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MessagePosté: 26 Nov 2012, 21:18 
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Successful superfucker
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La vie réserve parfois quelques surprises…
Pat Solatano a tout perdu : sa maison, son travail et sa femme. Il se retrouve même dans l’obligation d’emménager chez ses parents.
Malgré tout, Pat affiche un optimisme à toute épreuve et est déterminé à se reconstruire et à renouer avec son ex-femme.
Rapidement, il rencontre Tiffany, une jolie jeune femme ayant eu un parcours mouvementé. Tiffany se propose d’aider Pat à reconquérir sa femme, à condition qu’il lui rende un service en retour. Un lien inattendu commence à se former entre eux et, ensemble, ils vont essayer de reprendre en main leurs vies respectives.


Le prix du public de Toronto, où sont mis en compétition tous les films avec en gros toute les sélections de Cannes et de Venise et mille autres, me laisse perplexe. Autant je veux bien reconnaître la portée feel good de ce gentil petit film sans prétention, autant j'ai bien du mal comment on peut cocher quatre étoiles chef d'oeuvre sur son coupon de sortie et que ce film déboule avec la meilleure moyenne du lot. On reconnait la patte typique de O. Russel, son côté névrotique obsessionnel bipolaire où tout le monde parle vite en même temps, mais il faut bien reconnaître que sa mise en scène est anonyme et son scénario un peu lège, avec ses deux-trois traits de caractère en mode shuffle. Mais ça reste un excellent directeur d'acteurs, ce qui est sans le doute leplus important dans le domaine de la romcom, donnant enfin quelque chose de consistant à jouer à De Niro et illuminant de mille feux une nouvelle fois Jennifer Lawrence, sensationnelle en veuve nymphomane blessée mais archi-sensuelle. Son petit numéro de charme psychotique avec Bradley Cooper fonctionne à plein régime et porte tout le film.
3/6


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MessagePosté: 26 Nov 2012, 21:47 
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Antichrist
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ça te semble petit pour les Oscars du coup ?


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MessagePosté: 26 Nov 2012, 21:49 
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Successful superfucker
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Karloff a écrit:
ça te semble petit pour les Oscars du coup ?



Oui faut quand même pas déconner et c'est tout de même une grosse année, donc même pour les seconds rôles ça sent juste le challenger.


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MessagePosté: 26 Nov 2012, 21:58 
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Citation:
Le prix du public de Toronto, où sont mis en compétition tous les films avec en gros toute les sélections de Cannes et de Venise et mille autres, me laisse perplexe. Autant je veux bien reconnaître la portée feel good de ce gentil petit film sans prétention, autant j'ai bien du mal comment on peut cocher quatre étoiles chef d'oeuvre sur son coupon de sortie et que ce film déboule avec la meilleure moyenne du lot.

Bah prix du public donc pas forcément le meilleur film, juste le plus facile à aimer donc le succès d'un feel good movie avec une vibe un peu indé m'étonne pas.

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MessagePosté: 26 Nov 2012, 22:01 
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Successful superfucker
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Film Freak a écrit:
Citation:
Le prix du public de Toronto, où sont mis en compétition tous les films avec en gros toute les sélections de Cannes et de Venise et mille autres, me laisse perplexe. Autant je veux bien reconnaître la portée feel good de ce gentil petit film sans prétention, autant j'ai bien du mal comment on peut cocher quatre étoiles chef d'oeuvre sur son coupon de sortie et que ce film déboule avec la meilleure moyenne du lot.

Bah prix du public donc pas forcément le meilleur film, juste le plus facile à aimer donc le succès d'un feel good movie avec une vibe un peu indé m'étonne pas.


De toute façon je kiffe rarement le gagnant. Et maintenant on va où, le discours d'un roi... Films à grand discours ou à prix d'interprétation qui se contrefoutent de la mise en scène.

C'est le film préféré de l'année de Bret Easton Ellis aussi.


