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 Sujet du message: Re: News
MessagePosté: 19 Mai 2020, 09:01 
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Les retours sont très très mitigés sur Gangs of London, j'ai limite envie de mater juste les quelques grosses scènes d'action.

Sinon vu les deux premiers de I know this much is true, série de Derek Cianfrance avec Ruffalo qui joue deux frères jumeaux. Excellent premier épisode dans le genre drame familial poisseux, mystérieux et sombre, très bonne réal de Cianfrance et Ruffalo est parfait. Un petit côté "tour de force" parfois (l'horrible scène avec Juliette Lewis totalemnt hystérique, le plan-séquence finale qui montre un peu les muscles) mais ça reste solide. Deuxième épisode déjà un peu chiant qui fait un peu retomber le soufflé. A suivre.

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 Sujet du message: Re: News
MessagePosté: 02 Juin 2020, 09:20 
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Le Cow-boy a écrit:
Bon eh bien moi qui ne mate JAMAIS de série (le format me gave), j'ai adoré Dirty John. 8 épisodes basés sur une histoire vraie, celle d'un pervers narcissique manipulateur qui tente d'arnaquer une meuf richissime. Je ne sais pas si c'est le fait d'avoir souvent monté de telles histoires (ou d'avoir été confronté de près à ce genre de personnage), mais j'ai trouvé ça vraiment très bien. C'est tendu, toujours crédible, ça avance vite, et au moins on ne se dit pas "ahlala si ça marche y'aura une saison 2". C'est aussi la première fois que je vois Eric Bana enfin jouer (d'habitude je le trouve complètement bidon), et il est très très bon là-dedans, un côté Christian Bale qui peut partir en vrille à tout moment. Non vraiment, j'ai kiffé jusqu'au bout (et de plus en plus au fil des épisodes), c'est rare.
Film Freak a écrit:
Putain je voulais mater pour Bana mais j'en lis que du mal.
Le Cow-boy a écrit:
Bah si j'ai aimé c'est que ça doit être tout naze :)

Effectivement.

C'est assez mauvais dès le départ, avec son esthétique et son écriture de téléfilm Lifetime qui vulgarise globalement tout. Je veux bien croire que les filles de l'héroïne furent aussi exécrables dans la réalité mais la caricature les rend antipathiques et cette caractérisation aurait pu plus subtilement être employée pour justifier pourquoi maman n'écoute pas ses filles. En l'état, difficile aussi d'avoir de l'empathie - malgré l'excuse de l'amour, de la deuxième chance et du pardon religieux (thème sous-exploité, malgré l'épisode sur la grand-mère qui pardonne son genre assassin) - pour le personnage principal non seulement parce qu'il est difficile de ne pas juger de l'extérieur ses erreurs (surtout les premières, genre épouser un gars à peine 2 mois après l'avoir rencontré) mais surtout parce que la série ne nous plonge pas suffisamment dans sa subjectivité. Il aurait fallu se limiter presque exclusivement à son point de vue pour que nous aussi nous puissions avoir des doutes et finalement croire les explications de John juste après avoir découvert tous ses mensonges. Mais il n'y a jamais aucune ambigüité, aucun trouble, jamais on n'est "dans les chaussures de" Debra. Au lieu de ça, on a carrément des épisodes flashbacks qui montrent toutes les magouilles de John à travers les années. C'est complètement con. La série sacrifie le drame humain au profit du sensationnalisme racoleur sans même réussir à être flippant quand il s'agit de harcèlement. Du coup, tous ces petits riches nous apparaissent teubés.

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 Sujet du message: Re: News
MessagePosté: 09 Juin 2020, 08:58 
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Art Core a écrit:
Sinon vu les deux premiers de I know this much is true, série de Derek Cianfrance avec Ruffalo qui joue deux frères jumeaux. Excellent premier épisode dans le genre drame familial poisseux, mystérieux et sombre, très bonne réal de Cianfrance et Ruffalo est parfait. Un petit côté "tour de force" parfois (l'horrible scène avec Juliette Lewis totalemnt hystérique, le plan-séquence finale qui montre un peu les muscles) mais ça reste solide. Deuxième épisode déjà un peu chiant qui fait un peu retomber le soufflé. A suivre.


