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MessagePosté: 13 Fév 2011, 21:05 
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Inscription: 25 Nov 2005, 00:46
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Zad a écrit:
Art Core a écrit:
Ouais je me sens bien seul pour l'instant, j'espère que Zad ira le voir (et encore il serait capable de trouver ça bien !)


t'inquiètes, 0/6

Un 0/6 de Zad, c'est un peu comme si ton film était adoubé en fait.

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MessagePosté: 13 Fév 2011, 22:05 
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Inscription: 19 Juin 2007, 16:19
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Localisation: Lille
Bon moi j'ai adoré, je suis pas loin du 6/6.
C'est surtout la folie, l'ambiance malsaine du film qui m'a marqué. J'y connais pas grand chose en danse, cet univers ne m'a jamais parlé, et sous la caméra d'Aronofsky, j'ai trouvé les scènes de danse d'une grande force et d'une incroyable beauté.
Après le truc qui m'a vraiment marqué c'est le côté "gore", physique, du film. Je savais que les danseuses infligeaient des tortures à leur corps, et le film te fout ça en pleine gueule. Moi qui suis assez chochotte sur ce genre de trucs, ça m'a pesé pendant tout le film, rajoutant à la folie et à la pression qui augmente, jusqu'à l'apothéose de la fin.
Et au delà du côté "danse" (pas lu tout le fil encore mais ça a l'air de bien partir en couille encore), c'est un film très intelligent et très viscéral. Les effets bourrins d'Aronofsky marchent toujours aussi bien sur moi.

Donc faut laisser décanter et attendre une 2e vision, mais 2011 commence fort.

PS : Portman est géniale, mais pffoooooo Kunis, elle est juste incroyablement sexuée, c'est fou.

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MessagePosté: 14 Fév 2011, 08:47 
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Inscription: 30 Mar 2007, 08:23
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Art Core a écrit:
Possession meets Carrie meets La Pianiste meets Les Chaussons Rouges (et ce ne sont pas juste des influences mais des pans entiers de ces films qu'on retrouve là) mais tout en beaucoup moins bien, voir en nul.

Aronofsky oscille constamment entre drame psychologique pervers et film d'horreur bateau à base de trucs qui apparaissent par surprise. Il ne sait pas sur quel pied danser mais finit par tomber dans la facilité la plus totale à l'image du mixage du film d'une vulgarité effrayante avec ses effets sonores ringards pour faire sursauter et surtout ce petit rire sardonique extra diégétique que l'on entend constamment pour bien nous signifier que quelque chose ne va pas, que c'est pas normal. De ce point de vue là le film est franchement faible et grossier (d'autant que tout ces effets -absolument nuls - sont répétés en permanence). La musique est également trop omniprésente j'avais parfois l'impression qu'elle étouffait le film. La BO de Mansel est sans intérêt puisqu'elle se contente de singer Tchaïkovski. Tout le film comme ça est fait de clichés et de facilités. Et je ne parle pas de la scène de boîte avec de la drogue filmée en stroboscope - scène la plus galvaudée et clichée du monde.

Et puis il ne s'intéresse pas à son sujet. La danse on ne la voit presque pas, on ne ressent absolument pas l'évolution chorégraphique du personnage car il est incapable de la capter, une fois de plus il préfère la facilité et ne s'est clairement pas posé de question théorique sur la manière de filmer la danse. Il se contente de gros plans et de caméra portée à hauteur de buste (pour également des raisons techniques je pense, Portman n'étant pas une danseuse étoile, mais ça n'excuse pas tout).


Je suis assez d'accord : tout l'aspect "physique", les effets spéciaux et les gimmicks sonores sont non seulement archi-déjà vus (genre L'héroine se retourne et, oh ! tombe nez à nez sur une concurrente qu'elle n'avait pas entendu venir, oulala, j'ai eu peur !), mais surtout ça nuit complètement au propos du film, à la folie de l'héroïne, qui se retrouve stabylotée au bout d'un quart d'heure au lieu d'être un peu subtilement amenée. Et dès que la folie est là, présente dans toutes les scènes ou presque, il n'y a plus aucun suspense possible, chaque plan pouvant être contredit par le suivant. On prend ici doublement le spectateur pour un con : en lui balançant des frissons faciles à base d'arrachage d'ongles et en lui déversant sur la gueule des tonnes de signes de la folie de l'héroïne, des fois qu'il n'ait pas bien compris. J'ai souvent pensé à un projet de fin d'études d'école de cinéma tellement c'est lourdingue et m'as-tu-vu. C'est d'autant plus dommage que les acteurs sont bons (oui, même Cassel, plus crédible en anglais qu'à l'époque du "élo misteur Ocheune"), que les personnages, aussi caricaturaux soient-ils (mais c'est le thème du film qui veut ça), fonctionnent et qu'il y a quand même quelques belles scènes, comme la finale - par ailleurs la seule scène dansée filmée correctement.

