Forum de FilmDeCulte

Euh c'est quoi la modernité de l'humour ?

Tout ce qui n’est pas de l’ancien humour, simple.

Faire autre chose que des blagues basiques à base de sextoys peut-être ?

_________________
Netflix les gars, Netflix.

L'humour en l'occurrence c'est plutôt tout le principe de devoir faire un truc improbable pour déclencher le chemin vers un univers et donc un skill et l'escalade des trucs improbables en question avec comme apothéose le fait de voir carrément un mec se battre pour arriver à se foutre un truc dans le cul.

"Truc dans le cul" c'est basique mais le gag construit autour est sophistiqué.

_________________
UBERLINKS toujours dispo sur OCS et MyCanal!

J'ai pas du tout aimé ce film mais je ne comprends pas bien le rapport avec Bigard

Normal y'en a pas

Ok. Mais y'a encore un god dans la scène de baston dans le couloir (seule scène que j'ai trouvé correcte par ailleurs, avec des idées fraîches - l'explosion de confettis par exemple). Les mecs sortent les mêmes items tout le long du film, y'a pas d'invention fulgurante, tout est déjà vu et revu (pour répondre à Karloff).
Autre exemple : la baston de fin où elle recase les "méchants" dans leurs désirs émancipateurs. Sur le papier, ok aussi, mais alors c'est vulgaire et niais, avec la mise en scène lourdingue et peu inspirée qui va avec.

Séquence qui écrase n'importe quel passage de EEAO en humour absurde.

Oui, perso j'étais explosé de rire sur mon siège... C'est la surenchère assumée qui est hyper drôle, et un film "grand public" qui arrive à des situations absurdes l'air de rien.

Mmmm c'est pas grand public du tout hein.

_________________
Netflix les gars, Netflix.

C'est accessible par tous, de 12 à 100 ans. C'est Dr Strange 2 en plus inventif et incarné.

_________________
UBERLINKS toujours dispo sur OCS et MyCanal!

V’là le nivellement par le bas

Fais pas genre t'as pas compris. Salope.

_________________
UBERLINKS toujours dispo sur OCS et MyCanal!

Te serais-tu empêché de répondre ça à quelqu’un d’autre ? Non. Ici ça tire à balles réelles, on n’en perd pas une t’as vu.