Forum de FilmDeCulte

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VADE RETRO - Une histoire du cinéma d'horreur

Pour revenir sur le fait que la fin de la filmo de Bresson paraisse parfois (ou soit, pour Cosmo) synonyme d'amollissement...

Evidemment, ça se joue pas qu'à l'image, mais j'ai quand même l'impression nette qu'on a d'abord une montée vers l'abstrait, une épure du cinéma qui part des Dames du bois de Boulogne, très visibles par exemple entre Le curé et Un condamné :





Et puis qu'après Pickpocket, progressivement, avec l'arrivée de la couleur + le cadre large beaucoup moins géométrique + un aplatissement des profondeurs, des angles (plus volontiers "normaux" et horizontaux), on arrive à quelque chose qui ressemble, en surface, à n'importe quel petit film naturaliste français des années 80-90 :






Enfin voilà, du coup je comprend qu'il puisse y avoir rejet et déception...

[Info modo : les 8 messages suivants ont été déplacés d'un autre topic]


Une petite lumière précieuse, mais fragile

L’Argent de Robert Bresson

Avec un nom de blog comme Cinématographilía, nous ne pouvions qu’en inaugurer la rédaction par un billet sur un film de Robert Bresson, cinéaste immense et inépuisable défenseur du cinématographe en tant qu’objet d’écriture et de création. Il s’agit ici de L’Argent, son ultime film, réalisé en 1983. Le long-métrage recevra, dans une salle alliant applaudissements conquis et sifflets indignés, le Grand prix du cinéma de création (actuel Prix de la mise en scène) au Festival de Cannes, ex æquo avec Nostalghia d’Andreï Tarkovski. Ce dernier étant un de ces rares cinéastes dont Bresson admirait le travail. L’Argent s’ouvre sur une étudiant, Norbert, qui, couvert de dettes, se fait recevoir un faux billet de 500 francs par un camarade de lycée. Norbert utilise vite son billet chez un photographe où Lucien, l’employé, l’accepte sans inquiétude particulière. Mais le patron, lui, a l’œil. Il attend qu’une occasion se présente et se débarrasse du billet en réglant Yvon, le livreur de mazout. En toute innocence, celui-ci utilise cet argent qui, partout, est rejeté. Yvon est alors licencié. Pour nourrir sa femme et sa fille, il accepte d’être chauffeur dans le cadre d’un hold-up. Yvon sombre alors dans une lente descente aux enfers qui le mènera jusqu’à sa rédemption finale.

La suite sur : http://cinematographilia-critique.tumblr.com/

encore un texte comme ça avec un appel à clic et je te vire.

Et y a surtout déjà un topic...

Mais virez moi alors.
Je profite de votre site pour partager quelque chose qui aurait pu vous intéresser si vous étiez sincèrement des passionnés de cinéma.
Bonne journée chercheurs de vues.

C'est si gentillement demandé.

Adieu.

Lol. Fous toi de notre gueule en plus.

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Anthony Sitruk - Bien sûr, nous eûmes des orages
(168 pages, 14.00€)
Commande | Site perso

Hmm, pourquoi ?
Sinon oui, le texte est peut-être intéressant (pas eu le temps d'y jeter un œil), mais je trouve le procédé pas très aimable. Si on veut vraiment discuter ciné avec les gens ici bas, et non leur faire la leçon, on en passe par les topics, pas par blogs interposés.