Forum de FilmDeCulte

hum, je clarifie, apparemment ma phrase a été mal comprise (pourtant, relis la intégralement, elle ment pas): je parlais de severance, pas des Fils de l'homme.

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ah j'avoue qu'à ce moment-là j'ai eu peur qu'il nous mette un boeuf et un âne au fond, mais ouf non sérieusement à ce moment-là je trouve qu'il y va mollo, assez subtilement.

Vi, vi.. (t'es pas resté jusqu'au bout du générique, toi)

Ya même du Radiohead: "Living in a glasshouse" quand il est pour la première fois chez Jasper - dont la maison a effectivement un côté "effet de serre".

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Putain de très bon film d'anticipation, la dernière demi-heure est absolument incroyable, j'ai été pris à fond par la fuite, la bo tue tout même si j'attendais le morceau de Sigur Ros de la BA...

Du grand, du très bon cinéma politique.

5/6


sinon

Emmanuel Lubezki sera donc le sujet de mon coup de coeur annuel FilmDeCulte.

YEAH!!! Bien parlé, Robin!

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Rien à voir!!! Tu me dis que c'est pour The Grudge 3, The Eye 4 ou autre srilleur japonais, je te crois...

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Hallucinant comme toutes ces affiches ne vendent absolument pas ce film. Entre le titre et l'affiche toute conne, putain faut s'y connaître un minimum en ciné pour y aller quoi !

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Netflix les gars, Netflix.

Putain mais grave! C'est d'autant plus étonnant que ce film (avec son sujet, son imagerie) (m') inspire à mort! Y'avait vraiment moyen de faire des affiches fabuleuses!

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

LOL Merci, Hal5!

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Je m'étais fait la réflexion que les quatre (cinq avec "Paris...") derniers films de Cuaron parlaient peu ou prous d'enfants/ados orphelins, laissés à eux même, à la recherche d'un parent, souvent pris en charge par un mentor. Là il a inversé la chose, mais ces adultes sans progénitures ressemblent presque à des adolescents et la différence n'est pas si énorme, ils ont gardé cette part d'enfance qui donne aux personnages un cachet particulier...

Je suis peut être le seul à avoir pensé ça mais les parti pris de mise en scène et les décors du film m'ont donné l'impression d'être à plusieurs reprises dans Half life 2...Le film aurait pu faire l'objet d'un jeu de rôle ou d'un FPS.

Pour ceux qui n'y ont jamais joué voir la vidéo Helicopter fight, par exemple.
http://media.pc.gamespy.com/media/492/4 ... ids_1.html
Mais les séquences entièrement scriptés du jeu dans lesquelles les déplacements sont réduits (comme les ballades en train) ont aussi d'étranges ressemblances avec le film.

Non, tu n'es pas le seul. J'y ai beaucoup pensé moi aussi.

Et sinon, t'as aimé?

J'y ai pris du plaisir mais de manière un peu détaché...Faudra voir de quel côté penchera la balance lors d'une hypothétique seconde vision.

3 / 5

Série B d'anticipation sympathique, sans plus. Aucune idée neuve, pas le moindre fonds, un récit téléphoné. En revanche, un budget bien utilisé (décors de squat, figuration SDF, check-points) une bonne ambiance d'effondrement de notre société (paupérisation urbaine, dérive vers une dictature militaire, terrorisme, suicide institutionnalisé), un héros attachant, une scène d'action finale réussie, une réalisation plans séquences + lumière cheap ambiance docu de guerre.
Du déjà-vu, vraiment trop prévisible mais une réalisation bien maîtrisée.

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