1,5/6


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MessagePosté: 19 Fév 2011, 17:24 
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Inscription: 13 Nov 2010, 10:02
Messages: 311
Localisation: Hilldale
Alors moi j'ai trouvé ça génial. Ce film est à l'instar des Chaussons Rouges une immersion passionante dans le monde de la danse. J'ai vraiment adoré le côté ambiance noire et malsaine en opposition avec la personnalité touchante et envoutante de Nathalie Portman qui reflète bien la dualité entre le cygne noir et le cygne blanc. Par ailleurs, cette omniprésence de la confusion rêve/réalité apporte au film une dimension assez puissante. Nathalie Portman est vraiment bluffante et tient là un de ses plus beaux rôles, Milla Kunis m'a elle aussi agréablement surpris et Vincent Cassel est beaucoup plus supportable que je le pensait.
Je ne suis pas du tout spécialiste d'Aronofsky mais là j'avoue avoir pris ma première claque de 2011!

6/6 et l'oscar pour Nathalie Portman!

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MessagePosté: 05 Mar 2011, 17:00 
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tape dans ses mains sur La Compagnie créole
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Inscription: 28 Juil 2005, 10:08
Messages: 22338
Localisation: 26, Rue du Labrador, Bruxelles
J'espérais comme beaucoup de gens ici décocher mon premier 6/6 de l'année, et pour ça (c'est con hein) je ressens un peu de déception... Et pourtant, j'ai pris mon pied...
J'aime comment Aronofsky saute à pieds joints dans ces idées, parfois comme un gros bourrin (certians effets sonores nanardesques), mais qui paie cash un résultat qui secoue bien comme il faut.
Certains reprochant la simplicité du film, que c'est de la psychologie pour les nuls, mais perso j'ai aodré qu'il ne s'agisse que de ça en fait: une gonz, trop couvée par une mère castratrice, est obsédée par la perfection, INCARNE son obsession jusque dans sa chair... Et tous les trips des reflets (les innombrables miroirs/reflets dans le film...), hallucinations, etc, ne sont qu'exorcisations de son mental, meutri par trop de pression: obsession, jalousie, peur de décevoir, frustration... Trop pour une jeune fille frèle et timide. Portman endosse à merveille toutes les facettes de ce magnifique rôle. Son Oscar est une évidence - et puis ça fait tellement plaisir pour elle.
En cela, je trouve la mise en scène admirable - par ailleurs techniquement époustouflante, qui ne choisit jamais son camp entre réalité et hallucinations, ou qui justement, joue sur les deux tableaux simultanément.
J'ai par moments ressenti quelque facilité ou redondance, mais de bout à bout j'ai trouvé ça prenant, jouissif, et touchant... La dernière réplique tue. Les 20 dernières minutes (la soir de représentation), avec cette musique tonitruante, je tremblais littéralement de tous mes membres, les muscles tendus et les mains moites.

Enfin voilà, c'était bien cool. Je devrais le revoir plus à l'aise (sans la pression de tout le monde qui dit que ça tue), mais en l'état c'est ma séance le plus jouissive de l'année pour l'instant.

5/6

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"


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MessagePosté: 20 Mar 2011, 23:08 
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Inscription: 18 Aoû 2005, 23:40
Messages: 19416
Localisation: Rebirth Island
Petit spoilers :

Bouef. Je trouve pas ça mauvais, mais ça me parle pas. Une gamine qui se monte la tête tout seule comme une pisseuse, ça m'intéresse pas. Pendant tout le film j'ai envie de secouer Portman et de lui crier "MAIS VAZY PUTAIN LACHE TOI SUCE DES QUEUES DANS TON COIN ET VIENS PAS NOUS FAIRE UN FILM LA DESSUS MERDE !!!". Connasse.

Même en essayant d'être objectif, je m'empêche pas de trouver de gros défauts au film. L'usage à répétition d'effets de sursauts tout pourris avec le gros BOINNNG qui va bien, j'ai trouvé ça d'un ringard ! La palme revient à l'apparition surprise de Beth. Et puis tous les persos sans exception sont des freaks. Je trouve l'appart de Portman trop gratiné pour être vrai. Ça doit surement exister, mais je trouve ça trop bourrin dans le caractérisation.