Cinquième épisode est c'est vraiment superbe. Une espèce de grande tragédie familiale, c'est bouleversant, c'est très très noir (presque trop) et Ruffalo est parfait. Vraiment une très très bonne série. Le cinquième épisode vu hier soir est une merveille j'ai adore
toutes les scènes avec le grand père italien, parfaitement casté.

Surpris qu'absolument personne n'en parle.

Sinon il me reste un épisode pour terminer Hollywood de Ryan Murphy et c'est plutôt pas mal. C'est très vulgaire, très soap, très vernis artificiel, il y a un indéniable côté cheap dans l'écriture mais la proposition de la série est plutôt rafraîchissante et surtout ce côté feel good absolu, cette candeur naïve est sans doute ce dont le monde a le plus besoin en 2020. Une espèce de fantasme bienveillant sur une réalité qui aurait pu être la nôtre, un révisionnisme qui nous dit qu'il était possible de changer les choses depuis très longtemps. Alors j'avais lu des trucs comme quoi Hollywood réussissait là où le Tarantino de Once Upon a time in Hollywood avait échoué et bon la comparaison est totalement absurde et la qualité des deux oeuvres est incomparable. Mais dans le genre bonbon agréable (très joli reconstitution, les fringues, les bagnoles, les décors etc...) et qui propose quand même quelque chose d'un tant soit peu singulier c'est pas mal (et je comprends pas la réception US très mitigée).

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 Sujet du message: Re: News
MessagePosté: 09 Juin 2020, 09:04 
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Tiens, j'ai pas été du tout tenté par cet Hollywood, l'impression d'avoir déjà trop vu de reconstitutions dans tous les sens à toutes les époques pour me taper une série entière dessus. Qu'est ce qui en fait la singularité, c'est une uchronie? Spoilers welcome.


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 Sujet du message: Re: News
MessagePosté: 09 Juin 2020, 09:26 
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Oui on peut parler d'une certaine uchronie politique. C'est comme si Hollywood dans les années 40/50 était soudainement devenu inclusif et très ouvert sur les problématiques sociales qui à l'époque étaient pas du tout à l'ordre du jour, bien au contraire (racisme, homosexualité, sexisme etc...). C'est paradoxalement très actuel et ça fait fantasmer un autre Hollywood et du coup un cinéma mondial qui aurait été totalement différent, qui aurait littéralement eu 50 ans d'avance.

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 Sujet du message: Re: News
MessagePosté: 09 Juin 2020, 09:38 
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Art Core a écrit:
très ouvert sur les problématiques sociales qui à l'époque étaient pas du tout à l'ordre du jour, bien au contraire (racisme, homosexualité, sexisme etc...).

Pourquoi bien au contraire? Il y a quelques jours La Cinémathèque a mis en accès libre The half-breed de Allan Dwan (1916) avec Douglas Fairbanks, le film s'attaque ouvertement au racisme (Fairbanks est un métis indien-blanc), et si j'en crois ce qu'en dit skip sur son blog c'est loin d'être le seul film de cette époque à s'être confronté au racisme. Concernant l'homosexualité je n'ai pas de films qui me viennent en tête pour les années 40/50 mais en 1961 (donc très proche temporellement) Wyler tourne La Rumeur.


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 Sujet du message: Re: News
MessagePosté: 09 Juin 2020, 09:47 
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Va dire ça à tous les acteurs noirs (et plus généralement les "racisés") qui ont joué des bonnes et des esclaves pendant 50 ans. Va dire ça à tous les homos qui sont restés dans le placard pendant l'intégralité de leur carrière. Dans la série (qui mêle perso fictifs et réels) il y a Rock Hudson, clairement gay, mais dont on a appris l'homosexualité uniquement à sa mort du SIDA. Va dire ça à toutes les femmes ambitieuses qui voulaient écrire/réaliser/diriger un studio et qui sont resté toutes leurs carrières dans des rôles subalternes etc... Oui Hollywood a toujours parlé de sujets de société et certains ont tenté plus que d'autres mais dans la réalité c'était à l'image de la société américaine, raciste, homophobe et sexiste.

