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MessagePosté: 03 Juil 2009, 14:12 
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Ah ouais... c'est encore pire que ce que je pensais.

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MessagePosté: 03 Juil 2009, 15:16 
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Matou miteux
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Noony a écrit:
C'est quand même très étonnant.

Parce que Versailles Rive gauche, c'est super sympa, Versailles Chantiers c'est absolument mythique et les autres films du réal sont des "vrais" trucs. Là...


Je ne les ai pas vus, j'en penserais peut-être la même chose. Mais j'ai des doutes.

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MessagePosté: 03 Juil 2009, 15:29 
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Antichrist
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vous bluffez ! Vous avez revu Tricheuses !


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MessagePosté: 13 Juil 2009, 23:59 
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Ouf...

Bon c'est pas la catastrophe crainte et annoncée...même si l'objet reste moyen, super inégal.

En fait, j'ai quand même du mal à comprendre la démarche de Podalydès sur ce 3e chapitre de la trilogie versaillaise, finalement assez différent des deux précédents.
On retrouve cette capacité à cerner le tout et le rien et les embarras du quotidien de sa petite ville mais en ne s'attachant plus à un protagoniste principal, le film perd son cap.

La première fois, c'était un essai de 45 minutes, un rapide épisode, juste, touchant.
Le deuxième, c'était un long métrage trois fois plus long et même une oeuvre de six heures, s'attardant sur son personnage pour illustrer in extenso le parcours, avec la même justesse, et plus encore de pesanteur émotionnelle.
Ici, 1h55 avec un nombre incroyable de rôles parlants curieusement découpée en trois parties distinctes superficiellement liées, façon film choral mais à peine assumé.
Le film n'embrasse pas ce genre d'ailleurs, point de concordance importante ou de deus ex machina intempestifs mais une volonté de faire vivre l'histoire au travers donc de ces échanges anodins au bureau, dans un square, ou dans un magasin...

Je saisis alors le choix de caster des acteurs connus pour la moindre silhouette, comme pour symboliser le fait que chaque individu, même furtivement montré, est le héros de son propre film. Et ainsi le film de se découper en multiples cellules alvéolaires (exemple probant : le palier avec chaque habitant qui ouvre la pôrte et sort la tête pour y aller de son bon mot) pour dessiner un tout articulé autour des mêmes thématiques qu'auparavant, notamment les déboires sentimentaux d'homme(s) - ou femmes - seul(es).

Malheureusement, outre l'incapacité à assurer tout le temps - parce qu'il y a quand même des blagues qui tombent cruellement à plat (cf. la scène d'Arditi) notamment dans la fin du dernier segment, le parti-pris scénaristique empêche toute réelle implication...là où on était à fond avec Denis dans Versailles-Rive Gauche et Versailles-Chantiers, cette fois il est difficile de se raccrocher à quelqu'un.

Alors y a de très bonnes choses, surtout si on aime l'humour du bonhomme (les références à Tintin, à la BD, au cartoon, l'humour des noms de babioles, les calembours foireux, etc.), même quand c'est dispensable (la scène Garcia/Elbaz par exemple) ou trop cartoonesque (Grospresso & les piles, c'est bien mais loin du réalisme plus résonnant des deux précédents), mais avec un rythme inexistant et trop d'égarement humoristiques, c'est trop volatile.
Ce film c'est pas un long métrage avec une histoire, un fil narratif, c'est une succession de vignettes, de courts métrages, et pas tous aussi bons les uns que les autres, et qui va un peu nulle part (Podalydès a déjà traité des mêmes choses en plus abouti).

Ca devait être film-somme, ça fait premier film.

3/6

PS : et pour ce qui est de la réplique sur "l'amour/la guerre/décombres/etc" ou de Lou Bega, c'est quand même clairement du second degré...le premier est une tirade d'une nana qui se fait larguer et draguer par un guignolo et le second se moque justement du genre de morceaux faussement festifs qu'on peut entendre dans un bureau coincé...y a qu'à voir le reste de la BO, qui va de Brassens à Blondie et qui ne se termine pas sur Lou Bega, mais sur Donovan.

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MessagePosté: 14 Juil 2009, 00:02 
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Karloff a écrit:
vous bluffez ! Vous avez revu Tricheuses !


Je pense sincèrement !

Bon j'ai l'impression que nos deux amis sont 1. soit passés totalement à coté 2. pas du tout sensibles à l'univers des frères P. Je penche évidemment pour la deuxième solution. Le film est dans la totale lignée, au niveau de l'univers et de l'humour, des deux précédents de la trilogie des gares versaillaises. Les vannes pourries de Bruno, les losers que sont Brouté ou Denis P, les références à Tintin et surtout un certain sens du décalage et du second degré. Toute la tirade fustigée plus haut d'Isabelle Candelier, je ne comprends même pas comment on peut prendre ça au premier degré. J'hallucine de voir que vous citez Caméra Café ou 1 Gars 1 Fille comme référence alors que c'est beaucoup plus fin que ça. Quand Candelier parle de la guerre, c'est tout de suite désamorcé par la mise en scène avec le petit bateau de guerre qui sort très vite du cadre et qui envoie un pauvre bruit de klaxon bien pourri !