On voit très vite que tout le film repose uniquement sur le parallèle vie de l'héroine/histoire du ballet et ne va pas plus loin. J'avais trouvé ce genre de délire beaucoup mieux traité dans incassable par exemple.

Finalement, j'ai été surpris de ne vraiment aimer que l'aspect danse du film. Chaque scène de danse tue, et j'adore les petits trucs qu'on te montre sur l'envers du décor. Tout le tunning de godasses, c'est sympa à voir.
2/6


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MessagePosté: 08 Avr 2011, 19:07 
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Vaut mieux l'avoir en journal
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Inscription: 04 Juil 2005, 15:21
Messages: 22402
Localisation: Paris
Film magnifique, en dépit d'un procédé un peu répétitif (les miroirs, les transformations, les halucinations...). 5.5/6

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Anthony Sitruk - Bien sûr, nous eûmes des orages
(168 pages, 14.00€)
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MessagePosté: 10 Mai 2011, 00:22 
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Inscription: 13 Mai 2010, 11:50
Messages: 11666
Dans la série j'arrive après la pluie...

Ben j'ai plutôt bien aimé moi. Je trouve que ça fait finalement la synthèse idéale des tendances qui trifouillent le ciné d'Aronosky (pas vu Pi, mais le reste). C'est d'ailleurs assez touchant de voir combien le combat que mène l'héroïne peut finalement parler de ce cinéaste coincé entre l'obsession maniaque d'un contrôle rigide, cadre et montages hyper précis, et la tendance Wrestler, sale, libre et plus sauvage. En tout cas, au-delà de ce que je peux apprécier ou pas de ce style-synthèse, il m'apparaît avec assez d'évidence comme un achèvement, un mariage enfin réussi qui lui donne pleine possession de ses moyens : le premier plan séquence, à absolument tous les niveaux, ça m'a cloué. Ça fait longtemps que j'avais pas vu un plan aussi abouti et fort, sans pour autant une seconde sentir le control-freakisme.

Il y a un concept fort et précis, formellement, ce que j'aime toujours bien : un trio paradoxal et réussi entre la tendance glauque (image-brute-squelettisme) / le lyrisme immaculé du ballet (côté mélo pur) / et le gore-fantastique (le coffre au trésor visuel). Le film, après, est pas transcendant : il ne fait pas forcément grand chose pour dépasser ce qu'on attend avec tellement d'évidence de ce type d'œuvre (que ce soit le méli-mélo psychologique, les hallucinations...). Vincent Cassel, que d'habitude j'aime pas du tout en plus, transcende un peu ce matériau là en apportant une bienveillance ambiguë dans son personnage, mais le reste me surprend peu. Par contre, le plaisir d'Aronofsky est communicatif : tu sens qu'il veut se faire plaisir à chaque scène, qu'il ne veut pas se payer une seule séquence utilitaire où il s'ennuierait. Cette approche joueuse et colorée, comme une constante invitation à s'émerveiller, est super plaisante. Mais la grandeur des propositions suit pas toujours : tout ce qui touche au son ou aux SFX, par exemple (les dessins, c'est le pire je crois), frise souvent le vulgaire.

Bon film, le tour de force fait plaisir (malgré tous les petits défauts, le final est tellement enthousiasmé qu'on peut que rentrer dans le trip), mais ce n'est pas le film absolument génial qu'on m'avait vendu, je trouve... Je suis vachement surpris du succès populaire, au passage.

Et maintenant je vais me taper les 36 pages de topic, les 1500 critiques, etc.


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MessagePosté: 22 Juil 2011, 22:04 
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L'impertinent pertinent
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Inscription: 14 Juil 2005, 01:55
Messages: 11376
Localisation: Previously on Premiere
Z a écrit:
SPOILERS PARTOUT

Difficile de mettre de cote les nombreuses influences qui noient parfois le film : Polanski avec Le Locataire (le double malefique), Repulsion ou Rosemary's Baby (la psychose en subjectif) - Cronenberg avec La Mouche (metamorphose kafkaienne du corps) - De Palma avec Carrie (mere castratrice, decouverte d'une sexualite envahissante) - Powell & Pressburger avec Les Chaussons Rouges (la danse) et une bonne dose de renvois a sa propre filmo avec Pi et Requiem for a dream (cette facon de prendre appui sur son personnage pour ancrer ses cadres, les garder en point pivot).