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 Sujet du message: Re: News
MessagePosté: 09 Juin 2020, 10:00 
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Art Core a écrit:
Oui Hollywood a toujours parlé de sujets de société et certains ont tenté plus que d'autres mais dans la réalité c'était à l'image de la société américaine, raciste, homophobe et sexiste.

Réalité qui dépasse probablement le cadre états-uniens. Sinon j'ai l'impression (je ne m'avancerai pas trop parce que je suis loin de maitriser le sujet), qu'il y a un tournant de la vertu avec le code Hays, jusqu'au début des années 30 le cinéma était beaucoup plus libre et pas uniquement sur la question de la frivolité des mœurs. Pour en revenir à The Half-breed il y a des noirs, qui tiennent des rôles sensiblement équivalent à ceux des blancs, ils ne sont pas réduits à être des domestiques. Sinon sur l'homosexualité il y a toujours eu des réalisateurs homo à Hollywood (Lubistch, Murnau, Wilder...) dont je n'ai pas l'impression qu'il s'en cachait et qui n'était pour autant pas ostracisés.


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 Sujet du message: Re: News
MessagePosté: 09 Juin 2020, 11:15 
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Art Core a écrit:
Oui on peut parler d'une certaine uchronie politique. C'est comme si Hollywood dans les années 40/50 était soudainement devenu inclusif et très ouvert sur les problématiques sociales qui à l'époque étaient pas du tout à l'ordre du jour, bien au contraire (racisme, homosexualité, sexisme etc...). C'est paradoxalement très actuel et ça fait fantasmer un autre Hollywood et du coup un cinéma mondial qui aurait été totalement différent, qui aurait littéralement eu 50 ans d'avance.


J'ai trouvé la série rafraîchissante mais à partir du moment où les gentils font le film qu'ils ont envie de faire, ça perd totalement de son intérêt et ça devient complètement mièvre.


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 Sujet du message: Re: News
MessagePosté: 09 Juin 2020, 11:22 
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Lohmann a écrit:
Réalité qui dépasse probablement le cadre états-uniens. Sinon j'ai l'impression (je ne m'avancerai pas trop parce que je suis loin de maitriser le sujet), qu'il y a un tournant de la vertu avec le code Hays, jusqu'au début des années 30 le cinéma était beaucoup plus libre et pas uniquement sur la question de la frivolité des mœurs.


Oui c'est sans doute très vrai.

Lohmann a écrit:
Pour en revenir à The Half-breed il y a des noirs, qui tiennent des rôles sensiblement équivalent à ceux des blancs, ils ne sont pas réduits à être des domestiques. Sinon sur l'homosexualité il y a toujours eu des réalisateurs homo à Hollywood (Lubistch, Murnau, Wilder...) dont je n'ai pas l'impression qu'il s'en cachait et qui n'était pour autant pas ostracisés.


C'est comme toujours, on peut trouver des contre exemples et des exceptions, mais ça reste très minoritaire. Quant à l'homosexualité, c'était pas non plus totalement assumé. Les réalisateurs en question venaient pas aux premieres de leurs films avec leur mec à leurs bras.

Gnagnagna a écrit:
J'ai trouvé la série rafraîchissante mais à partir du moment où les gentils font le film qu'ils ont envie de faire, ça perd totalement de son intérêt et ça devient complètement mièvre.


C'est tellement assumé comme tel et poussé dans le feel good absolu que ça finit par marcher chez moi alors que je suis plutôt un cynique de nature. Mais je comprend tout à fait que ça puisse laisser de côté.

