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MessagePosté: 29 Mar 2010, 22:05 
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Puisqu'il fallait un topic, puisque j'ai vu le film une seconde fois ce soir dans de meilleures conditions, puisque j'ai pu mieux organiser mes pensées. Un avis.

J'ai davantage apprécié cette seconde vision, avant même les quelques éclaircissements du réalisateur après la projection, je ne saurais trop dire pourquoi si ce n'est peut-être que j'ai mieux cerné les intentions et surtout l'homogénéité du film.

Mes impressions n'ont pas tant changé que ça, ce sont globalement les mêmes choses que j'ai aimé et moins aimé.

Moi ce qui me séduit vraiment dans le film c'est l'idée d'apporter un traitement fantastique à cette réalité sociale : ouvrir le film sur un carton de conte, puis sur des monstres de métal où n'apparaît pas l'humain, écrasé par la Machine, présenter un décorum de ville-fantôme qui lorgne involontairement vers The Fog, etc.
Le pinnacle de cette analogie étant ce plan du reflet de l'eau où l'image du dragon à l'arrêt est rendue chimère par le mouvement de la surface...

C'est le gros atout du film à mon goût, sa plus grosse touche d'originalité.
C'est pourquoi je décroche un peu dès lors que le film choisit de donner la parole aux ouvriers.

Je comprends évidemment la démarche et j'en admire le jusqu'au-boutisme final (13 minutes de discussion non stop), d'autant plus que les entretiens sont parfois probants (les ouvriers qui ont repris l'usine et se rendent compte qu'ils sont presque devenus les "patrons", tout le compte-rendu des ex-employés de la Sopal sur les méthodes des dirigeants, etc.) mais parfois moins pertinents à mon humble avis (le témoignage des anciens salariés de la Cellatex, au début).

Au même titre, je trouve l'illustration qui est faite de la vente aux enchères très parlantes (le côté "vautour" est très bien rendu, très bien mis en scène, on pourrait presque croire que c'est faux), alors que la réunion dans le théâtre reste un peu trop illustratif.

L'alternance entre les purs moments d'ambiance et les entretiens, ainsi que le systématisme des cartons, crée un rythme assez particulier, peut-être un chouille maladroit.
Une fois de plus, notamment suite aux explications du metteur en scène, je saisis la volonté de ne pas avoir utilisé d'images d'archives pour raconter comment les employés de la Cellatex ont réussi à mener une action qui leur a permis de partir avec des indemnités de 80 000 €, mais quelque part, je trouve que ça prouve le vieil adage du "ce qui est dit au lieu d'être montré au cinéma est perdu pour le spectateur".
En fait, avec cette seconde vision, les cartons ne me dérangent pas tant que ça, vu qu'ils interviennent à chaque nouvel étape, excepté le second. Y a que celui-là qui me casse un peu le rythme vu qu'il intervient très tôt après le premier.

Dans le même genre de "maladresse" qui m'avait choqué la première fois - et évidemment moins la seconde - c'est cette volonté de rendre le montage des entretiens visible, d'appuyer la coupe par un écran noir. Je vois le sens, visant à montrer qu'on manipule pas les propos, mais j'ai l'impression qu'ils auraient pu se permettre cette concession afin d'obtenir une narration plus harmonieuse, un flot plus fluide...
C'est pas très "grave", je pinaille un peu...

En tout cas, le film a un propos et un point de vue et de belles idées de mise en scène, à l'instar de Passemerveille pour lequel je garde cependant une préférence, probablement parce que je le trouve plus original dans le sujet et le ton.

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MessagePosté: 29 Mar 2010, 22:39 
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Tout pareil.

J'aurai beaucoup aimé voir le premier montage, plus "fantastique" que notre cher réalisateur a mentionné lors des questions-réponses. Je trouve qu'on ne voit pas assez cet aspect fantastico-fantomatique (ça c'est mon côté geek qui ressort) et c'est bien dommage, ça aurait peut-être pu instaurer une ambiance plus puissante. Mais je veux bien croire que ça dénaturait le propos.
D'un point de vue technique j'y connais rien, mais la "mauvaise qualité" de l'image, le grain, c'est volontaire ? C'est dû à quoi ?
Quant aux cartons, je les trouve pertinents et ils ne m'ont pas dérangés le moins du monde car indispensables. Ça ne casse pas le rythme qui est de toute manière assez contemplatif.

Sinon au passage j'ai également préféré Passemerveille qui est à mon sens plus original dans l'idée et le traitement et pis Lonsdale déchire tout quoi.

