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MessagePosté: 12 Oct 2019, 20:56 
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Lohmann a écrit:
Par contre là où je ne rejoins pas Tetsuo, lorsqu'un réalisateur sort du domaine des généralités et décide de traiter d'une pathologie en particulier, cela peut donner de très bon films (la paranoïa de Travis Bickle pour reprendre l'exemple de FF, la schizophrénie de Norton dans Fight Club, il y aurait sûrement beaucoup d'autres exemples si je me donnais la peine de me creuser les méninges).


J'ai jamais dit que ce n'était pas possible, hein. Mais les exemples que tu donnes ne me convainquent pas par contre...

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MessagePosté: 12 Oct 2019, 21:02 
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Tetsuo a écrit:
les bons films sur la folie, j'en connais vraiment pas beaucoup, et les quelques exemples qui me viennent à l'esprit tournent plutôt autours de cette idée que la folie est quelque chose qu'on ne peut pas vraiment filmer...


Tu penses quoi de la folie de Jack Torrance dans The Shining à ce niveau-là ?

Et tu as vu le Targets de Bogdanovich ?

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MessagePosté: 12 Oct 2019, 21:54 
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Castorp a écrit:
Tu penses quoi de la folie de Jack Torrance dans The Shining à ce niveau-là ?


Je pensais à celui-là notamment. Il filme ça de l'intérieur, sans en faire un examen clinique et démonstratif, et montre que c'est quelque chose d'insaisissable.

Citation:
Et tu as vu le Targets de Bogdanovich ?


Non.

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MessagePosté: 12 Oct 2019, 22:55 
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En parlant de folie au cinéma, vu récemment Valse d'amour de Dino Risi. Le film commence en 1976 quand eut une nouvelle loi a entraîné la libération de quantité de fous qui étaient jusque là maintenus dans des asiles. Le sujet tenait sans doute à coeur à Risi qui avait commencé par faire des études de psychiatrie avant que travailler dans un asile ne l'en dégoûte.
Gassmann incarne une sorte de folie douce avec une sobriété loin de son registre habituel. Le film est moins tenu formellement que les films des années 60 évidemment mais c'est un Risi tardif, mineur mais émouvant.


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MessagePosté: 12 Oct 2019, 23:25 
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Tetsuo a écrit:
Ah par contre, Chute libre tu dis rien là, hein !

C'est surtout que je ne l'ai pas vu.


Citation:
2) les bons films sur la folie, j'en connais vraiment pas beaucoup, et les quelques exemples qui me viennent à l'esprit tournent plutôt autours de cette idée que la folie est quelque chose qu'on ne peut pas vraiment filmer..
Schizophrenia, Shock Corridor, L'antre de la folie, A travers le miroir. Allez j'ose aussi mettre Shining plus qu'Orange mécanique (oups pas lu le message de Castorp avec qui je suis d'accord). En fait tu as vraiment d'excellents films sur la folie en cherchant bien.


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MessagePosté: 13 Oct 2019, 03:04 
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Abyssin a écrit:
C'est surtout que je ne l'ai pas vu.


Pas un chef-d'œuvre, mais le meilleur film de Joel Schumacher, de loin...

Citation:
Schizophrenia


Pas vu. Mais ça fait longtemps que je veux le voir et ça a l'air bien, oui...

Citation:
Shock Corridor
L'antre de la folie
A travers le miroir.


Que je trouve plutôt ratés. Et pourtant chacun de ces cinéastes a réalisé au moins un de mes films préférés...

Citation:
En fait tu as vraiment d'excellents films sur la folie en cherchant bien.


Mais sincèrement, tu crois vraiment que j'y ai pas réfléchi 5 minutes, que j'ai pas tenté de répertorier les films sur la folie dans mon esprit, que je ne me suis pas demandé pourquoi je ne les aimais pas en tentant d'en donner une explication claire et intelligible ? T'espères quoi en me balançant ta liste et en m'affirmant que "si, si, y'en a plein en fait" ? Je comprends pas l'intérêt...

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MessagePosté: 13 Oct 2019, 09:50 
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Dans le cinéma américain vous avez :
Equus (peut-être techniquement un film anglais) de Lumet (signalé par Jerzy à l'époque où il transmettait de temps en temps quelque-chose d'intéressant)

Mickey One d'Arthur Penn (dont le personnage principal essaye lui-aussi d'être acteur de Stand Up, et qui a aussi un fond sociologique pré-scrorcesien, avec de la mafia dans la ville, de la précarité vécue commme un rituel d'initiation nietzschéen auto-infligé, et de la crise du beau gosse seul masculin dedans. Joker a d'ailleurs l'air de devoir beaucoup beaucoup à ce film)

Lilith de Rossen dont j'ai parlé récemment (pas très bon, mais très défendu pas la critique en son temps : le jeu expressioniste il est vrai digne d'une actrice du muet, au sens de Godard dans son interview récente aux Cahiers* -quelqu'un qui n'a pas besoin de la langue, qui met sus le même plan situation et langage- de Jean Seberg convient bien au sujet)

Le Nageur de Frank Perry, qui a fait le long de sa carrière pas mal de films liés à l'univers psychiatrique. J'aimerais voir "David & Lisa" que l'on trouve sur YouTube, qui a lancé Keir Dullea (tiens, tiens, le comsmonaute un peu falot de 2001) dans le rôle d'un obsessionnel. Jean Seberg en dit beaucoup de mal mais la description et la vision du Nageur laissent présager un film malade comme peut l'être Lilith.