Après, c'est incroyablement plus faible que Versailles Chantiers, qui reste un sommet dans le genre. Là, c'est au niveau de la construction qui ça pêche évidemment. Les 3 sketchs empêchent tout attachement aux personnages là ou Chantiers parvenait, avec le même genre de galerie à la ramasse, d'être totalement à fond (ça ressemble à trois Versailles Rive gauche mis bout à bout, la verve en moins). Là, y'a pas d'équivalent à Anna Festival. Ca fait plaisir de revoir toute la petite bande mais c'est à des lieux de ce qu'il a pu montrer avant. Là, Vuillermoz n'est marrant que par mini touche (son fond d'écran!), Candelier n'est pas vraiment touchante, Brouté ne fait que passer etc. Les sketchs en question sont super inégaux, avec un carton bien jaune au troisième qui s'essouffle violemment sur la fin.

Le défilé de star ne sert à rien et le film n'est jamais aussi que quand ce sont des nouvelles gueules ou des habitués peu connus qui débarquent. Les Lhermitte, Balasko, Inconnus etc. on en a rien à secouer. Je sais pas ce qui s'est passé au niveau de l'écriture du scénario mais y'a eu un souci à un moment.

A noter que l'éjaculateur précoce de Meetic au début, c'est Grégoire Sorlat, le producteur du film. Crédité en Rocco Sorlati à la fin.

Il est comme ça Grégoire.


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MessagePosté: 14 Juil 2009, 11:23 
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Matou miteux
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Localisation: From a little shell, at the bottom of the sea
Je ne dois effectivement pas y être sensible car ces scènes, même au 100e degré, je les trouve consternantes. L'utilisation de Lou Bega, même avec de l'ironie, j'ai l'impression d'être dans un spot de la Maaf ou un épisode de Palace (bon c'est la même chose), je place pas ça au-dessus en terme d'humour.

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MessagePosté: 14 Juil 2009, 12:09 
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Les trois séquences qui constituent le film de Podalydès pourraient être notés séparément, ce serait plus facile.

Le premier, au bureau, récolterait un petit 3.5/6, avec un bonus pour certaines tirades marrantes, le look de Vuillermoz et la Grosspresso, entre autres, et un gros malus pour Arditi ou les voisins de paliers de l'homme seul. En même temps, c'est plus la façon dont c'est fait que les intentions parce qu'en faisant claquer la porte à Micheline en mode "putain, je dis n'importe quoi", c'est amusant, et ça annonce le second degré. Mais les acteurs n'y sont pas à l'aise. Et ça aussi ça annonce la couleur, on sent que certains acteurs qui n'y arrive pas, peut-être mal desservis.

Le second creuse le même sillon, mais en aggravant le cas du film, un affreux 2/6. Serge Gainsbourg est déjà bourré, mais le fait bien. Aumont et Rich, c'est sympathique mais peu exploité, Garcia et Elbaz, c'est affreux, et Candelier n'a pas de chance. Même si c'est du second degré, c'est comme les voisins de palier, ça passe pas c'est lourd, ça joue pas assez le clin d'œil...

Le troisième réhausse le niveau. Bruno et Denis sont là, Gourmet est là (putain d'acteur), et le magasin de bricolage est un lieu magique pour filmer leurs conneries. Littéralement mort de rire par moment (surtout le retour de l'objet clé de Liberté Oléron), un bon 5/6 à ce segment. Si Deneuve n'y est pas, Chiara Mastroianni, Benoit Poelvoorde et autres sont là pour réhausser le niveau et les petits détails qui parsèment le magasin m'éclatent vraiment (les affiches du grand bleu collés les unes sur les autres dans l'espace détente, les vidéos de bricolage).

Et donc c'est dommage. D'une, c'est pas le cauchemar annoncé ici et dans les BA et dans la presse supra mitigé. De l'autre c'est clairement pas du niveau des précédentes oeuvres du bonhomme (en fait, si, Le parfum de la dame en noir, c'est de ce niveau, mes craintes allaient dans ce sens).
Gachis à moitié. Projet qui ne tenait pas sur lui-même, surtout, trois idées pour un faux film chorale qui n'a pas de vrai sens, mais dont il demeure des moments excellents.

3.5/6


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MessagePosté: 03 Aoû 2009, 17:51 
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jiko, ton avis.

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MessagePosté: 06 Aoû 2009, 14:47 
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Localisation: Jupiter
J'enfonce le clou des plus consternés (ou de ceux qui sont passés à côté, peut être), mais vraiment je n'avais pas eu le sentiment de voir un navet plus total depuis longtemps...
Les trois parties m'ont semblé toutes plus interminables les unes que les autres, la palme revenant peut être à celle du magasin. Dans les scènes de bureau ou du parc, j'ai eu souvent le sentiment d'assister à défilé de stars venues pour beaucoup mal servir une succession de scenettes/sketchs déjà pas très enthousiasmants (oui, j'ai aussi pensé à caméra café, mais franchement en pire...). Pourtant je crois que c'est la virée burlesque dans le magasin de bricolage qui m'a vraiment achevé. J'ai dû m'enfoncer petit à petit dans mon siège en me disant "c'est pas vrai...c'est pas vrai"...
Bref, j'en suis sorti vidé, abruti, sans avoir décroché le moindre sourire ni avoir pu me rattacher à un semblant de cohérence ou de volonté dans le propos.
Un gros 0/6

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MessagePosté: 21 Aoû 2009, 18:52 
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Film Freak a écrit:
jiko, ton avis.


