Forum de FilmDeCulte

Si le le violeur est black et bien violent même en sodomisant il doit pouvoir procréer. Amis poètes bonsoir !

J'adore Hollande.

, méfie toi ça pourrait marcher avec toi aussi ...

oui mais il parle de l'avortement pour une fille violée en disant "si elle se fait sodomiser"...

Faudrait peut-être qu'ils révisent leur cours d'éducation sexuelle les americains... non, on ne tombe pas enceinte si on se fait prendre par le nombril, ce n'est pas ce trou-là jeunes boutonneux

A quelques heures de la journée internationale de la femme du 8 mars, le Dakota du Sud a décidé d’interdire l’interruption volontaire de grossesse (IVG), en votant une loi la rendant illégale, de même que la vente de produits contraceptifs d’urgence. Selon les défenseurs de ce texte, l’IVG ne se justifie ni en cas de viol ni d’inceste, dans la mesure où la vie naît dès la conception. Seule exception admise par les conservateurs : quand la vie de la mère est en péril.

Sur le papier, la loi doit entrer en vigueur à partir du 1er juillet dans cet Etat qui pratique 800 avortements par an, et qui dispose d’une seule et unique clinique. A partir de cette date, les médecins qui continueront à pratiquer des IVG seront poursuivis pour « crimes » et encourront des peines allant jusqu’à cinq ans d’emprisonnement et 5 000 euros d’amende.

Mais avant que la mesure ne soit effective, une querelle juridico-morale a déjà bel et bien enflammé le pays. Cette décision déjà très contestée contre l’arrêt de la Cour suprême de 1973 « Roe contre Wade », qui légalise l’avortement. Aussi les conservateurs de tout poil espèrent-ils bien se saisir de cette fenêtre d’opportunité pour casser cet arrêt jugé trop permissif. A ce petit jeu, la récente nomination de deux juges conservateurs, John Roberts et Samuel Alito, pourrait justement les aider à faire basculer l’équilibre de la Haute Cour, en leur faveur.

Dans un communiqué qui compare le combat de son Etat contre l'IVG à celui mené dans les années 50 contre la ségrégation raciale, le gouverneur républicain Mike Rounds, n’est pas le dernier à formuler cette hypothèse. «Le renversement de l'opinion de la Cour Suprême est possible». En poste depuis 2003, il s’affiche ouvertement sur le banc des anti-avortement. « Les personnes qui soutiennent cet amendement croient que l’avortement est mal parce que les enfants à naître sont les personnes les plus vulnérables et les plus démunis dans notre société. Je suis d’accord avec eux ».

De leur côté, le planning familial et les associations pro-avortement ont déclaré qu’elles gardaient leurs portes ouvertes et qu’ils étaient prêts à se lancer dans la bataille juridique. Depuis l’annonce de cette décision, ils ont d’ailleurs reçu une nuée de donations et d’appels pour protester contre cette décision.

Déjà, d’autres Etats comptent bien suivre l’exemple du Dakota du Sud. C’est le cas du Mississippi, de la Géorgie, de l’Indiana, du Missouri, de l’Ohio, du Kentucky et du Tennessee.

Le Mississippi compte néanmoins autoriser les IVG en cas de viol, d’inceste ou de danger pour la santé de la mère. C’est également le point de vue du président George W. Bush qui a jugé le projet du Dakota du Sud trop extrême."

L'interview est drôle, les mesures aussi...