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MessagePosté: 01 Avr 2010, 14:08 
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je vous réponds bientôt.

en attendant, pour ceux qui trouvent le DVD trop cher, y'a la VOD : http://www.universcine.com/films/les-dr ... istent-pas

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MessagePosté: 03 Avr 2010, 11:24 
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Promis, je vous réponds cette semaine, où je récupère du temps.

En attendant : http://www.cemea.asso.fr/multimedia/enf ... article751

Citation:
Les Ardennes, ou plutôt la Pointe des Ardennes, cette langue de terre française qui s’enfonce dans la Belgique. Les usines ferment les unes après les autres. Et c’est la longue série des tentatives pour sauver l’outil de travail, des luttes ouvrières, les occupations et les séquestrations, les liquidations finales avec ce goût d’amertume, la colère inévitable devant le mépris des patrons, l’inquiétude malgré les indemnités qui permettent tout au plus de tenir un ou deux mois ; Ces Ardennes là deviennent une grande friche où la seule solution envisagée est le développement du tourisme vert. On pense à la Chine telle que nous la montre l’extraordinaire série de Wang Bing A l’ouest des rails. Ici bien sûr l’espace est plus restreint, et le film de G Massart ne fait que 45 minutes. Mais c’est largement suffisant pour nous montrer l’ampleur du désastre économique.

Le projet du film est de donner la parole aux ouvriers, de les mettre autour d’une table, sous l’affiche de la CGT et de les laisser s’exprimer. Non pour théoriser leur lutte, comme on l’aurait fait dans les années post 68, mais pour dire leur vécu qui d’ailleurs n’est pas très différent des constats les plis traditionnels du mouvement ouvrier français : l’incompétence des patrons et même des cadres, la froideur et la distance de ceux qui décident qui ne se soucient nullement des réalités humaines, et du côté ouvrier, les difficultés pour mobiliser suffisamment pour vraiment être une force qu’on ne pourrait plus tenir pour négligeable. Aujourd’hui comme hier, les luttes ouvrières n’ont pas un avenir radieux devant elles !

Le cinéma documentaire militant se décline en France plutôt au passé. Avec des oeuvres fortes qui font aujourd’hui référence. On pense à Chris Marker en particulier, avec entre autres A bientôt j’espère au titre prémonitoire puisque le film date de 1967. Et puis il y a eu l’expérience des groupes Medvekine, où la dimension militante était soulignée par le côté collectif non seulement des luttes, mais aussi par celui de la réalisation cinématographique qui faisait explicitement du cinéma un objet de lutte. Le film de G Massart s’inscrit dans cette dimension du cinéma militant. Et cela est amplement suffisant pour qu’il connaisse une large diffusion.

D’autant plus que la véritable originalité du film ne réside pas à proprement parler dans cette visée militante. Il faut plutôt la chercher dans la vision qu’il nous donne de cette région sinistrée par la disparition de son industrie. Les Ardennes sont une région de brouillard et de légendes. De brouillards propices aux légendes. Celle par exemple du dragon réfugié dans la Meuse et responsable de ses crues dévastatrices. Les images d’archives nous le montrent simplement : la nature aussi peut s’attaquer aux usines. Mais ses dégâts sont toujours réparables. Ceux causés par l’homme lui-même sont eux irréversibles.

Les grands plans d’ensemble sur la vallée qui ouvrent le film pourraient être d’une grande beauté plastique. Et pourtant il s’en dégage un malaise indéfinissable. Ils annoncent les ravages des eaux lors des inondations dans des images d’archives nécessairement ternes. Ou, pire encore, ces immenses espaces des ateliers sans machines, sans travailleurs, désertés par la vie.

Jean Pierre Carrier

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MessagePosté: 12 Avr 2010, 06:33 
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Bon, je sais, j'ai toujours rien répondu :(

Mais si vous avez du temps mardi à 18h30 vous pourrez m'entendre blablater sur cette radio : http://www.radio-m.fr/

d'ailleurs si qq'un a de quoi enregistrer, j'ai peur de pas pouvoir l'écouter en live, et ça m'enlèverait une fière chandelle du pied.