Et bien sûr la Maison du Docteur Edwardes d'Hitchcock, dans lequel, malgré la dimension humouristique (bienvenue vu le sujet), la description du transfert psychiatrique est assez sérieuse.

*qui aime bien Adèle Haenel, qu'il a dû voir dans le Daim

Sinon le cinéma italien d'Antonioni, Bellochio et Bertulocci a beaucoup montré la folie, mais peu de façon centrale l'institution psychiatrique (d'ailleurs, hasard ou pas, les hôpitaux psychiatriques sont théoriquement supprimés depuis les années 1960-1970 en Italie au profit de structures plus ouvertes)

Chez David Cronenberg, la folie est à la fois centrale et évacuée (basculement dans la violence et le thème compotiste irréel, délimitnant une micro-société cachée- illustré de façon paradoxalement descriptives, la folie devenant alors l'apparence individuelle qui préexistait à ce basculement ) . Lorsqu'il aborde la folie de manière plus psychologisante (comme dans Spider - d'ailleurs très inspiré de Lilith), c'est moins bon (Cronenberg effecture d'ailleurs un choix dans ses films entre représentation de la folie et représentation de la sexualité, qui est le moteur de la veine réaliste, quand Hitchcock parvient à maintenir la mise en scène de ces deux aspects)

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Dernière édition par Vieux-Gontrand le 13 Oct 2019, 11:01, édité 1 fois.

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MessagePosté: 13 Oct 2019, 10:38 
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Il y a (bien-sûr) aussi Birdy d'Alan Parker, à l'époque où Nicholas Cage était le Joaquim Phoenix d'aujourd'hui. C'est assez nul, mais la B.O. étonnamment new-wave (voire quasi-indus) de Peter Gabriel accompagné d'un Prophet V suicidaire est marquante.




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MessagePosté: 13 Oct 2019, 11:22 
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Tetsuo a écrit:

Mais sincèrement, tu crois vraiment que j'y ai pas réfléchi 5 minutes, que j'ai pas tenté de répertorier les films sur la folie dans mon esprit, que je ne me suis pas demandé pourquoi je ne les aimais pas en tentant d'en donner une explication claire et intelligible ? T'espères quoi en me balançant ta liste et en m'affirmant que "si, si, y'en a plein en fait" ? Je comprends pas l'intérêt...
Pour le coup, je vais botter en touche et te répondre "les goûts et les couleurs". On est juste en désaccord profond sur la qualité des films traitant la folie au cinéma vu que les films que je te cite il y en a beaucoup que tu n'aimes pas et moi l'inverse. Donc on ne peut être que foncièrement en désaccord. Et L'antre de la folie est mon Carpenter favori, c'est un film que j'idolâtre comme rarement 8)


Sinon oui mate Schizophrenia c'est un film assez étonnant.


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MessagePosté: 13 Oct 2019, 12:28 
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Vieux-Gontrand a écrit:

Chez David Cronenberg, la folie est à la fois centrale et évacuée (basculement dans la violence et le thème compotiste irréel, délimitnant une micro-société cachée- illustré de façon paradoxalement descriptives, la folie devenant alors l'apparence individuelle qui préexistait à ce basculement ) . Lorsqu'il aborde la folie de manière plus psychologisante (comme dans Spider - d'ailleurs très inspiré de Lilith), c'est moins bon (Cronenberg effecture d'ailleurs un choix dans ses films entre représentation de la folie et représentation de la sexualité, qui est le moteur de la veine réaliste, quand Hitchcock parvient à maintenir la mise en scène de ces deux aspects)
J'hésitais à citer Videodrome.


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MessagePosté: 13 Oct 2019, 13:33 
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On pourrait aussi ajouter Blue Velvet de David Lynch.

Sinon dans le cinéma français, Galabru à contre-emploi dans le Juge et l'Assassin de Tavernier m'avait fait forte impression, même si le film prolonge commercialement une veine commencée ailleurs avec Doillon et René Allio.
La folie dans le cinema européen ( moins dans le cinéma américain d'ailleurs où le serial killer est une figure autonome, peut-être à cause du western) est souvent adossée au stéréotype du meurtrier romantique et ayant une dispositon quasi-prophetique, il faut alors tout le dispositif surréaliste d'un Bunuel ou d'un Ferreri pour casser ce canevas (mais la folie devient alors tout à la fois la métaphore de l'aliénation sociale, au lien d'en être la conséquence, et un fantasme du pur désir où le sujet normal peut se projeter à trop bon compte).

