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MessagePosté: 13 Mai 2008, 14:39 
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skip mccoy a écrit:
allons bon, il est désormais de bon ton de préférer Peur sur la ville a Dirty Harry et de s'en vanter ?


Très agréable cette pointe de condescendance... Tu fais quoi quand tu croises un daltonien, tu lui tires une balle derrière la tête ?


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MessagePosté: 13 Mai 2008, 14:42 
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skip mccoy a écrit:
et moi je prefere Taxi a l'Arme fatale.


Si tu penses que Gérard Pirès est à Henri Verneuil, ce que Richard Donner est à Don Siegel, ça te regarde... mais c'est tout faux...

Sérieusement, j'ai de l'estime pour Verneuil, même s'il a toujours lorgné de trop vers le cinéma américain et eu son côté copiste, avec bien moins de talent et de personnalité que Melville. De l'autre côté, on a un Siegel qui a du métier, mais aucun génie non plus. Les films sont comparables, très simplement...


moi aussi j'ai de l'estime pour Verneuil et j'aime bien Peur sur la ville.
mais Dirty Harry quoi...c'est un personnage tellement plus intéressant que le flic joue par Belmondo qui se contente d'être sympa. et le film de Siegel contient une réflexion sur l'ordre, la loi et la morale que n'a pas le film de Verneuil, bien plus superficiel.

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MessagePosté: 13 Mai 2008, 14:44 
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skip mccoy a écrit:
allons bon, il est désormais de bon ton de préférer Peur sur la ville a Dirty Harry et de s'en vanter ?


Très agréable cette pointe de condescendance... Tu fais quoi quand tu croises un daltonien, tu lui tires une balle derrière la tête ?


non je l'envoie en camp de rééducation pour lui apprendre le bon goût, cher a Jericho Cane.

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MessagePosté: 13 Mai 2008, 15:33 
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skip mccoy a écrit:
moi aussi j'ai de l'estime pour Verneuil et j'aime bien Peur sur la ville.
mais Dirty Harry quoi...c'est un personnage tellement plus intéressant que le flic joue par Belmondo qui se contente d'être sympa. et le film de Siegel contient une réflexion sur l'ordre, la loi et la morale que n'a pas le film de Verneuil, bien plus superficiel.


Alors oui et non. C'est justement pour ça que je tenais à me revoir les 5 films. Je suis d'accord sur le côté parfaitement insipide du personnage de Belmondo et tout ce que tu reproches au Verneuil. En réalité, je comparais davantage les tueurs en série (Minos est meilleur que Scorpio - toi aussi ne dépasse pas deux syllabes pour ton tueur fictif) et la BO de Morricone qui vaut bien celle de Schifrin.

Ensuite, je trouve que tout ce que l'on prête au personnage de Dirty Harry, à sa morale etc. n'est pas contenue dans ce premier volet, mais s'est surtout révélée à postériori. Le personnage est anar, violent, insensible, solitaire, veuf. Y a pas de réflexion du tout, y a rien de subversif, il est comme ça, le film se passe, Scorpio se fait choper et hop, fin du film. C'est un petit film policier carré. Sauf que Clint est à cette époque la star mondiale la plus sexy de la planète, et que le buzz autour du tueur du Zodiac attire les foules... Le succès de la franchise n'est pas encore sur le fond... et la vague de films fachos n'a pas encore déferlé (le Bronson ira bien plus loin, et sentira bien plus mauvais).

Non, à la limite, on peut considérer qu'il y a une incitation à la vengeance personnelle lorsque Scorpio est relâché par les autorités pour vice de forme... mais le tueur est tellement ridicule, le trait tellement grossier, que bon... c'est pas très violent et surtout très conformiste. Harry Callahan est alors aussi rebelle que Martin Riggs qui n'a pourtant jamais choqué personne, deux personnages qui se ressemblent beaucoup : veufs, excellents tireurs, font un carnage partout où ils passent, préfèrent travailler seuls plutôt qu'en équipe de deux...

