise en scène sont TELLEMENT efficaces.

Sinon ouais, assez d'accord sur It Follows.

En moins récent, Insidious, après l'avoir vu, j'étais pas tranquille. Sound design qui déglingue, film que ne se base pas sur le jump scare et propose une ambiance bien tendue

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Ca marche plus sur moi aujourd'hui, probablement parce que les enfants sont insupportables et que j'aimerais bien qu'ils se fassent bouffer, mais au cinéma à l'époque, cette scène m'a terrifié comme jamais. Je crevais de trouille.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Mes deux grands souvenirs de peur au cinéma sont "L'antre de la terreur' de Carpenter et "the grudge" de Takashi Shimizu sinon, j'ai peu de souvenirs de films d'horreur en salle. J'ai rarement eu peur devant des films sur petits écrans et je suis de plus en plus énervé par les jump scare, je trouve la méthode trop facile maintenant et souvent sur exploitée par certains réalisateurs.

Une de mes grandes déception alors qaue lf ilm m'avait fait flippé tout du long, c'est REC, je tremble comme une feuille devant les films de zombies et je suis hilare devant les films avec possession démoniaque et autres bondieuseries. Du coup, la fin m'a cassé la tension peureuse qu'il pouvait y avoir.

Banissement.

les embryons humains sous la forme de raviolis dans Nouvelle Cuisine, c'était pas mal. Pas la peur par contre mais une espèce de sentiment de malaise assez rare.

Sinin le film le.plus malaisé que j'ai vu en salle est sans doute l'Ile de Kim Ki-duk (un peu oublié aujourd'hui et remplacé du faut5 du créneau occupé par Bing Jo-hoo), même s'il est plastiquement assez beau.

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Mais peut-être la nécessité accrue de faire confiance incite-t-elle à la mériter davantage

Erving Goffman

SI C'EST PAS DE LA PEUR TU LA BOUCLES OK

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Netflix les gars, Netflix.

Je mérite carrément le bannissement , c'est "L'antre de la folie". La montée en puissance du malaise, le type qui roule dans le vide, le mec à vélo. J'ai commencé à la revoir il n'y a pas longtemps et même si je maîtrisais mieux mon effroi, il y avait toujours cette sensation de malaise devant le film.

FILM TOUT CHEAP LÀ

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Réalisateur de blockbusters d'action français dans une économie maîtrisée d'1h30 max hors générique

Ce n'est même plus approximatif, à ce stade ...

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Arguing on the internet is like running in the Special Olympics. Even if you win, you're still retarded.

Ces jaunes, avec leurs noms à coucher dehors, là...

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Dans le doute, j'en suis venu à googler "Bing Jo-Hoo" avec ses conneries.

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Arguing on the internet is like running in the Special Olympics. Even if you win, you're still retarded.

Je me souviens d'un ami qui cherchait des morceaux de Throbbong Louses à cause de moi (je voulais dire : Throwing Muses)
Sinon l'Ile ce n'est pas mal (il est sur YouTube), proche de l'érotisme à la Jacques Steinberg ou Topor en fait. Je me souviens quArt Core avait pitché Moebius, visiblement encore plus corsé (le trailer est assez beau ceci dit)

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Mais peut-être la nécessité accrue de faire confiance incite-t-elle à la mériter davantage

Erving Goffman

Je me souviens qu’on s’en cague.

Beau texte de l'injustement oubliée Kristin Hersh au passage.

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Mais peut-être la nécessité accrue de faire confiance incite-t-elle à la mériter davantage

Erving Goffman