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MessagePosté: 18 Jan 2013, 11:13 
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C'est marrant cette vague de films indépendants qui empruntent toute leur dramaturgie au cinéma des studios, au cinéma commercial. C'est vraiment le cas ici où on se retrouve face à une romcom finalement assez basique, mâtinée de dépassement de soi (le concours de danse) mais recouvert par un glaçage inédit et différenciant avec ses personnages souffrant de troubles psychiatriques. Ça donne un film un peu étrange où les bons sentiments, l'aspect balisé de sa construction et surtout
cette fin bien hollywoodienne, réconciliation familiale, gain du pari, love story qui finit sur une scène ultra romantique (la lettre)
semblent entrer en contradiction avec cette volonté de décrire des personnages fucked-up, abîmés par la vie avec cette évident désir de réalisme, de la description d'une middle class américaine. L'équilibre n'est donc pas parfait.

Mais au final ça marche. Tout simplement parce que les personnages sont extrêmement attachants et qu'on a envie de les voir heureux. C'est en grande partie le fait des acteurs vraiment parfaits dans leurs rôles surtout une Jennifer Lawrence totalement paumée qui passe de conne insupportable et qui sait pas ce qu'elle veut à un petit animal blessé sur le point de mourir. C'est vraiment beau et réussi ça. Cooper n'est pas en reste, il est vraiment top et ça fait plaisir de retrouver De Niro avec un rôle à sa mesure, il est impérial. Et ça marche également parce que l'on rentre dans un genre que l'on connaît par coeur comme dans des pantoufles. Et les pantoufles sont très confortables.

Je regrette un peu le cinéaste ultra prometteur de Three Kings quand même même si ça n'a rien de déshonorant et que j'ai préféré celui-ci à The Fighter (qui est un peu sur le même modèle d'ailleurs). Mais du strict point de vue de la mise-en-scène c'est anonyme au possible. Sympathique mais totalement anecdotique là où il y avait la place pour quelque chose de plus fort, de plus singulier et surtout de plus sincère. Les nominations aux Oscar c'est un peu du craquage (sauf pour les acteurs).

4/6

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MessagePosté: 26 Jan 2013, 12:21 
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oh mon dieu j'ai pas l'habitude de commencer un topic...EN CRITIQUE. Déjà que je déteste écrire sur ce forum, enfin bref:

Résumé Allociné:
La vie réserve parfois quelques surprises…
Pat Solatano a tout perdu : sa maison, son travail et sa femme. Il se retrouve même dans l’obligation d’emménager chez ses parents.
Malgré tout, Pat affiche un optimisme à toute épreuve et est déterminé à se reconstruire et à renouer avec son ex-femme.
Rapidement, il rencontre Tiffany, une jolie jeune femme ayant eu un parcours mouvementé. Tiffany se propose d’aider Pat à reconquérir sa femme, à condition qu’il lui rende un service en retour. Un lien inattendu commence à se former entre eux et, ensemble, ils vont essayer de reprendre en main leurs vies respectives.


Le film est excellent. Tout le casting est grandiose, Cooper en premier,et Jennifer of course est aussi excellente, ET TOUJOURS AUSSI BOMBE. De Niro est enfin...ENFIN, dans un bon rôle, ça fait longtemps, tout le reste du casting est impeccable, on s'attache aux personnages, et je le redis mais bradley cooper est impeccable, épatant et drôle.
L'histoire est très bien ficelée, réalisation classique mais soignée avec de jolies idées, la BO est pas mal. Donc voilà, pas envie de m'étendre ici, mais je dois dire que je ne suis pas étonné de ses nominations, et ce serait pas étonnant qu'il en gagne quelques-uns.
A ranger dans la catégorie des films: Little miss sunshine, Sideways....ce genre de film.

5/6

PS: Sortie mi-février au USA en BR et DVD.

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MessagePosté: 26 Jan 2013, 12:34 
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Tout d'accord avec toi kara.
Gros coup de coeur. J'en ai fait la longue critique, et je lui donne bien son 5/6 !