La vraie réflexion dont tu parles autour du perso de Dirty Harry, elle arrive bien plus tard. Avec le 2nd volet écrit par Cimino-Milius les messages sont clairement anti-Vietnam : "nos responsables sont corrompus", "en s'acharnant à exercer la force, on finit par tuer des innocents", "même si les autorités en place vous semblent à 1 contre 5, un seul homme peut dire stop" etc. Y a tout un climat qui est dénoncé, et Harry devient un bon flic bien rangé des voitures en comparaison des autres flics qui se font justice eux-mêmes... On met bien l'accent sur la différence entre le policier et le soldat (le policier garde son esprit critique, possède son instinct, se doit de naviguer entre les ordres et au seuil de la loi). C'est la première fois que le personnage prêche quelque chose.

Le troisième ne dit rien du tout, et le quatrième réalisé par Eastwood émet une jolie réflexion - la première de la série - sur le caractère violent du personnage. Je n'ai pas encore revu le cinquième, mais de toute façon il date de 1988, dont c'est déjà beaucoup moins pertinent.

D'un pur point de vue spectacle et polar, je préfère le Verneuil. Mais Magnum Force est excellent et domine largement les autres polars de sa génération.


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MessagePosté: 13 Mai 2008, 16:06 
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la "réflexion" dans le film originel de Siegel est d'autant plus belle qu'elle est implicite. ce n'est pas un film "a message" comme le deuxième semble l'être (je ne l'ai vu qu'une fois et je ne me rappelais pas qu'il était aussi clairement anti-Vietnam), c'est un film a l'esprit série B, un petit polar carré comme tu dis, qui a travers les rapports de l'inspecteur Harry avec sa hiérarchie pose des questions sur l'éternel rapport entre la loi et la morale, sur la décadence d'une société qui protégerait plus les accuses que les citoyens. MAIS le film n'a rien a voir avec les Bronson parce que Dirty Harry est montré comme un personnage profondément sombre. Sa nature désabusée, mélancolique, anarchiste et vindicative remet en question la légitimité de ses actes les plus border-line. C'est donc la nature même du personnage de Harry (anar, violent, insensible, solitaire, veuf) qui nuance et donc enrichit le propos sécuritaire de l'intrigue.

Quand a la comparaison avec L'arme fatale, le personnage de Martin Riggs a un cote foufou qui a mon sens le distingue complètement de Harry.

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MessagePosté: 13 Mai 2008, 16:19 
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skip mccoy a écrit:
la "réflexion" dans le film originel de Siegel est d'autant plus belle qu'elle est implicite. ce n'est pas un film "a message" comme le deuxième semble l'être (je ne l'ai vu qu'une fois et je ne me rappelais qu'il était aussi clairement anti-Vietnam), c'est un film a l'esprit série B, un petit polar carré comme tu dis, qui a travers les rapports de l'inspecteur Harry avec sa hiérarchie pose des questions sur l'éternel rapport entre la loi et la morale, sur la décadence d'une société qui protégerait plus les accuses que les citoyens. MAIS le film n'a rien a voir avec les Bronson parce que Dirty Harry est montré comme un personnage profondément sombre. Sa nature désabusée, mélancolique, anarchiste et vindicative remet en question la légitimité de ses actes les plus border-line. C'est donc la nature même du personnage de Harry (anar, violent, insensible, solitaire, veuf) qui nuance et donc enrichit le propos sécuritaire de l'intrigue.


Oui, je suis d'accord en fait. Effectivement c'est implicite, le message est plus chevillé au corps du personnage que contenu dans le film, et ça prend forme à postériori aux yeux du spectateur. Le truc c'est que je ne pense pas que cette charge anar était volontaire. Et ce qui est encore plus étonnant, c'est que le personnage est plusieurs fois vidé de sa substance singulière par la suite, comme si ce premier film était accidentel (bref, on a l'impression que le personnage de Callahan est un produit à qui les scénaristes feront dire des choses différents, parfois même contradictoires). Finalement, c'est plus Clint Eastwood qui maintient l'unité de la franchise, plutôt que le personnage lui-même...