J'aime bien Jimmy P. de Desplechin aussi (son meilleur film, ailleurs ni français ni américain mais entre les deux).

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MessagePosté: 13 Oct 2019, 19:51 
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Abyssin a écrit:
Pour le coup, je vais botter en touche et te répondre "les goûts et les couleurs". On est juste en désaccord profond sur la qualité des films traitant la folie au cinéma vu que les films que je te cite il y en a beaucoup que tu n'aimes pas et moi l'inverse. Donc on ne peut être que foncièrement en désaccord.


Parce que c'est totalement vain de discuter à base de "ce film est bien, ce film est pas bien" (je vois ça à longueur de journée sur Facebook, ça me tape sur le système). Il est évident que si je me permets d'affirmer une chose pareille, c'est parce que je trouve que quelque chose ne fonctionne pas dans tous ces films. C'est pourquoi je tente d'argumenter en donnant des pistes de réflexion générale sur lesquelles ont peut rebondir qu'on soit d'accord ou pas, comme l'a un peu fait Lohmann. Stop les débats macronistes là !

Citation:
Et L'antre de la folie est mon Carpenter favori, c'est un film que j'idolâtre comme rarement 8)


C'est à partir de ce film que Carpenter me laisse sur le carreau, en amorçant un virage méta dans son oeuvre avec une distanciation et une conscience de son statut d'auteur que je trouve beaucoup moins intéressant et touchant que ses films des années 70-80. C'est pas du tout un mauvais film, mais les cinéastes qui réfléchissent sur eux-mêmes, ça va pas bien loin.


Citation:
Sinon oui mate Schizophrenia c'est un film assez étonnant.


Faut que j'arrive à convaincre ma meuf...

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MessagePosté: 13 Oct 2019, 21:36 
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Tetsuo a écrit:
les cinéastes qui réfléchissent sur eux-mêmes, ça va pas bien loin.
Alors que Huit et demi est le plus beau film du monde, tsss
Vieux-Gontrand a écrit:
Et bien sûr la Maison du Docteur Edwardes d'Hitchcock, dans lequel, malgré la dimension humoristique (bienvenue vu le sujet), la description du transfert psychiatrique est assez sérieuse.
Du cinéma hollywoodien psychanalytique des années 40 ma préférence va à Lang, Le Secret derrière la porte en particulier.

Pour revenir à Hitchcock, je citerai avant tout Psychose, dont Joker reprend d'ailleurs la dernière scène. Dernière scène qui avait été auparavant reprise dans L’Étrangleur de Boston (film que je n'aime pas particulièrement mais où l'interprétation de Curtis est bonne, il ne surjoue jamais sa schizophrénie, ce qui la rend d'autant plus inquiétante).

Vieux-Gontrand a écrit:
Chez David Cronenberg [...] Lorsqu'il aborde la folie de manière plus psychologisante (comme dans Spider - d'ailleurs très inspiré de Lilith), c'est moins bon
Le Festin nu c'est plutôt pas mal...

Sinon on y réfléchissant un peu plus, il y a quand même certains réalisateurs chez qui la folie est est un thème récurrent, les premiers rôles d'Hitchock ont souvent un grain, chez Chabrol c'est pas beaucoup mieux (Le Boucher, Betty, Cluzet dans L'Enfer, Bouquet dans Juste avant la nuit), Herzog (les films avec Kinski bien sûr mais je citerai surtout La Ballade de Bruno), Fassbinder, Desplechin comme tu le soulignes (Amalric qui se fait interner dans Roi et Reines), tout récemment Verhoeven avec Elle...


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MessagePosté: 13 Oct 2019, 22:30 
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Oui il y en a plein, on ourrait aussi mentionner Zulawski, mais je ne sais pas si c'est "la folie" ou une projection littéraire (comme chez Chabrol).
J'ai aussi été marqué par Melina Mercouri dans le méconnu (mais très bon) Dix heures et demie du soir en été de Jules Dassin (film assez dur).
sur un autre mode il y a la fin de Femmes Femmes de Vecchiali (un des motifs du film -il ne s'y réduit heureusement pas- est une actrice qui attrape réellement le delirium tremens dans l'espoir de pouvoir le jouer).
Il y a aussi Family Life, le film qui a fait connaîre Ken Loach.
Il y a aussi des trucs à creuser chez Nicholas Ray (le Violent, Derrière le Miroir) voire Kazan (un Homme dans la Foule)

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MessagePosté: 14 Oct 2019, 00:25 
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Si on cite le moindre film qui évoque la folie ou dans lequel un personnage est fou, on a pas fini...

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