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MessagePosté: 30 Jan 2013, 22:27 
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J'ai trouvé ça franchement bon, franchement frais, juste, drôle et touchant, ou comment Russell efface tout le vernis d'un genre - la romcom - pour proposer une comédie qui, sans être dramatique, ne se limite pas à l'humour, et ceux malgré les excentricités de ces personnages tous un peu fucked up, pas seulement le duo central bipolaire/veuve, mais aussi le daron superstitieux, le pote marié sous pression, l'autre pote évadé de l'asile, etc.

Une fois de plus, Russell s'intéresse à une petite famille, et parvient à éviter plusieurs nœuds attendus (pas de gros conflit à résoudre entre le père et le fils) et même à jouer avec les codes (l'inévitable "mensonge" qui va désunir le couple à la fin du 2e acte et avant la réunion du climax) pour transcender le genre avec sa sensibilité indé qui apporte une véracité salutaire (ça va de l'écriture donc, avec aussi un langage cru, à la mise en scène, caméra porté, montage super nerveux, qui vont se calmer peu à peu au fur et à mesure que l'esprit de Pat s'apaise).

Excellentes performances de tout le monde sinon, du tandem principal vulnérable, campé par un Cooper tout speedé et une Lawrence sexe et craquante, en passant par un De Niro qui n'a pas été aussi émouvant depuis...et même un Chris Tucker inespéré.

Je regrette toutefois que le 3e acte soit davantage sur des rails et que des longueurs commencent à apparaître après la scène du stade.
Mais sinon, la thérapie a marché sur moi. Y a des tas de bonnes petites choses (la chanson, les séances de jogging, les regards de la mère).

4,5/6

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MessagePosté: 31 Jan 2013, 08:57 
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La bonne surprise, sortie de nulle part. En tout cas pour moi, au départ. Un pote m'y a emmené, l'horrible titre version française me donnait des boutons, j'avais vu un bout de bande-annonce qui me faisait craindre le pire, je ne connaissais pas la réputation qui le précédait et les nominations aux Oscars... Maintenant que je sais que c'est le mec qui a fait The Fighter, et que cette superbe actrice qui joue Tiffany n'est autre que la bombe qui crevait déjà l'écran dans Hunger Games, je comprends beaucoup mieux.

SPOILERS

Pourtant c'était loin d'être gagné me concernant après 10 minutes de film. J'ai eu du mal à rentrer dans ce ton décalé qui m'a d'abord fait penser à tous ces feel-good movies artificiels qui versent dans le sordide une fois que l'on gratte le vernis d'enjouement et d'excitation constants qu'on veut nous faire admirer. Mais le basculement du film dans la comédie romantique après un quart d'heure de film est salutaire: le voici, cet alter ego féminin qui donne sens au personnage et au jeu de Bradley Cooper, qui tout seul, je trouve, est mauvais. Ce n'est que quand Jennifer Lawrence apparaît à l'écran qu'une alchimie se crée, et pour cause. Tout d'un coup, Cooper est moins agaçant, il devient même bon et attachant.

Et à partir de là, les personnages se développent d'eux-mêmes. En premier lieu, ce duo de cinglés qui s'entraide, doutant en permanence de sa capacité à se faire couple. Le film procède ensuite par cercles concentriques: le père loser superstitieux, le frère winner bourrin, la mère et son regard intense qui n'a pas l'air de comprendre grand chose, le pote de l'asile qui fait régulièrement irruption dans le scénario comme l'élément qui, par la grâce de failles administratives revenant à des actes manqués, vient se rappeler au bon souvenir de la société, le psy supporter et son obsession pour une "stratégie" qui ne mènera jamais à rien... Mine de rien, avec humilité et élégance, Russell compose à travers cette galerie de personnages tous un peu fous un tableau beau car foisonnant et diversifié de la folie, concept en apparence simple mais qui questionne toujours la frontière entre aliénation et humanité. Ici, les personnages sont tous un peu dangereux pour eux-mêmes et pour les autres, mais ils le sont avant tout parce que les rouages qui sont censés les assembler ne fonctionnent pas, ces rouages qui sont avant tout psychologiques et sociétaux, de tolérance, d'acceptation de la différence, de prise de conscience justement que la folie est partout et qu'il ne faut pas forcément s'en inquiéter.

