Forum de FilmDeCulte

Mais Baptiste... Baptiste... ca fait quelques temps que tu es sur le forum et la seule chose dont tu as parlé ou presque c'est des films de Spielberg. On a bien compris que ses films ne te plaisaient pas. Je n'ai pas fait partie des premiers à te répondre là-dessus, et encore moins à t'attaquer là-dessus, mais à force tu t'es réduit toi-même, parce que tu n'as simplement rien montré d'autre. Tes avis sur ces films, on les a lu des dizaines et des dizaines de fois chez d'autres, et tu n'apportes rien à la vision de ses films, ni à ceux que d'autres ont dit dessus. Effectivement, au final, ma position face à toi c'est "lui dès qu'il parle de Spielberg c'est un boulet, même pas la peine d'essayer de discuter." Mais comment me le reprocher? Je n'ai pas vocation de guérir les gens de leurs mécompréhensions, quand bien même cela serait possible. Et honnêtement, relire les mêmes âneries sur ces films, refaire les mêmes argumentations qui ne seront pas lues, j'ai déjà donné. Apporte moi une proposition intéressante, même négative, sur ce film (autre chose que "Spielberg veut qu'on pleure c'est barbare" et "la mise en scène est banale" - je caricature même pas) et peut être que je répondrai.



Mais Baptiste... Baptiste... j'ai bien compris que c'est ça que tu voulais dire, je me moquais simplement de ton impuissance (héhé) à le dire de manière correcte - autrement dit ici, de manière simple.

EDIT : Leo et les autres ont raison, je vieillis...

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Nothing and no one can save you! Abandon hope now! Here's what you can do :
1. Admit you are a semi-evolved ape-thing mercifully ignorant of the sanity-blasting truths of the greater cosmos.
2. Die.
3. Rot.

Pfiouh encore un qui n'en est pas revenu de sa lecture de Nietzsche: c'est pas bientôt fini avec ce concept de puissance?
(et c'est moi, qui pourtant ait mis une citation de Nietzsche quelque part sur ce forum, qui te le dit!).

Ensuite, va dans mon profil, regarde l'ensemble des messages que j'ai posté, et dis moi si je ne fais que parler de Spielberg. Récemment j'ai livré mon top des films préférés, tu étais invité à en discuter, que je sache.

A moi aussi.

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Ne pas confondre puissance et volonté de puissance - dans le cas qui nous occupe ca serait plus simplement des clins d'oeil à Aristote, si ca t'amuse.



Personne ne discute des tops ou presque, ce qui est normal quelque part.

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Nothing and no one can save you! Abandon hope now! Here's what you can do :
1. Admit you are a semi-evolved ape-thing mercifully ignorant of the sanity-blasting truths of the greater cosmos.
2. Die.
3. Rot.

Que de belles paroles et si peu de faits!

*Non mais il met 0/6 à Irréversible hein et ca c'est vrai*

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Nothing and no one can save you! Abandon hope now! Here's what you can do :
1. Admit you are a semi-evolved ape-thing mercifully ignorant of the sanity-blasting truths of the greater cosmos.
2. Die.
3. Rot.

Noé a les détracteurs qu'il mérite.

Ben oui et alors ? je ne nie pas ça, mais simplement le fait que ce soit moi qui t'ai dit d'écrire ce que tu as écrit. Méchant garçon va...

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Les cons ?

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Je ne dis plus rien.

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Nothing and no one can save you! Abandon hope now! Here's what you can do :
1. Admit you are a semi-evolved ape-thing mercifully ignorant of the sanity-blasting truths of the greater cosmos.
2. Die.
3. Rot.

Je m'intéresse à Noé et son cinéma, pas à ses détracteurs.

Tu as bien raison.

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Est-ce qu'on pourrait 2 secondes arrêter de citer Nietzsche dans ce fil et dire à Baptiste qu'il n'a visiblement rien compris au cinéma de Spielberg et encore moins à A.I. ? Ce serait plus simple et plus direct pour les abrutis comme moi...

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Netflix les gars, Netflix.

En quoi c'est normal de ne pas discuter des tops? C'est vrai que ce serait lourd d'éplucher tous les tops de tout le monde, mais en ce qui me concerne je n'ai récolté que de faciles moqueries (qui n'allaient pas bien loin donc c'est pas grave ...)sur un film de mon top.
Si c'est juste pour l'aspect ludique de faire des classements avec des jolis numéros, et du même coup augmenter son nombre de messages postés je pense pas que le forum aurait tout une section consacrée à ça, "Vos tops".

EDIT *** Pour revenir à A.I., en plus du fait que je n'ai pas aimé le traitement du sujet, il y aussi le fait que le film m'a plus ou moins laissé indifférent et du coup je me suis senti mal car j'ai quand même bien compris que le film avait vocation à poser des questions "ultimes". Je suis le premier déçu à cet égard, ce n'est donc vraiment pas, comme certains doivent le penser, parce que je suis anti-spielbergien que je n'ai pas aimé le film ( de toute façon le terme anti-spielbergien est stupide, y a quand même des choses que j'aime bien faut pas pousser!). Au contraire, j'ai vraiment, il me semble, laissé une chance au film, comme je l'ai laissé à La guerre des mondes et Munich (ceux-la même que j'ai aimés).

l'établissement compulsif de listes en tout genre est la première des perversions du cinéphile.

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L'ennui est le mal suprême, le péché originel, l'avant-goût du néant déja sur les lèvres et dans les tripes.

Des robots amoureux d'ici 40 ans - comme dans A.I. !

Des chercheurs en sont convaincus: d'ici 40 ans, l'homme aura construit des robots suffisamment évolués pour permettre non seulement une réelle interaction avec un humain mais même... des sentiments amoureux.

La thèse, en apparence farfelue, a été défendue récemment l'Université de Maastricht par le chercheur écossais David Levy.

"Je suis persuadé que ça arrivera d'ici 40 ans, peut-être même plus tôt. Il existera des robots, des interlocuteurs, qui pourront vous parler et vous en tirerez autant de plaisir que dans une discussion avec un hautre humain" a-t-il déclaré à l'AFP.

Le fan de Spielberg et de Kubrick reconnaîtra évidemment des échos du monde qu'ils dépeignent dans A.I., où existent non seulement des robots sex toys (Gigolo Joe, le personnage de Jude Law) mais aussi des robots capables d'aimer (David, l'enfant robot incarné par Haley Joel Osment).

Et, comme dans A.I., des problèmes d'éthique se posent pour ces chercheurs.

L'universitaire Dylan Evans de souligner que "l'élément crucial dans une relation amoureuse est la notion que l'amour n'est ni inconditionnel, ni éternel".

"Les robots ne peuvent pas vous choisir. Ils ne peuvent pas vous rejeter. Ca pourrait vite devenir ennuyeux et on peut sans peine imaginer l'homme devenir cruel envers son partenaire sans défense."

Dans A.I., David s'accroche mordicus à la mère qu'il a été programmé pour aimer, allant jusqu'à braver les pires dangers pour la retrouver, sans rien demander en échange.

Certains scientifiques tempèrent les ardeurs de leurs collègues: "N'allons pas trop vite en besogne" souligne Vincent Wiegel de l'Université de technologie de Delft. "A l'heure actuelle, l'intelligence artificielle que nous sommes capables de créer est celle d'un enfant de un an".

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Liam Engle: réalisateur et scénariste