Citation:
Quand a la comparaison avec L'arme fatale, le personnage de Martin Riggs a un cote foufou qui a mon sens le distingue complètement de Harry.


Oui, mais je pense que Shane Black s'est inspiré de Dirty Harry, en lui ajoutant un côté suicidaire. C'est flagrant... C'est à partir du second volet seulement que Riggs est foufou et fait des blagues, et que ça tourne à la comédie (comme le premier 48 heures était plus un polar qu'une comédie)...

D'ailleurs dans la série de Donner, Riggs fait face à un suicidaire qui menace de sauter d'un toit, Riggs se menotte à lui et ils sautent tous les deux dans le vide... y a la même scène dans le premier Dirty Harry hein... Callahan monte sur une échelle de pompier pour arriver à hauteur du type, et lui explique qu'il n'en a rien à foutre qu'il saute ou pas, et qu'à la rigueur il préfèrerait qu'il saute... pour finalement l'attraper au risque de plonger tous les deux...


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MessagePosté: 13 Mai 2008, 16:26 
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skip mccoy a écrit:
la "réflexion" dans le film originel de Siegel est d'autant plus belle qu'elle est implicite. ce n'est pas un film "a message" comme le deuxième semble l'être (je ne l'ai vu qu'une fois et je ne me rappelais qu'il était aussi clairement anti-Vietnam), c'est un film a l'esprit série B, un petit polar carré comme tu dis, qui a travers les rapports de l'inspecteur Harry avec sa hiérarchie pose des questions sur l'éternel rapport entre la loi et la morale, sur la décadence d'une société qui protégerait plus les accuses que les citoyens. MAIS le film n'a rien a voir avec les Bronson parce que Dirty Harry est montré comme un personnage profondément sombre. Sa nature désabusée, mélancolique, anarchiste et vindicative remet en question la légitimité de ses actes les plus border-line. C'est donc la nature même du personnage de Harry (anar, violent, insensible, solitaire, veuf) qui nuance et donc enrichit le propos sécuritaire de l'intrigue.


Oui, je suis d'accord en fait. Effectivement c'est implicite, le message est plus chevillé au corps du personnage que contenu dans le film, et ça prend forme à postériori aux yeux du spectateur. Le truc c'est que je ne pense pas que cette charge anar était volontaire. Et ce qui est encore plus étonnant, c'est que le personnage est plusieurs fois vidé de sa substance singulière par la suite, comme si ce premier film était accidentel (bref, on a l'impression que le personnage de Callahan est un produit à qui les scénaristes feront dire des choses différents, parfois même contradictoires). Finalement, c'est plus Clint Eastwood qui maintient l'unité de la franchise, plutôt que le personnage lui-même...

Citation:
Quand a la comparaison avec L'arme fatale, le personnage de Martin Riggs a un cote foufou qui a mon sens le distingue complètement de Harry.


Oui, mais je pense que Shane Black s'est inspiré de Dirty Harry, en lui ajoutant un côté suicidaire. C'est flagrant... C'est à partir du second volet seulement que Riggs est foufou et fait des blagues, et que ça tourne à la comédie (comme le premier 48 heures était plus un polar qu'une comédie)...


tout a fait d'accord mais le cote suicidaire justement différencie pas mal Riggs de Callahan. ca en fait un personnage foncièrement instable, ce que n'est pas Harry.

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MessagePosté: 13 Mai 2008, 16:49 
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skip mccoy a écrit:
tout a fait d'accord mais le cote suicidaire justement différencie pas mal Riggs de Callahan. ca en fait un personnage foncièrement instable, ce que n'est pas Harry.