Pourtant, Aronofsky commence une premiere demie-heure envoutante, sans tomber dans la facilite scenaristique ou dans une mise en images boursouflee. Le recit convoque tres tot le double, la psychose ne fait tres vite plus aucun doute, et la seule question devient rapidement : "jusqu'ou ira-t-elle ?" (la reponse est malheureusement donnee trop vite dans la boite, lorsqu'elle enonce le pitch du Tchaikovsky, et la chute). Il abandonne egalement le grand angle de ses deux premiers films, grossier et trop clippesque pour le sujet, au profit d'une courte focale plus seyante. Il s'accroche a son personnage de belle maniere sans singer l'approche flottante de Mann sur The Insider : ses allers-retous dans les couloirs sombres de l'appartement sont formidables de densite, tout aussi scotchants visuellement que les tribulations glauques de Jennifer Connelly dans Requiem, et pourtant moins obsequieux dans la recherche de l'effet choc.

Ma deception pointe son nez des que l'originalite du film (une fable horrifique), de l'ambiance (la profusion des reflets), du personnage principal (une nouvelle Carrie perdue dans le flot d'alter-ego), de l'univers (la sourde competition entre les danseuses) s'estompe progressivement au profit d'effets plus faciles (les visages du double en surimpression partout) et parfois totalement indignes (apparitions visuelles ou sonores qui singent les films Dark Castle facon Gothika). C'est dommage, et ce n'est meme pas tant redhibitoire, tant le film tient bon sur ses principes et l'intensite de son univers, construits des l'ouverture fievreuse du film. Je n'ai jamais ete fan de la psychose revelee au spectateur par le prisme de la mise en images (qu'il soit merveilleux facon Del Toro, Gilliam ou Burton), et je regrette ici aussi son recours trop abondant. Mais Aronofsky transcende trop souvent ce parti pris pour le condamner sur ses choix primaires, et porte une foi extraordinaire en sa mise en scene et le destin tragique et ineluctable de sa protegee.

Mais viennent compenser ces semi-echecs (ou semi-reussites) le jeu des comediens, parfaitement en place, et un lot de scenes memorables, meme si parfois inexploitees : toutes les sequences de danse, impeccables... la scene de branlette avec la revelation finale totalement castratrice... les sequences jouant sur les reflets infideles... les relations Kunis-Portman & Portman-Cassel... l'univers de l'appartement (croisement ideal entre l'aspect sombre des apparts des James Gray, melange au realisme de celui de L'Exorciste et au gothique baroque de la maison de Carrie).

Un solide 4/6, qui peut monter en fonction de la digestion des references, prestigieuses, trop nombreuses et peut-etre trop evidentes.

PS : je n'ai pas vu The Fountain ni The Wrestler, donc je passe directement de Requiem a celui-ci, sans pouvoir juger avec precision de la graduation operee dans sa mise en scene


Excellente revision, hyper bénéfique au film, qui s'impose à ses multiples (et probables) références.

Le film est tendu, toujours juste, extrêmement bien vu tout du long. On devine toujours aussi vite la réciprocité, la parfaite symétrie du ballet et du destin de Nina, mais cette fois je l'ai vécu plus intensément qu'au cinéma, moins gêné peut-être par les effets (dont j'avais un souvenir plus grossier), et gagné par l'absence d'un public manifestant sa surprise ou sa perplexité.

5/6

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MessagePosté: 17 Avr 2014, 18:19 
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Inscription: 26 Juil 2009, 19:29
Messages: 1083
Je ferai pas mieux que Sponge pour décrire mon propre ressenti du film :

sponge a écrit:
C'est surtout la folie, l'ambiance malsaine du film qui m'a marqué. J'y connais pas grand chose en danse, cet univers ne m'a jamais parlé, et sous la caméra d'Aronofsky, j'ai trouvé les scènes de danse d'une grande force et d'une incroyable beauté.
Après le truc qui m'a vraiment marqué c'est le côté "gore", physique, du film. Je savais que les danseuses infligeaient des tortures à leur corps, et le film te fout ça en pleine gueule. Moi qui suis assez chochotte sur ce genre de trucs, ça m'a pesé pendant tout le film, rajoutant à la folie et à la pression qui augmente, jusqu'à l'apothéose de la fin.
Et au delà du côté "danse", c'est un film très intelligent et très viscéral. Les effets bourrins d'Aronofsky marchent bien.

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"Le cinéma, c'est le sang, les larmes, la violence, la haine, la mort et l'amour"
Douglas Sirk


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