Forum de FilmDeCulte

Brain dead

https://www.youtube.com/watch?v=9fZkFhuui48


Pulp fiction :

https://www.youtube.com/watch?v=xHO6nBc4YFU

https://www.youtube.com/watch?v=LBBni_-tMNs

Le bon , la brute et le truand

https://www.youtube.com/watch?v=M7dJ5xXJOec

Mad max 2

https://www.youtube.com/watch?v=Co8vGjEz-xU

https://www.youtube.com/watch?v=j_UtDuZaeZo

Mad max fury road

https://www.youtube.com/watch?v=5B01M-ewthw

Leon

https://www.youtube.com/watch?v=4IERGQCdsgk


Tout le film battle royale

https://www.youtube.com/watch?v=5B01M-ewthw

Je rajoute la mort culte du Juge dans Roger Rabbit.

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Netflix les gars, Netflix.

Ouais on est pile dans le sujet, ahah j'ai bien joui !

C'est des morts basiques en soi (de simples chutes), mais Mola Ram qui rebondit le long de la falaise dans LE TEMPLE MAUDIT, Hans qui chute au méga-ralenti en brisant le quatrième mur dans DIE HARD, et Frank Nitti qui fait la même chose en regardant vers le bas dans LES INCORRUPTIBLES, c'est du caviar.

Sinon les morts de DESTINATION FINALE cartonnent. Mes deux préférées, dans le 2:

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Sacré nid à spoil ce topic !

Le concept de mort jouissive me dérange un peu, mais je suis un vieux con.

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There is no such thing in life as normal

On va pas cliquer. Donc on saura pas.

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Han le SJW.

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La mort jouissive c'est tout le programme de La Grande Bouffe de Ferreri, préférence personnelle pour Piccoli qui décède, affalé sur une rampe d'escalier, dans un interminable et sonore pet.

Les morts effrayantes et les morts qui font mal (par amour du perso) me marquent davantage.

En mort jouissive, c'est effectivement soit une mort "lolilol/gore" genre les Destination finale, soit la mort d'un perso que tu détestes genre le perso (je spoile pas) qui se fait bouffer la tronche par ses propres chiens dans Game of Thrones. Ou quasi tous ceux qu'Arya tue.

En fait, les exemples que tu cites Liam, c'est surtout des morts multiples...genre le méchant peut pas mourir simplement, faut qu'il meurt au moins deux ou trois fois. Genre le méchant dans Le Dernier samaritain qui : 1. prend une balle, 2. chute depuis les panneaux éclairants d'un stade de foot, 3. sur les hélices d'un hélicoptère en vol.

Le cinéma d'action des années 80-90 était remplis de ce genre de morts (Cyrus dans Les Ailes de l'Enfer, Tony Todd dans The Rock, etc.) mais je trouve ça plus amusant que "jouissif" pour ma part. Pour qu'il y ait "(ré)jouissance", faut vraiment que je déteste le perso, que j'aie envie de le voir souffrir...et bizarrement, à part les exemples cités plus haut, y a rien que me vient là.

Sinon dans les morts lolilol récentes, y a tous les accidentés de l'intro de Six Underground.

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Le rôti (et l'enchaînement de situations irracontables) des Cannibales de de Oliveira bien-sûr.
Qui a fait aussi un film sur la mort jouissive (l'Etrange affaire Angelica).

La mort du patron dans Monsieur Lange de Renoir.

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Mais peut-être la nécessité accrue de faire confiance incite-t-elle à la mériter davantage

Erving Goffman

Les SJW jouissent lorsque les conservateurs meurent dans d’atroces souffrances.

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There is no such thing in life as normal

Karl dans Die Hard

Regarde The Hunt, tu es le public-cible.

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Les deux scènes de mort de Détour d'Ulmer sont aussi bien gratinées, entre Haskell qui se tue idiotement parce qu'on ouvre la portière de sa voiture sur laquelle il s'était endormie et Ann Savage qui maquille son suicide en meurtre par le même type qui a ouvert la porte (ce dont il s'agit techniquement) juste pour le plaisir de le faire chier jusqu'au bout. Une histoire à la Roland Topor plus qu'un film noir finalement.
Tout aussi conceptuelle, la mort sur scène de Ronald Coleman dans Double Life est aussi marquante et possède un aspect ludique (film prototype d'All that Jazz de Bob Fosse d'une certaine façon - où il s'agit de l'histoire de la vraie mort de Bob Fosse d'ailleurs.)

On peut aussi penser aux nombreuses volatilisations de personnages dans les films d'Antonioni (critiquer séparément le pathos de la morbidité de la morbidité elle-même). Ou au comique désespéré de Comencini dans les années 70 (entre la fin de l'Argent de la Vieille ou les meurtres limite collaresques de la Femme du Dimanche).

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Mais peut-être la nécessité accrue de faire confiance incite-t-elle à la mériter davantage

Erving Goffman