Forum de FilmDeCulte

Ah dommage.

Mais c'est vrai que ces deux moments sont assez forts.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

T'as pas mis 5 j'espère alors?

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Je crois que j'ai mis 4.

(j'adore le "J'espère" du mec qui a pas vu le film et qui a je-ne-sais quelel dent contre lui)

Overall, this is a brilliant debut as a director by Gilroy, a complex yet subdued thriller that takes its time to grab you but once it does, keeps you riveted to the screen until the very end.

Tightly plotted, expertly acted, Michael Clayton is a challenging, satisfying corporate thriller

In fact, Michael Clayton's only real shortcoming is its name -- seldom has a more complex and interesting story been given a simpler, less appealing title.

Etc, etc.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

J'ai aucune dent contre le film...j'ai une dent contre toi et ton indulgence des fois alors que tu veux plus mesuré que tout le monde...mesurier than thou quoi...



Oh my God! I'm convinced!
PRAISED BE THE LORD!
Jisaaaaaaaaaaaaaas yu holem hand blong miiiiiiiiii!!!!!!!!!!!!!!!!

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Cette discussion peut devenir intéressante!

Doubtful.

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Y a des films qui méritent d'être défendus. You of all people know.

Si j'ai pas mis 5 c'est parce que ça reste spécial et je veux pas que des gens y aillent (oui ces foules de gens qui vont au ciné basés sur FDC lol) en se disant que ça va être un slam dunk alors que c'est assez exigeant et on peut rester extérieur.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Un honorable thriller juridique qui sait capter l'ambiance dépressive des cabinets d'avocats. Plus que l'intrigue en elle-même, Tony Gilroy dresse de manière un peu trop appliquée le portrait psychologique du rôle-titre, en révélant par petites touches la prise de conscience progressive d'un homme fatigué, incarné par un Clooney qu'on avait rarement vu aussi sobre. C'est parfois un peu démonstratif (notamment toutes les scènes familiales) mais Gilroy rattrape cela par une belle limpidité grâce à sa croyance tranquille au récit, qui sert la mise en scène plutôt que l'inverse. Malgré une narration un peu confuse, il ne cherche pas à nous embrouiller inutilement. Et du coup, tout ce qui aurait pu être lourdement stylé (la scène des chevaux, et surtout les tout derniers plans, du travellling au générique de fin) trouve une certaine grâce. Enfin, il faut dire que les seconds rôles emportent le morceau : Tom Wilkinson et Tilda Swinton, simplement excellents.

4/6

J'ai trouvé ça assez insupportablement chiant. Pour moi ça rejoint la grande famille de l'Hollywood à bonne conscience tout à fait aware du monde qui l'entoure, avec des films confiés soit à des illustrateurs niais (Blood Diamond), soit à des scénaristes qui feraient mieux de le rester (Syriana, ce Michael Clayton). A l'image, c'est bavard, terne et statique à en mourir, avec un George Clooney en mode "surtout, n'essaie pas une seconde de jouer différemment d'un rôle à l'autre, on risquerait de s'y perdre". Au bout d'un moment je me suis contenté de remarquer que le maquilleur de George a eu la main un peu lourde sur le crayon, avec le plan final en apothéose.

*ma que ça te fait oune regard profondo George*

1/6

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Doll, it's a heartbreaking affair

Superbe intro, avec sa voix off de Wilkinson en panique, en stress, tout le temps, superbes moments avec Tilda Swinton, en panique, en stress, tout le temps, très bonne scène de Clooney et les cheveux (même si du coup, le suspense qui précède la répétition de la scène, plus tard dans le film, n'a aucun sens), quelques moments de froid que j'aurai aimé voir Gilroy foutre dans Bourne (le meurtre de Wilkinson) et un Clooney très Clooney mais néanmoins bon (sa scène avec le client riche au début, sa scène face à son fils dans la voiture, sa dernière scène)...voilà...le reste, c'est quand même INCROYABLEMENT déjà vu.
Et en mieux.

L'employé des pourris qui a soudain un cas de conscience, on a déjà vu ça et en mieux. Dans The Insider ppour reprendre l'exemple de Qui-Gon, alors OK, je compare avec un chef-d'oeuvre mais bon...

C'est pourquoi le film raflera peut-être quelques nominations pour ses acteurs et, à la limite, son scénario "original", mais va pas falloir chercher plus loin...ça reste une intrigue très classique, avec un développement et une mise en image par moments un tant soit peu plus personnelles (mais c'est tout et c'est long) et c'est ce qui sauve le film.

3/6

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En fait il voit une image similaire dans le bouquin dont arrête pas de parler son fils...une silhouette de cheval sur une colline avec un arbre...et donc j'imagine que quand il voit ça en voiture, il est soudain pris d'envie d'aller toucher de près cette image.

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Juste..

Bon moi c'est pas passé. J'ai suivi le bazar, tout en essayant de me convaincre que c'était passionnant, mais ce ne l'est pas du tout. Une histoire toute simple qui se veut compliquée. Bref je me suis fait poliment chier. Y pas assez de tension.
Avec un peu d'indulgence, on se dit qu'il y a de bonnes choses, mais jamais el film ne me marque, ne me prend, ne me secoue. Je retiendrai juste le dernier plan, pas mal, mais aussi Sidney Pollack, décidément sacré bon acteur.

Quelque chose comme 1,5/6

Sinon, j'aime pas le titre, j'aime pas l'affiche.. Et puis JN Howard a signé une de ses pires BO.

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Chuis assez d'accord avec Arnotte, et je rajouterais que le montage non linéaire ne sert strictement à rien et nuit plutôt au film: ça enleve tout suspense quand on revient dessus.

Et je sais pas ce que vous avez avec la scène des chevaux, personnelement je l'ai trouvé horriblement niaise..

A part ça le scénario ne m'a pas captivé un seul instant, beaucoup trop bavard notamment, j'ai vite laché prise.

La scène n'a rien d'extraordinaire, mais elle n'est pas du tout niaise.. Elle est assez belle, en fait. Ces chevaux sont cinégéniques.
Son problème, selon moi, est qu'elle vient trop tôt dans le film. Il fallait montrer ça à la fin.
Bref, je pige pas bien l'usage du flash-back..

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Oui, LE truc qui m'éneeeeeeeeeerve à fond dans les films actuels : on montre une scène "tendue" au tout début et hop, flash-back !!!! Comme dans "M:I 3" par exemple.

J'avais crée un topic sur ça, si je me souviens bien..