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Pendant que d'autres s'éclatent à Cannes, nous on voit Anges et Démons...

La mise en scène est sensiblement mieux que le premier, mais je trouve que l'adaptation du roman encore plus con que le Da Vinci Code manque de puissance et de mystère. C'est très beau, et plutôt bien interprété, mais zéro tension.

Du coup la même note que le Da Vinci Code: 2/6

Bon quoi en dire...
J'ai pas aimé, mais je lui trouve quelques trouvailles que Da vinci code n'avait pas. En fait ce qui est insupportable c'est l'incapacité de Ron Howard a élever le scénario pourtant bateau de Dan Brown.
On s'en contre branle des pseudo connaissance ésotérique que déblatère tom Hanks si seulement c'était utile... La musique reste le point fort du film et malgré d'énormes facilités scénaristiques (tous les prétendants papes meurent sans aucune tentions) on reste attentif et on arrive même a s'accrocher au siège quand Ewan fait monter son hélicoptère aux cieux. (de loin la meilleure séquence des deux films confondus.)
Non vraiment ça reste mauvais. 2/6 très gentil.

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Why there is so much trouble in this world?

Un étrange coup de coeur que j'ai eu pour ce film, que pourtant je trouve dans l'ensemble, au mieux sympa, au pire ridicule.

Mais je me suis pris à croire à cet étrange monde dans lequel le film se passe... en fait malgré toutes les artifices du scénario, les sauts de foi que l'histoire exige sans rien offrir en échange, j'ai eu l'impression de montrer dans un VRAI monde. Un vrai univers... C'est super étrange comme sentiment et ça me rappelle un peu l'époque de quand j'étais petit où ça me faisait ça à chaque film que je voyais.

J'ai aussi trouvé que DANS le film de Ron Howard, Salvatore Totino faisait son propre film... avec des tas de plans que j'ai trouvé assez admirables dans leur filmage. Y a pas mal d'idée de mise en images qui sont sympa, sans jamais pourtant que la caméra se rende visible.

J'ai trouvé les acteurs plutôt bons, d'ailleurs, c'est peut-être eux qui participent à l'immersion dans l'univers du film. Je continue à adorer Hanks, bon je trouve Ayelet Zurer sublime, et puis toutes les gueules derrières sont vraiment bien aussi.

Y avait une rumeur fût un temps qui racontait que les prods de 24 voulaient utiliser le DAVINCI CODE comme base pour une saison de leur série... (bon je sais pas comment ils auraient géré)... mais ce qui est intéressant c'est que la dans ce DAVINCI CODE 2 (preuve d'ailleurs une fois de plus que les suites sont généralement supérieures aux premiers films... parce que oui c'est bien meilleur là) on retrouve ce côté course contre la montre super tendue, d'ailleurs rythmée très précisément d'heure en heure ("Il nous reste 14 minutes avant 22h!!!"), et également son gros lot de rebondissement et de trahisons toutes plus invraisemblables les unes que les autres.

Bon voilà voilà... donc un film étrange, mais plein de charme et qui vieillit bien, malgré les aberrations parfois honteuses qu'il comporte.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Ah oui sinon j'ai été très étonné

Et j'ai adoré

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Et donc oui, c’est clairement plus sympa que le nullissime Da Vinci Code. Ron Howard a dû bien comprendre que ce dernier était mou du zizi, et du coup il a tout fait pour redynamiser le bazar. Un peu trop, d’ailleurs. La mise en scène est légèrement ampoulée par sa caméra trop mobile (les tourniquets autour des personnages qui parlent, ça va 5 minutes), et Hans Zimmer est tombé dans la lourdingue caricature de lui-même. Mais il y a quelque chose d’assez mignon de voir tout ce petit monde essayer de nous passionner pour cette histoire pas franchement passionnante. Mais étrangement, on se laisse prendre au jeu – car c’en est un. J’ai bien aimé le côté bombe à retardement du scénario. Il y a quelques scènes sympa (dans les archives, le crime du « feu », la scène de la fontaine), et le climax avec l’hélicoptère, vraiment spectaculaire. Les 20 minutes qui suivent en pâtissent un peu, et j’ai moyennement cru à l’ultime rebondissement *c’était luiiiii*. Mais bon.
Les effets spéciaux ont fait du gros travail. Hormis quelques effets zarbis, c'est impressionnant de voir le Vatican reconstitué. Tom Hanks est moins moche et moins mauvais que dans DVC, Ewan McGregor est tout bon (t’façon je l’aime, il tue tout ce gars), le méchant est un bon choix, mais Stellan Skarsgard s’enferme une nouvelle fois dans le MÊME RÔLE. Quant à la Langdon Girl, elle fait effectivement moins godichon que Tautou, mais elle passe trop inaperçu, je trouve. On ne la voit pas.
Bref, c’est franchement dispensable, mais en l’état c’est un honnête divertissement, complètement invraisemblable mais bien mené, lourdingue mais plutôt attachant, pas dingue mais finalement sympa.

Le 3/6 indulgent.

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Salut, je suis un des rares à pas trouver que le premier soit un gros nanar ridicule...à l'exception d'une ou deux scènes foireuses (le SDF dans le parc par exemple), j'avais trouvé que c'était une bonne adaptation d'un bouquin que j'avais pas trouvé horrible non plus.

Bref.

J'attendais rien de ce deuxième. Et résultat final, je trouve ça plus ou moins pareil...

L'intrigue en soi est moins bien je trouve. Ca avait beau être de la vulgarisation pompée ailleurs, les "révélations" y étaient plutôt intéressantes...ici, l'enquête a un background similaire mais moins riche et ça devient presque un thriller basique...même si par moments je me suis demandé à quoi ressemblerait un Indiana Jones écrit par Dan Brown.
Probablement dû à l'univers mais aussi au jeu de Hanks, qui semble davantage s'amuser ici que dans le premier.
Mais le perso le plus intéressant est celui qui n'est pas joué par quelqu'un de connu, le tueur.

Sinon, j'ai déjà quasiment tout oublié...pendant près de deux heures, c'est sincèrement entraînant, jme fais pas chier, puis ça s'étire et la fin est globalement tout much (même si ça donne un beau truc)...mais c'est pas déplaisant, même si Howard se casse pas trop ici (y a pas la fraîcheur de Frost/Nixon) et que Zimmer passe son temps à recycler l'excellent thème de fin du premier film.

Mais bon, moi, les films anti-cléricaux, j'approuve.

3/6 (même note qu'au premier)

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