Oui après la bataille un peu mais bon.
A la base j’avais un peu peur, détestant les films choral et les castings surpeuplés. Mais en fait c’est pas vraiment un film choral, peu de lien entre les évènements et les individus et les scènes sont tellement petites, les partitions tellement courtes que le film ne semble vouloir rien raconter (en fait la structure de scènes mises bout à bout m’a plutôt fait penser aux films ZAZ, même si ça n’a rien à voir). On passe d’une chose à l’autre avec une inconséquence étonnante, et la succession de têtes connues en rajoute dans le côté superficiel des personnages (c’est surtout les acteurs que l’on voit). L’avantage c’est que les scènes ratées passent vite (Arditi ou la scène sur les paliers, affreuse) et que par ailleurs le film ne cherche jamais le tour de force, très humble finalement, jouant principalement sur une ambiance légère, quelque chose de volatile (belle scène des feuilles qui s’envolent dans le parc).
En fait je me dis que le film ne ressemble à aucun autre, peut être à un Blier mais sans l’esprit absurde/gros lourd, peu de bons mots aussi, vraiment rien pour forcer la note. Disons que ce film c’est un sentiment, quelque chose de doux amer, de tendre aussi, un film de mi-saison, flâneur, qui tient à peu de chose et ne bande jamais ses muscles.
J’aime bien sa folie douce, et son profil bas inattendu. Il y a quelque chose d’un peu triste aussi.

J’ai repensé à un passage d’un bouquin de Denis Podalides qui disait qu’une des raisons pour lesquelles il était acteur, c’était pour être dirigé par son frère, pour lui plaire et continuer leurs jeux d’enfance. Et l’aveu aussi de cette angoisse de découvrir que ce frère était aussi un bon acteur, qu’il sentait que bientôt il n’aurait plus besoin de lui.
C’est peut être ce qui se passe dans ce film, Bruno fini sa trilogie où son frère tenait le centre, mais dans ce film le centre a disparu, Denis est presque perdu au milieu des autres personnages, et ne devient principal qu’in-extremis, comme pour se rattraper. Et avant la scène finale, Bruno apparait en directeur de boutique de bricolage. Et il est royal. J’ai adoré chacune de ses apparitions, chacune de ses intonations paternelles je-m’en-foutistes. « Le mec qui a inventé le boursin il a fait fort direct ». Il survole chacune de ses scènes avec une décontraction et une présence qui m’a fait jubiler, pour moi c’est lui la grande réussite du film.

Et puis bon ce truc de la société miniature, qui fonctionne et dysfonctionne tranquillement jusqu’à l’explosion finale, le travail sur le son, le flottement et la précision dans la mise en scène, le pointillisme du « récit », y’a un côté Tati (le plan du générique de fin, c’est carrément Playtime) que j’aime beaucoup.
Y’a des défauts, le projet est forcément casse-gueule, je me dis que le semi-échec de tout ça était forcé, voire planifié (ou alors c’est de l’inconscience), y’a un côté faux masterpiece ou pièce monté un peu fade, ça n’empêche pas une certaine beauté. Depuis que je l’ai vu, le film m’échappe dans ses détails et dans son ensemble, ça me confirme son aspect vaporeux, mais reste une impression de fluidité, une étrangeté, une lumière, une naïveté, des choses comme ça (et le souvenir aussi de Villermoz et Gourmet, excellents). En fait il vieillit très bien.

4.5/6

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MessagePosté: 05 Jan 2010, 11:24 
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Serial Modo
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bon j'en suis à un quart d'heure et c'est horrible, du non-rythme, de l'humour cliché MAAF, à base de "Paveur-point", de queues de cheval et de soupe au cresson, de "votre petite chienne va bien? elle mordille toujours?", filmé de la plus plate des manières... Et cette musique, insupportable, en permanence, avec ses effets lourds qui surlignent le moindre effet "comique"... Brrr... J'arrive pas à aller plus loin, là.

Rassurez-moi, ça s'arrange ensuite ou c'est à ce point l'Almanach Vermot?

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MessagePosté: 05 Jan 2010, 12:28 
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Serial Modo
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Localisation: en cours...
bon heu trois quarts d'heure, j'en peux plus, c'est vraiment trop horrible, ça faisait longtemps que j'avais pas autant eu l'impression de regarder la tv, genre les spots avant la météo, mais étirés à l'infini et au-delà...

Chiara Mastroiani : "aaaaah la télévision!"
Emmanuelle Devos : "mais nous n'avons pas la télévision!"

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MessagePosté: 05 Jan 2010, 13:21 
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Si y'a bien un film que je t'aurais déconseillé cette année, c'est bien celui-ci.


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