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MessagePosté: 12 Avr 2010, 08:46 
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Bon, réponse :

J'entends et comprends vos frustrations sur le léger retrait de la légende par rapport à la première version, je n'ai pas grand chose à en redire, je sais les choix qu'on a faits et je sais les gains et les manques qu'ils créent. Je crois sincèrement que ces images, toutes belles et inspiratrices qu'elles étaient (et elles me manquent, qqpart, mais elles ne sont pas les images de ce film-là, c'est tout, elles en sont la périphérie, d'où leur présence dans la bande-annonce) nous éloignaient du cœur du film, détournaient notre attention, posaient deux films côte-à-côte et, pour un film dont le défaut principal est sans doute son côté très bloc-à-bloc, très séquencé, avoir en plus une telle répartition esthétique n'aidait vraiment pas à l'unité.

Pour le cut au noir, après multiples revisions, je pense qu'il est surtout maladroit dans l'entretien dans la cuisine, qui en est vraiment trop lardé (parce que le multi-cam n'était pas possible, sans doute, donc ça manque de dynamisme? je ne sais pas, je ne suis pas nécessairement un ardent défenseur du multi-cam, mais le film m'a appris à le dompter et à l'aimer). En revanche, je revendique intégralement le montage des 13 dernières minutes, dont j'aime absolument tous les choix de montage, qui est vraiment le moment où le multi-cam est à mon sens le plus maîtrisé.

(j'ai moins cette impression sur la séquence dans le théâtre par ex, qui pourtant exploite intelligemment, je crois, le multi-cam, mais ne saurait pas vraiment justifier tous ses changements d'angle, un ou deux sont un peu décoratifs, c'est du détail mais voilà)

Voilà, selon moi, la force du film, c'est sans doute ses deux pics, à savoir la vente aux enchères et le climax parlé final, c'est un film de moments, c'est un film qui a ses défauts parce qu'on ne sait pas bien à quel film on a affaire. On se demande si c'est un film informatif-enquête ou un film universel, sur la colère, le militantisme, ses vanités et ses forces. La légende est là pour rappeler que c'est bien la deuxième entrée qui m'intéresse, mais l'envolée finale sur les Ardennes ramènent le film sur du local. J'aime bien qu'il dandine sur ces deux pieds-là.

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MessagePosté: 13 Avr 2010, 21:54 
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Zad a écrit:
si vous avez du temps mardi à 18h30 vous pourrez m'entendre blablater sur cette radio : http://www.radio-m.fr/

d'ailleurs si qq'un a de quoi enregistrer, j'ai peur de pas pouvoir l'écouter en live, et ça m'enlèverait une fière chandelle du pied.



merci jiko : http://www.fileden.com/files/2009/4/12/ ... tradio.mp3

(waouw, la radio faite à la maison, j'te jure)

(mais c'est cool :D )

(il y a un blanc de quelques secondes à mi-chemin et ça déconne un peu après cette pause :( )

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MessagePosté: 13 Avr 2010, 23:21 
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Pascale Bodet, pour Chronic'Art :

Citation:
Les Dragons n'existent pas (Guillaume Massart, Panorama français) : le carton qui ouvre le film (un dragon terrorisait les Ardennais, ils surent s'unir contre lui) et les plans de grues qui tendent leur cou mécanique promettaient que l'état des lieux (une région industrielle dévastée) se nourrisse de la fable ou se transmue en fable. Mais les dragons n'existent pas, le début du film est oublié et il faut se rendre à l'évidence du titre. A défaut de vérité générale et transhistorique sur les dragons, le film se construit au cas par cas du collectage audiovisuel : des plans sans tellement de personnalité, archives personnelles semble-t-il, qui remontent à 2006, de l'usine Cellatex désaffectée, de 2 cinquantenaires qui n'ont par retrouvé de travail ; un reportage sur une usine rachetée par plusieurs ouvriers qui, à 3, s'étonnent d'être désormais attentifs au cours de l'acier ; un long plan-séquence où 8 ou 9 ouvriers discutent du montant de leur prime de licenciement et de la fin de leur usine autour d'une grande table de réunion. Au milieu, il y a une longue scène où les outils de travail sont mis aux enchères : le commissaire-priseur ressemble à un camelot itinérant du 21ème siècle. Par cette construction en devenir, au petit bonheur la chance de scènes filmées avec les moyens du bord, Les Dragons n'existent pas finit par trouver sa forme, et in fine le chemin d'une fable : les ouvriers dont la région est de plus en plus morte et la condition de plus en plus atomisée sont, à l'image, de plus en plus nombreux, mais comme si leur imaginaire regardait désormais le spectre du tourisme, qu'ils se préparaient déjà à faire les guides.


http://www.chronicart.com/webmag/articl ... =2&id=1633

comme d'hab, les critiques négatives sont à mes yeux les plus intéressantes.
j'aime bien l'idée qui conclut l'article, sur le nombre, et aussi que le film trouve sa forme à mesure qu'il avance, etc.
par contre, il y a des trucs faux, et notamment sur la séquence finale : 6 ouvriers, pas 8 ou 9, c'est absolument pas un plan séquence, et c'est pas on discutaille de la prime de licenciement, franchement c'est très réducteur d'écrire ça.