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 Sujet du message: Re: News
MessagePosté: 09 Juin 2020, 20:44 
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Art Core a écrit:
Gnagnagna a écrit:
J'ai trouvé la série rafraîchissante mais à partir du moment où les gentils font le film qu'ils ont envie de faire, ça perd totalement de son intérêt et ça devient complètement mièvre.


C'est tellement assumé comme tel et poussé dans le feel good absolu que ça finit par marcher chez moi alors que je suis plutôt un cynique de nature. Mais je comprend tout à fait que ça puisse laisser de côté.

Je suis tout a fait d'accord avec toi en ce qui concerne le ton du debut de la série. Le contraste entre le langage cru et la reconstitution propre et vraiment super, mais effectivement plus ca avance et plus sa perd de sa saveur.
J'ai même fini par trouver ca indigeste (cette cérémonie des oscars :shock: ).


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 Sujet du message: Re: News
MessagePosté: 10 Juin 2020, 07:54 
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"Filthy Rich" : "Jeffrey Epstein, pouvoir, argent et perversion"

Série en 4 épisode de 55 min.

La froideur d'Epstein pendant les auditions chez les avocats est un bon résumé,persuadé de toujours s'en sortir grâce à son argent et ses connaissances.
Très centré sur Palm Beach et son exploitation de filles à la dérive des quartiers pauvres, on effleure à peine les mêmes exactions à New-York avec d'autres classes sociales, je trouve dommage de ne pas avoir creusé tout azimut (Paris, l'Espagne, etc...).
C'est là où pêche un peu le documentaire, tant on soupçonne que le nombre des victimes doit être bien plus important.

_________________
- Nazi violent 1961-2013?
"my... "double anale", c'est ce que je crois?" Chlochette
"J'ai toujours aimé la culture nain" Sponge
Marlo a écrit:
J'adore Hollande.


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 Sujet du message: Re: News
MessagePosté: 10 Juin 2020, 09:00 
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flatclem a écrit:
J'ai même fini par trouver ca indigeste (cette cérémonie des oscars :shock: ).


C'est la fin logique mais oui ça pousse le bouchon tellement loin. C'est à double tranchant, ça passe ou ça casse.

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 Sujet du message: Re: News
MessagePosté: 16 Juin 2020, 19:12 
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Art Core a écrit:
Sinon vu les deux premiers de I know this much is true, série de Derek Cianfrance avec Ruffalo qui joue deux frères jumeaux. Excellent premier épisode dans le genre drame familial poisseux, mystérieux et sombre, très bonne réal de Cianfrance et Ruffalo est parfait. Un petit côté "tour de force" parfois (l'horrible scène avec Juliette Lewis totalemnt hystérique, le plan-séquence finale qui montre un peu les muscles) mais ça reste solide. Deuxième épisode déjà un peu chiant qui fait un peu retomber le soufflé. A suivre.

J'ai matté les 3 premiers et je trouve ça vraiment excellent.
Cianfrance charge un peu la mule sur la noirceur mais la réalisation et l'interpretation (musclée effectivement) remportent la mise. Je rajouterai l'écriture et les dialogues aussi, très justes. C'est assez précieux dans le paysage de la série americaine je trouve.
J'ai adoré la scene de Juliette Lewis pour le coup, hystérique mais tellement vraie. Sinon je trouve que Rosie O'Donnell (l'assistante sociale) s'en sort très bien. D'habitude elle est toujours cantonnée aux roles de lesbiennes droles à réparties, mais la elle est vraiment excellente.


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 Sujet du message: Re: News
MessagePosté: 17 Juin 2020, 09:08 
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Justement terminé la série lundi et c'est vraiment très beau jusqu'au bout. Une vraie grande tragédie familiale à la fois ample et profondément intime.
Il y a tout un truc sur les racines, sur d'où on vient qui résonne très fort avec l'histoire de l'Amérique. Vraiment une série magnifique, terriblement triste mais pas plombante. Ruffallo est bouleversant. Par moments ça m'a rappelé Six Feet Under, avec cette omniprésence de la mort et cette tristesse qui colle à la peau. Très très bonne série. Je vois personne en parler et c'est bien dommage.

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