Forum de FilmDeCulte

clair.
enfin, pour ma part, surtout pas en anti-clips.
je suis globalement allergique à la pub, dans son principe.

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Le film qui marche comme un jeu de domino...

Le premier domino à se casser la gueule, c'est le scénario que je trouve franchement indigent. Mais tu te dis, c'est prétexte, c'est comédie musicale champagne, allons voir le 2e domino.

Le second domino, c'est les chansons. Mais, à l'image des chansons que j'ai pu entendre de Beaupain, à part un ou deux morceaux, c'est souvent de l'eau tiède que tu ne peux pas distinguer avec l'eau tiède d'à côté. Pour une comédie musicale, c'est facheux.

Le troisième domino, c'est le magnétisme pop des acteurs qui pourrait réveiller tout ça. Mais Garrel ne s'en sort que dans le cabotinage et dès qu'on est dans le premier degré () c'est le black out complet, total eclipse of the jeu.

Le domino complémentaire c'est le segment homoérotique super tarte, posé là vraiment parce qu'il fallait le poser...et Leprince c'est pas possible.

Sinon c'est sooOOoOo Paris, ça cite Aragon dans la rue en revivant sa nouvelle vague chez Demy, un genre de tourisme qui marchera peut-être à NY.

2/6

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Doll, it's a heartbreaking affair

Puisque tu parles de Daney, sache qu'il lui est déjà arrivé de classer des spots publicitaires dans ses tops cinéma de fin d'année. C'est quelqu'un qui avait une grande ouverture d'esprit.
Quand à ces "notions à la con", j'aimerai bien que tu développes. J'ai quand même l'impression, à vous lire, qu'il y a un gros malentendu au sujet de Daney sur ce forum...

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N'écoutez pas Film Freak

je suis déçu, tetsuo, d'ailleurs, que tu aies boycotté, toi aussi, mon post sur La Rampe

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Ha bon ? Où ça ?
Non mais moi je parcours jamais tout le forum, alors je rate toujours plein de trucs. L'autre jour je suis tombé sur une discussion datant de plusieurs mois où on n'arrêtait pas de parler de moi.

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N'écoutez pas Film Freak

Se taire, tu m’en as tant dit
Plus rien ne m’étonne
Se faire des serments muets
Des promesses aphones
Les mots de trop
Il faut se taire
Nos langues se fatiguent
Ménageons les
Pour se faire langue contre langue
Un dialogue de sourds
Parfois, crois moi, on doit se taire
Gardes ta salive
Que je puisse enfin la faire couler dans ma gorge
Comme un doux venin
Les mots de trop
Il faut se taire
Nos lèvres sont sèches et nos bouches vont mieux
A faire que se prendre au mot
Que se prendre au jeu
Parfois, crois moi, on doit se taire enfin
Se taire à la fin

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Moi ça me fait penser à la connerie de Maidi Roth que France Télévision passe tout le temps à chaque émission de sports. *beuah*

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Doll, it's a heartbreaking affair

Maîdi bientôt dans son propre rôle dans plus belle la vie...une histoire d'arnaque dans le monde cruel de l'industrie du disque. +belle marche sur les scénarios d'Hélène, c'est terrible.

Mais elle a un truc à voir avec Patrick de Carolis ou bien? Entre sa daube tartinée sur tous les ralentis de Mauresmo et cette news...

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Doll, it's a heartbreaking affair

J'ai trouvé ça constamment sur le fil...
Le scénario est un peu torché: beaucoup de persos secondaires expédiés, la partie gay assez artificielle pas aidée par Leprince Riguet et ses faux airs de Pascal Duquenne, et le personnage de Garrel trop monocouche ne facilite pas l'empathie. De même sa relation avec Sagnier mériterait d'avoir un vrai background pour qu'on y croie.
Mais il y a de vrais beaux moments: les scènes de familles sont très réussies (la scène de la serviette tout particulièrement), la relation Garrel/Mastroianni a quelque chose de très touchant, et le personnage de Ludivine Sagnier est très intéressant. Au passage, elle s'octroie les meilleures chansons... chansons assez déconcertantes, parce que là encore, c'est une sur deux: ou c'est vif et inspiré ou complêtement à côté de la plaque.
Et puis l'ensemble manque de liant, d'un petit côté tourbillon de la vie qui ferait qu'on s'accroche, qu'on s'implique, qu'on ne soit pas spectateur passif d'une sorte de bohême intello parisienne un peu froide... La mise-en-scène se cherche: il y a de très bonnes idées , et des ratages complets, comme la dernière chanson de Chiara Mastroianni dans le parc, en un seul plan pas très joli se finissant sur un regard caméra étrange.
Au final ça reste un film dans lequel on ne s'ennuie vraiment jamais, mais ponctué de tics un peu énervants et de maladresses qu'on aimerait bien pouvoir corriger. Un peu de 100% positif pour finir, toutes les actrices sont très justes, mention particulière à Chiara et Ludivine, vraiment touchantes.

Lol n'importe quoi ...

OK.... J'ai tenu dix minutes. C'est effrayant de nullité ! Elles servent à quoi, les chansons ?

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Anthony Sitruk - Bien sûr, nous eûmes des orages
(168 pages, 14.00€)
Commande | Site perso

à meubler le vide

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