Une fois que chaque personnage a trouvé comment s'assembler avec les autres, comment trouver sa place, une fois qu'il a compris que la folie de l'autre n'est là que pour refléter et donc apaiser la sienne propre, la folie devient fantaisie, créativité - cette danse décousue, sublimement filmée par Russel qui décidément, après les combats de The Fighter, réussit ses morceaux de bravoure - et harmonie, qui l'eut cru. Une simple ligne de dialogue, celle où Tiffany raconte l'envie contre son gré à elle d'avoir un enfant, et la simple scorie qui l'accompagne - "mais je ne me sens pas bien avec moi-même, et je n'ai pas envie d'avoir un enfant, qu'y a-t-il de mal à ça" (discours assez couillu dans une société où il est obligatoire d'avoir un enfant même si l'on est malheureux) - exemplifie bien parmi des dizaines d'autres cette grande intelligence qui traverse le film sans jamais l'alourdir. On est aussi content lorsque des événements du scénario évitent habilement certains pièges, certains clichés nés d'apparences trompeuses: Pat n'en veut pas à Tiffany d'avoir écrit une fausse lettre comme pouvait au départ le suggérer le plan rapproché; le film, par une ellipse là encore élégante, suggère ce qui devrait être: les petits mensonges peuvent parfois révéler la vérité, dévoiler les intentions et les logiques qui sous-tendent les rapports sociaux.

Sur le moment, la scène qui aboutit à la conclusion du parlay paraît longue et inutile, l'un de ces défauts de rythme que je m'apprêtais à déplorer ici-même, pour continuer dans mon obsession récente... Certes étirée, cette scène n'en est pas moins, avec le recul, importante, voire clé: c'est là où l'harmonie du couple fou se répand dans une collectivité qui jusque-là, était sacrément paumée.

5/6


Dernière édition par Baptiste le 31 Jan 2013, 09:09, édité 2 fois.

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MessagePosté: 31 Jan 2013, 09:04 
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Ok d'un côté je suis con d'aller lire les avis de Baptiste alors que je sais qu'il en a rien à foutre de spoiler.


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MessagePosté: 31 Jan 2013, 09:06 
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Oh là... Sorry. (Mais je te rassure, rien d'essentiel pour apprécier le film, c'est justement pas un film de scénario; ça veut pas dire que c'est attendu et prévisible mais que le film ne fonctionne pas par twists ou par effet de surprise.)


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MessagePosté: 31 Jan 2013, 12:08 
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Baptiste a écrit:
Une simple ligne de dialogue, celle où Tiffany raconte l'envie contre son gré à elle d'avoir un enfant, et la simple scorie qui l'accompagne - "mais je ne me sens pas bien avec moi-même, et je n'ai pas envie d'avoir un enfant, qu'y a-t-il de mal à ça" (discours assez couillu dans une société où il est obligatoire d'avoir un enfant même si l'on est malheureux)

C'est pas exactement ce qu'elle dit, elle dit un truc du genre "j'arrive déjà pas à m'occuper de moi-même alors un enfant...".

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MessagePosté: 31 Jan 2013, 12:17 
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Film Freak a écrit:
Baptiste a écrit:
Une simple ligne de dialogue, celle où Tiffany raconte l'envie contre son gré à elle d'avoir un enfant, et la simple scorie qui l'accompagne - "mais je ne me sens pas bien avec moi-même, et je n'ai pas envie d'avoir un enfant, qu'y a-t-il de mal à ça" (discours assez couillu dans une société où il est obligatoire d'avoir un enfant même si l'on est malheureux)

C'est pas exactement ce qu'elle dit, elle dit un truc du genre "j'arrive déjà pas à m'occuper de moi-même alors un enfant...".


Oui ça rentre quand même dans ce que je dis.


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MessagePosté: 31 Jan 2013, 12:31 
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Bah c'est pas "je veux pas d'enfant", c'est plutôt "je suis pas encore prête".
Ca rentre pas dans une question d'obligation à avoir un enfant. Surtout que si le perso a le même âge que l'actrice, elle n'a que 21 ans...donc c'est "normal".

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