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MessagePosté: 13 Avr 2010, 23:38 
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Je réfléchissais à cette idée du nombre, elle est séduisante mais elle ne tient pas, en tout cas pas comme ça. Le film parle bien du dépeuplement, en effet, et de l'alliance, du collectif, et dès la légende d'ailleurs c'est le collectif qui défait le dragon. Ensuite, dès l'ouverture tournée par les ouvriers, on voit le collectif, le groupe, la force du groupe. Ca alterne immédiatement après avec le vide complet, l'usine vide, désaffectée. C'est plutôt ça qui se passe régulièrement dans le film : on vide les usines, et on s'interroge du devenir des ouvriers, comme groupe et comme individus. Il n'y a pas d'évolution constante, et d'ailleurs la séquence dans le théâtre à mi-chemin réunit bien plus de monde que la fin, ne serait-ce qu'à la table, et puis dans la salle, quand bien même elle est un peu clairsemée. Et la séquence finale, elle se fait retranchée dans les locaux de la CGT parce qu'on a vu les dragons vider l'usine en amorce, donc on se retranche, on se réfugie où on peut, pour réfléchir à l'action. Et la colère monte parce qu'à force, la région elle-même se vide et l'action devient de plus en plus compliquée, puisque tout le monde part.

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MessagePosté: 16 Avr 2010, 09:28 
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Citation:
Que faut-il penser de la présence de la créature mythique qu’est le dragon dans le titre de deux films présents dans la compétition française ? Justement, qu’enregistrer le réel, c’est aussi filmer son pendant fictionnel, sa dimension de fabulation. Les Dragons n’existent pas reprend le thème très contemporain de la lutte des travailleurs pour la survie de leur usine, pour le maintien de leur emploi en période de désindustrialisation, mais aussi pour le respect de leur personne et de leur rôle dans l’entreprise, et donc, dans la société. Là où le film de Guillaume Massart se distingue d’autres documentaires portant sur la même question, et notamment du très proche Silence dans la vallée de Marcel Trillat (2007), c’est dans sa manière de traiter son sujet sur le mode fantastique. Par exemple, en montrant la gueule fumante de l’usine et les pinces géantes des pelleteuses, qui, au lieu de nourrir et faire vivre les ouvriers, finissent par les dévorer tout cru. Au-delà de la parole rendue à ceux qui ont été dépossédés de tout, et qui assistent à la vente aux enchères des machines-outil de leur usine pour voir une dernière fois leur instrument de travail, le film trouve une très belle matérialisation en image de l’idée d’un capitalisme monstrueux et dévorant, et surtout archaïque.


http://www.critikat.com/Cinema-du-reel- ... artsuite=1

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MessagePosté: 28 Avr 2010, 10:25 
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Citation:
Ne manquez pas la soirée "Ce vieux rêve qui bouge" qui se déroule au Magic Cinéma de Bobigny le jeudi 27 mai à 20h.

Projections de 2 films sur les bouleversements ouvriers en France :

Renault-Seguin, la fin de Cécile Decugis

Les dragons n'existent pas de Guillaume Massart


http://www.cinemas93.org/

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MessagePosté: 24 Mai 2010, 21:07 
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si tu cliques là : http://dl.free.fr/vRieY685R

une imprimante, un coup de fil ou un mail, et hop, tu peux voir les dragons gratuits jeudi à bobigny, elle est pas belle la vie?

(ET Y'A UN COCKTAIL!)

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MessagePosté: 24 Mai 2010, 21:17 
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Ah cool ça ! tout le monde peut venir, même les mickey willis ?


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MessagePosté: 24 Mai 2010, 21:43 
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Hééé, je vais enfin pouvoir voir un film d'un filmdecultien au cinéma (et voir d'autres foruméens lors du cocktail, j'espère !), cette fois-ci j'ai rien de prévu normalement :mrgreen:


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MessagePosté: 25 Mai 2010, 06:13 
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:D
viendez plein! (mais viendez pas bourrés)

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