C'est même plutôt regrettable que Riggs ne soit plus du tout suicidaire dès le second volet. Mais l'évolution des personnages de la franchise de Donner est assez gerbante (particulièrement le 4, même si j'aime bien les volets 2 et 3 pour leur duo et le lot d'action). Jeffrey Boam dans le 2 avait tout de même tenté de conserver une vraie noirceur (la mort de Patsy Kensit quand même !) mais s'était senti obligé d'aller vers le divertissement mainstream et familial (comme il l'avait fait avec brio pour L'aventure intérieure ou Indiana Jones et la dernière croisade) avec par exemple l'apparition du personnage de Leo Getz joué par Joe Pesci.

Pour en revenir avec Callahan, et ce qui fait la force du personnage, c'est qu'il est droit et prévisible. Il a une éthique. Du coup quand Clint serre les dents, le spectateur éprouve un vrai plaisir à le voir foncer vers sa proie. Mais aujourd'hui c'est assez daté - au pire - ou ça fait très vieillle école, au mieux. Callahan n'est pas un personnage intelligent, il ne calcule pas, ne prend jamais de vitesse (le contraire d'un Jason Bourne aujourd'hui, bien plus à la mode). Il avance à son rythme, n'a que faire du pouvoir politique en place, n'a à aucun moment une vision d'ensemble pour relativiser, il se réfugie dans son instinct et fait des erreurs assez grossières. Tout le charme du personnage est là, mais c'est un charme désué et finalement très premier degré. Perso je ne le trouve pas très intéressant (d'autant plus que comme je l'ai déjà écrit, il est plusieurs fois utilisé n'importe comment et à toutes les sauces dans la franchise).


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MessagePosté: 13 Mai 2008, 16:51 
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skip mccoy a écrit:
tout a fait d'accord mais le cote suicidaire justement différencie pas mal Riggs de Callahan. ca en fait un personnage foncièrement instable, ce que n'est pas Harry.


C'est même plutôt regrettable que Riggs ne soit plus du tout suicidaire dès le second volet. Mais l'évolution des personnages de la franchise de Donner est assez gerbante (particulièrement le 4, même si j'aime bien les volets 2 et 3 pour leur duo et le lot d'action). Jeffrey Boam dans le 2 avait tout de même tenté de conserver une vraie noirceur (la mort de Patsy Kensit quand même !) mais s'était senti obligé d'aller vers le divertissement mainstream et familial (comme il l'avait fait avec brio pour L'aventure intérieure ou Indiana Jones et la dernière croisade) avec par exemple l'apparition du personnage de Leo Getz joué par Joe Pesci.

Pour en revenir avec Callahan, et ce qui fait la force du personnage, c'est qu'il est droit et prévisible. Il a une éthique. Du coup quand Clint serre les dents, le spectateur éprouve un vrai plaisir à le voir foncer vers sa proie. Mais aujourd'hui c'est assez daté - au pire - ou ça fait très vieillle école, au mieux. Callahan n'est pas un personnage intelligent, il ne calcule pas, ne prend jamais de vitesse (le contraire d'un Jason Bourne aujourd'hui, bien plus à la mode). Il avance à son rythme, n'a que faire du pouvoir politique en place, n'a à aucun moment une vision d'ensemble pour relativiser, il se réfugie dans son instinct et fait des erreurs assez grossières. Tout le charme du personnage est là, mais c'est un charme désué et finalement très premier degré. Perso je ne le trouve pas très intéressant (d'autant plus que comme je l'ai déjà écrit, il est plusieurs fois utilisé n'importe comment et à toutes les sauces dans la franchise).

perso entre Clint et Matt Damon, mon choix est vite fait.

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MessagePosté: 13 Mai 2008, 16:53 
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skip mccoy a écrit:
perso entre Clint et Matt Damon, mon choix est vite fait.


Entre Callahan et Bourne, je préfère le second. Mais entre le Clint de Leone et le Damon de Greengrass, je préfère le premier.


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